woman athlete drinking water with electrolytes

woman athlete drinking water with electrolytes

Que vous soyez un cycliste aguerri, un adepte du jogging récréatif ou simplement quelqu’un qui fait de l’exercice à l’occasion, vous avez probablement déjà entendu dire qu’il faut reconstituer les électrolytes de l’organisme. Et la conversation s’est sans doute arrêtée là. On parle généralement des électrolytes en termes vagues. La plupart des gens actifs savent tout de même que les électrolytes sont liés à l’hydratation, la sueur et l’exercice, sans toutefois pouvoir élaborer.

Voilà où cet article intervient. En le lisant, vous aurez une description détaillée de ce que sont les électrolytes, vous comprendrez pourquoi l’organisme en a besoin et comment vous assurer de lui en fournir une quantité suffisante.

Que sont les électrolytes?

Si vous avez remarqué immédiatement la similitude entre « électrolyte » et « électricité », vous êtes sur une bonne piste. Les électrolytes sont des substances qui acquièrent une charge électrique positive ou négative (d’où le préfixe « électro »), lorsqu’on les dissout dans l’eau. Comme le corps humain est constitué aux deux tiers d’eau, on retrouve les électrolytes dans la plupart des cellules.

Il est important de noter que les électrolytes présents dans l’organisme ne sont pas tous de la même substance, mais sont plutôt des substances diverses, par exemple le sodium, le magnésium et le potassium. Toutes ces substances portent une charge positive ou négative et elles sont toutes nécessaires au maintien d’un bon taux d’électrolytes.

Les électrolytes se trouvent dans la plupart des liquides de l’organisme, y compris le sang et l’urine, et aussi dans d’autres tissus corporels. À mesure que les niveaux des liquides de l’organisme changent, le niveau d’électrolytes varie aussi. Ainsi, des processus comme la transpiration et le fait d’uriner en réduisent naturellement la quantité – et les électrolytes perdus doivent être remplacés. Nous y reviendrons plus loin.

En quoi les électrolytes sont-ils utiles pour l’organisme?

Au point où nous en sommes, vous vous demandez probablement à quoi servent les électrolytes. La réponse pourrait vous étonner. Tous les électrolytes remplissent une seule et même fonction – transporter des charges électriques. Cette fonction toute simple participe à une foule de processus dans l’organisme, y compris la contraction musculaire, la transmission de signaux nerveux, l’équilibrage des liquides et le maintien du pH naturel.

Évidemment, les électrolytes n’agissent pas tous de la même façon. Voici quelques-uns des électrolytes les plus abondants dans l’organisme et les processus qu’ils aident à préserver :

  • Calcium : un joueur étoile dans le fonctionnement musculaire. Ce minéral à charge électrique positive aide les fibres musculaires à mieux glisser pendant la contraction des muscles. Constituant essentiel des os et des dents, le calcium aide aussi à la régulation des battements cardiaques et à la transmission de signaux nerveux.*
  • Magnésium : un électrolyte assez polyvalent qui joue un rôle dans le fonctionnement musculaire, la production d’ADN et d’ARN, en plus de soutenir un système immunitaire déjà en santé au départ.*
  • Sodium : la plupart des gens associent d’emblée le sodium à la tension artérielle. Le sodium joue un rôle important dans la régulation de la quantité de liquides dans l’organisme qui, à son tour, a des effets sur la tension artérielle. Comme de nombreux autres électrolytes, le sodium participe aussi au fonctionnement musculaire et nerveux.
  • Potassium : le potassium joue un rôle de premier plan dans le fonctionnement musculaire et cardiaque. Une quantité trop faible de potassium peut entraîner de la fatigue musculaire, de la faiblesse et même des crampes. Une fois encore, le potassium aide aussi à la transmission d’impulsions nerveuses.
  • Chlorure : un électrolyte qui aide l’organisme à conserver son pH – autrement dit, qui contribue à équilibrer l’acidité et l’alcalinité. Le chlorure intervient aussi pour équilibrer les quantités d’électrolytes dans l’organisme.
  • Phosphate : tout comme le calcium, le phosphate aide l’organisme à renforcer – et préserver – la résistance des os et des dents. Il aide aussi à produire l’énergie que l’organisme utilise pour développer et réparer les tissus.*
  • Bicarbonate : le processus respiratoire permet d’aspirer l’oxygène et d’exhaler le dioxyde de carbone. Pourtant, une partie du carbone créé pendant ce processus reste dans l’organisme sous forme de bicarbonate. Cet électrolyte contribue à préserver la fonction cardiaque, en plus d’équilibrer le taux de pH sanguin.*

Le maintien d’un bon taux d’électrolytes

C’est souvent par le biais du marketing que l’on entend parler des électrolytes. Entre les boissons contenant des électrolytes et d’autres suppléments, bon nombre de produits sont commercialisés comme des solutions pour conserver un bon taux d’électrolytes. Mais ces suppléments sont-ils vraiment nécessaires? Tout dépend.

Un régime alimentaire bien équilibré est le meilleur moyen de vous assurer que vous avez la quantié d’électrolytes qu’il vous faut. Les légumes et fruits frais sont d’excellentes sources de potassium, et dans le cas des légumes feuillus verts, de calcium. On trouve aussi du calcium dans les produits laitiers comme le lait et le fromage. Le sodium peut provenir de sources diverses : cornichons, fromage et viandes fumées ou en conserve. Quant aux graines et aux noix, elles sont riches en sodium.

Comme vous pouvez le voir, on peut trouver les divers électrolytes dans différents groupes alimentaires : grains, fruits, légumes, produits laitiers et protéines. Si votre alimentation comprend des portions adéquates de chaque groupe alimentaire, vos taux d’électrolytes devraient être suffisants – à la condition de ne pas faire de l’exercice intensif.

Qu’arrive-t-il dans le cas d’un athlète? Ou dans celui d’un coureur occasionnel de cinq kilomètres? Ou si vous passez plusieurs heures à faire de l’entretien paysager au soleil?

Voilà où les suppléments avec électrolytes peuvent être utiles. Vous vous rappelez sans doute que la transpiration vous fait perdre des électrolytes? Lorsque vous vous lancez dans une activité qui vous fait transpirer plus que d’habitude, vous perdez aussi une plus grande quantité d’électrolytes qu’en temps normal. Votre régime alimentaire régulier peut être insuffisant pour reconstituer votre taux d’électrolytes. En buvant une boisson ou en prenant un supplément avec électrolytes, vous accélérez votre récupération, en plus de vous assurer de conserver un bon taux d’électrolytes.

Rappelez-vous l’importance de toujours lire l’information nutritionnelle sur l’étiquette. Une foule de boissons avec électrolytes ont une forte teneur en sucre. Un peu de sucre aide l’organisme à absorber les électrolytes, mais en trop grande quantité, il peut nuire à un régime alimentaire par ailleurs bien équilibré.

Tout est question d’équilibre : les méfaits d’une trop faible ou trop forte quantité d’électrolytes

Malheureusement, il est possible de faire des excès, même avec ce qui est bon en soi. C’est le cas des électrolytes.

Vous vous rappelez tous ces processus de l’organisme soutenus par les électrolytes? Si votre système souffre d’une carence d’un électrolyte donné – un problème identifiable par le préfixe « hypo » – il y a un risque de dysfonctionnement de ces processus. On appelle hyponatrémie la carence en sodium et hypocalcémie la carence en calcium.

Un excès d’un électrolyte donné peut aussi nuire à votre santé (Des problèmes tous identifiables par le préfixe « hyper »).

Avec un bon régime alimentaire, il est peu probable que vous atteignez ces taux d’électrolytes. Si vous prenez un supplément, suivez le mode d’emploi figurant sur l’étiquette. Comme toujours, il vaut mieux consulter un médecin en cas de doute.

Au final

Au quotidien, il n’est pas nécessaire d’avoir toujours les électrolytes en tête. Efforcez-vous de consommer des aliments diversifiés appartenant à différents groupes alimentaires et essayez d’éviter les aliments transformés à l’excès. Si vous ressentez des symptômes inhabituels, un médecin pourra vous conseiller des analyses sanguines qui permettront de cerner un déséquilibre électrolytique.

En sachant qu’une forte quantité d’électrolytes se perd dans la sueur, on a toujours intérêt à siroter une boisson contenant des électrolytes pendant et après l’exercice.

Fresh vegetables

Fresh vegetables

Dans le monde actuel, vous pouvez trouver à peu près n’importe quel aliment dans les magasins toute l’année. Et si la distribution généralisée de produits présente des avantages certains, comme la possibilité de faire des tartines à l’avocat n’importe quel dimanche de l’année, ces réseaux de distribution alimentaire ont également eu d’autres conséquences inattendues, certaines bonnes, d’autres mauvaises.

L’une de ces conséquences est la disparition de l’alimentation saisonnière. Dans le monde entier, bon nombre de gens ont accès aux mêmes aliments tout au long de l’année. C’est dire que quantité de gens maintiennent le même régime alimentaire en toute saison. Bien qu’il n’y ait pas nécessairement de mal à cela, on peut se poser une autre question : devrions-nous adapter notre régime alimentaire en fonction de la saison?

En bref, oui, et pour plusieurs raisons. Mais passons à une réponse plus détaillée.

Nutrition saisonnière et lumière du soleil : pourquoi votre régime alimentaire doit contenir plus de vitamine D en hiver

Que vous en soyez conscient ou non, votre corps réagit et interagit avec son environnement de plusieurs manières. La façon dont votre corps transforme la lumière du soleil en vitamine D en est un exemple. Le processus commence avec le rayonnement UVB, que le soleil émet en permanence. Lorsque ce rayonnement UVB touche la peau, il est absorbé par un composé connu sous le nom de 7-déhydrocholestérol. Les UVB transforment ce composé en prévitamine D3, qui devient finalement de la vitamine D3, une vitamine qui peut contribuer à la santé du développement osseux et au maintien des niveaux d’énergie.

Quel est donc le rapport entre ce processus et les saisons? C’est simple : pendant les mois d’hiver, la plupart des gens passent moins de temps au soleil. C’est donc dire qu’ils absorbent également moins de vitamine D.

La vitamine D n’est pas naturellement présente en forte concentration dans la plupart des aliments. Pour combler le manque de vitamine D pendant les mois d’hiver, il faut donc s’organiser un peu. La bonne nouvelle, c’est que de nombreux aliments sont enrichis en vitamine D. Vous avez donc le choix. Si vous essayez d’ajouter un peu de vitamine D à votre alimentation pour compenser la perte de lumière du soleil, essayez de prendre un déjeuner composé de lait et de céréales, tous deux souvent enrichis en vitamine D. Vérifiez simplement l’étiquette pour vous assurer que c’est bien le cas!

Si vous êtes un amateur de fruits de mer, vous avez de la chance. La vitamine D est naturellement présente dans le saumon, le thon, l’espadon et les sardines.

En outre, les suppléments de vitamine D sont toujours une possibilité. Il suffit de les inclure dans vos multivitamines quotidiennes.

Alimentation et nutrition saisonnières

Comme indiqué ci-dessus, adapter son régime alimentaire en fonction de la saison peut avoir de nombreux effets bénéfiques sur la santé. Toutefois, nombreux sont ceux qui adaptent leur régime alimentaire en fonction des saisons pour une raison différente : ils veulent se nourrir en fonction des saisons. Autrement dit, il s’agit de manger des fruits et des légumes de saison.

Pour beaucoup de gens, l’alimentation saisonnière dépend de l’environnement. Les aliments qui doivent parcourir la moitié du monde pour arriver jusqu’à vous ont une empreinte carbone bien plus importante que ceux qui sont cultivés dans le voisinage immédiat. Il s’avère également que l’alimentation saisonnière peut présenter des avantages pour la santé!

En consommant des fruits, des légumes et d’autres produits de saison et cultivés localement, vous variez naturellement votre alimentation. Après tout, peu d’aliments sont en saison toute l’année. Une alimentation variée peut vous aider à obtenir un bon équilibre des vitamines, minéraux et autres nutriments dont votre corps a besoin pour s’épanouir. En outre, certaines études suggèrent que les produits cultivés localement sont plus riches en nutriments que leurs homologues importés. En effet, plus les produits sont conservés longtemps, plus certains antioxydants peuvent se dégrader. Cela ne veut pas dire que les produits importés sont intrinsèquement mauvais, mais simplement qu’il y a là matière à réflexion.

Le grignotage pendant les Fêtes : trouver le bon équilibre

Fall and winter food

Lorsque le temps se refroidit, votre régime alimentaire peut changer pour une autre raison : les Fêtes. Entre l’Halloween, l’Action de grâces et les vacances d’hiver, les occasions de grignoter ne manquent pas. La rhétorique entourant les repas de fêtes dépeint souvent cela comme une mauvaise chose, mais tout dépend de la façon dont vous l’abordez.

Tout d’abord, il n’y a pas de mal à grignoter. Et il n’y a rien de mal à se faire plaisir avec ses friandises préférées pendant les Fêtes. L’important, c’est de rester conscient de vos propres objectifs nutritionnels.

Si vous avez l’impression de remplacer souvent les aliments riches en nutriments par des collations salées et sucrées pendant les Fêtes, essayez de consommer quelques légumes avec d’autres en-cas. Il s’agit d’une option simple, qui peut vous aider à maintenir une alimentation variée et à fournir à votre corps les vitamines et les minéraux dont il a besoin.

Lorsque vous mangez, n’oubliez pas de ralentir. Les collations ont tendance à être avalées plus rapidement que notre corps ne peut les assimiler, ce qui signifie que vous ne vous rendrez compte que vous êtes rassasié qu’après avoir mangé plusieurs poignées de maïs soufflé de trop (ou tout autre en-cas que vous êtes en train de manger). En ralentissant, vous pouvez contrer cette tendance et vous permettre de savourer et d’apprécier réellement les aliments.

Aligner l’alimentation saisonnière sur vos objectifs nutritionnels

Il n’y a pas de « bonne » façon d’aborder l’alimentation saisonnière et la nutrition saisonnière; tout dépend de vos objectifs nutritionnels. Si vous essayez d’avoir une alimentation variée comprenant de nombreux fruits et légumes frais, vous pouvez goûter à la grande variété de produits locaux disponibles chaque saison dans votre région.

beautiful skin in the snow

beautiful skin in the snow

Pour bon nombre de gens, l’hiver évoque de splendides paysages glacés : arbres enneigés, glaçons, toutes ces belles images. Pour d’autres cependant, les pensées qui leur viennent à l’esprit sont moins agréables : peau fissurée, lèvres gercées et applications incessantes d’un hydratant.

Qu’on l’aime ou pas, l’hiver peut avoir des effets désastreux sur la peau. On peut toutefois en dire autant de l’été, bien que ses effets soient d’un autre ordre.

Si vous avez déjà adopté un régime de soins cutanés, ces changements saisonniers risquent d’être irritants. Qui voudrait se contenter d’avoir une peau hydratée et en santé trois saisons sur quatre pour se retrouver avec une peau sèche pendant tout l’hiver? Personne. Heureusement, la plupart de ces désagréments saisonniers peuvent être évités. Il suffit de faire preuve d’un peu de prévoyance et d’apporter de légers rajustements à votre rituel de soins cutanés.

Les soins cutanés et les saisons : l’impact climatique sur la peau

La peau est votre première ligne de défense contre les éléments. Il est donc tout à fait normal que votre peau change au rythme des saisons. La plupart des changements sont liés au degré d’humidité de l’air.

La plupart du temps pendant l’hiver, l’air est frais et sec. Comme l’air est moins humide que pendant l’été, la peau s’assèche beaucoup plus rapidement, ce qui peut l’amener à gercer et à se crevasser, une situation peu souhaitable. Par bonheur, il est habituellement possible d’atténuer ces effets en apportant un léger rajustement à l’étape d’hydratation de votre rituel de soins cutanés. Nous y reviendrons un peu plus loin.

Pendant l’été, la peau subit des effets contraires. La chaleur estivale rend l’air beaucoup plus humide qu’il ne l’est pendant le reste de l’année. Sous l’effet d’un taux d’humidité élevé, les glandes sébacées sécrètent une quantité d’huile excédentaire. Il en résulte souvent une peau huileuse et luisante à l’excès.

Votre régime de soins cutanés saisonniers dépend aussi de votre type de peau. Si, par exemple, vous avez une peau huileuse, vous constaterez peut-être que le climat hivernal n’assèche pas trop votre peau. À l’inverse, le climat estival risque d’intensifier les tendances naturelles de la peau à devenir huileuse. Du même coup, si votre peau tend naturellement à être sèche, il se peut qu’elle soit parfaitement hydratée pendant l’été, mais fissurée et sèche pendant l’hiver.

Pour préserver la santé de la peau à longueur d’année, la première étape consiste à bien connaître votre type de peau et la façon dont le climat agit sur elle. La seconde consiste à modifier votre régime de soins cutanés en conséquence. C’est le sujet que nous aborderons dans la section qui suit.

Régime de soins cutanés saisonniers pour une peau huileuse

Si vous avez une peau huileuse, votre régime de soins habituel devrait convenir pendant trois saisons sur quatre. C’est dire que pendant l’hiver, le printemps et l’automne, vous devriez pouvoir vous en tenir à votre régime habituel : nettoyant, tonifiant, hydratant et protection solaire. Ce sont les mois d’été, avec la chaleur et l’humidité, qui pourraient compromettre votre équilibre cutané.

Comme vous le savez sans doute – que ce soit à partir de votre expérience personnelle ou des études que vous avez consultées – une peau huileuse fait mauvais ménage avec les crèmes épaisses et les lotions. Même si elles nettoient et hydratent adéquatement, ces produits ont tendance à rendre encore plus huileuse une peau qui l’est déjà. Par conséquent, votre rituel de soins pour une peau huileuse comporte sans doute des produits plus légers et moins épais comme des gels, des nettoyants liquides, etc.

Pendant l’été, il se peut que vous deviez apporter des modifications aux étapes de protection et d’hydratation de votre rituel. Si vous constatez que votre peau devient excessivement huileuse et luisante pendant la canicule, commencez par rajuster votre hydratant. Utilisez-vous une lotion hydratante? Si oui, vous pourriez essayer de la remplacer par un gel hydratant pendant l’été. Ou encore, si vous utilisez à la fois un hydratant et un écran de protection solaire, pensez à fusionner les étapes avec un hydratant qui assure aussi une protection solaire.

Rappelez-vous qu’il ne s’agit pas de réinventer la roue. Il n’est pas nécessaire d’apporter des changements radicaux à votre rituel de soins cutanés. Donnez-vous une semaine avant de voir les résultats, puis vérifiez à nouveau. Si votre peau demeure huileuse, apportez alors d’autres modifications.

Régime de soins cutanés saisonniers pour une peau sèche

Si votre peau a une tendance naturelle à s’assécher, vous avez tout probablement ce qu’on appelle un type de peau sec. Pendant la plus grande période de l’année, votre rituel de soins cutanés devrait rester assez constant : une crème nettoyante, votre lotion tonique préférée, une crème ou une lotion hydratante, avec aussi un écran protecteur hydratant. Pendant l’hiver cependant, vous pourriez devoir hausser d’un cran l’étape d’hydratation de votre régime de soins.

D’ordinaire, il faut alors utiliser un nettoyant plus consistant, ce qui veut dire, dans le domaine des produits de soins cutanés, un nettoyant plus épais. Si vous avez l’habitude d’utiliser une lotion hydratante, mais que vous la trouvez inadéquate pendant l’hiver, essayez une crème hydratante.

Si votre peau est sèche et sans éclat, vous pourriez aussi faire appel à une huile pour le visage. Vous pourrez l’appliquer après votre hydratant normal pour mieux préserver l’hydratation et tonifier la peau.

Plus on s’expose au soleil, plus on a besoin de se protéger

L’application d’une protection solaire est l’étape finale d’un bon rituel de soins cutanés. On la trouve sous forme de produits dotés d’un facteur de protection solaire (FPS). Il s’agit normalement d’un écran solaire, mais de nos jours, bon nombre d’hydratants et même des produits de maquillage assurent une certaine protection solaire.

Même si la chose semble aller de soi, il faut tout de même le préciser : plus on s’expose au soleil, plus la peau a besoin de protection.

Si vous passez des heures au soleil pendant l’été, haussez d’un cran votre protection contre les rayons ultraviolets. Il pourrait s’agir d’utiliser un écran solaire qui assure une meilleure protection (avec un FPS d’au moins 30) ou de refaire des applications plus souvent pendant la journée. Idéalement, il vaut mieux faire les deux.

Soins cutanés : des changements à éviter

Il peut paraître intimidant d’apporter des modifications à votre rituel de soins cutanés, même lorsqu’ils s’imposent. Pour trouver la combinaison de produits idéale, il faut faire preuve de patience et de constance – surtout en présence de changements qui semblent menacer cet équilibre délicat. Alors, comment modifier votre rituel de soins en fonction des saisons sans compromettre cet équilibre auquel vous avez consacré autant d’efforts?

C’est plus simple qu’on ne pourrait le croire. Il suffit de vous concentrer sur de petits changements. Si vous apportez plusieurs changements à votre rituel habituel, vous pourrez difficilement déterminer quel produit pose un problème si votre nouveau rituel ne fonctionne pas pour votre type de peau.

Tout nouvel hydratant ou tout autre nouveau produit que vous essayez doit venir s’ajouter un à la fois. Si le changement précis que vous avez apporté à votre rituel de soins vous donne une peau resplendissante et en santé, c’est signe que vous lui donnez les nutriments et les soins qu’il lui faut.

La clé : la constance

Si vous avez adopté un régime de soins cutanés réguliers, vous savez que tout est affaire de constance. On peut en dire autant des modifications à vos soins cutanés saisonniers. Tout changement que vous apportez ne portera fruit que dans la mesure où vous ferez preuve de constance dans sa mise en œuvre. Bien sûr, l’application d’un écran solaire une fois par semaine vaut mieux que rien du tout, mais tout juste. Alors, faites preuve de détermination dans la mise en application de vos changements. Si l’un d’eux fonctionne, tenez bon. Si vous n’obtenez pas les résultats souhaités, essayez autre chose. Et si rien ne fonctionne, consultez un dermatologue.

skincare application

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Les soins cutanés sont souvent abordés d’un point de vue esthétique. Après tout, la plupart des gens soignent leur apparence. Et s’occuper de sa peau est un excellent point de départ.

Toutefois, la peau fait bien plus que simplement refléter notre apparence physique. La peau est le plus grand organe de votre corps. Il vous protège des bactéries, des facteurs environnementaux et des rayons UV du soleil. Elle subit des coupures, des écorchures et résiste à l’usure de la vie quotidienne. Il va sans dire que la peau joue un rôle plutôt important dans votre santé au quotidien.

Voici la bonne nouvelle : il existe d’innombrables produits de soins cutanés sur le marché. Pour ceux d’entre nous qui sont novices dans le domaine des soins cutanés, cela peut toutefois être un peu intimidant. Si vous souhaitez commencer à prendre soin de votre peau, mais que vous ne savez pas par où commencer, ne cherchez pas plus loin. Ce cours accéléré sur les soins cutanés vous permettra de mettre en place une routine de soins personnalisée en un rien de temps.

Les quatre types de peau principaux

Avant de choisir des produits pour améliorer l’apparence de votre peau, il est important de connaître certaines bases. La peau de chacun est un peu différente, mais elle entre généralement dans l’une des quatre catégories générales suivantes : normale, grasse, sèche ou mixte.

  • Type de peau normal : comme son nom l’indique, le type de peau normal est, en fait, assez courant. La peau n’est ni trop sèche ni trop grasse et n’a que peu d’imperfections visibles. En outre, les peaux de type normal ne présentent pas de sensibilité particulière.
  • Type de peau grasse : si votre peau est brillante ou a un éclat terne, il y a de fortes chances que vous ayez la peau grasse. Les autres caractéristiques du type de peau grasse sont les pores dilatés et les points noirs. Il y a également de fortes chances que votre visage soit légèrement gras au toucher.
  • Type de peau sèche : contrairement à la peau grasse, la peau sèche a de petits pores et ne brille pratiquement pas. Elle peut être rugueuse au toucher, présenter plus de rides et de plis ou encore, être légèrement moins élastique que les autres types de peau.
  • Type de peau mixte : en lisant l’information sur les types de peau ci-dessus, diriez-vous que plusieurs d’entre eux décrivent votre peau? Dans ce cas, vous avez probablement une peau mixte. Ce type de peau désigne toute combinaison des types de peau énumérés ci-dessus. Il est très courant d’avoir une zone T grasse (le front, le nez et le menton), par exemple, alors que le reste du visage est normal ou même sec.

Une fois que vous avez identifié votre type de peau, il est temps de commencer à réfléchir à vos objectifs en matière de soins cutanés. Nous y reviendrons dans la section suivante.

Identifier ses objectifs en matière de soins cutanés

Vous ne prendriez pas de sirop pour la toux pour soigner un pied cassé. Cela n’aurait aucun effet. De même, vos produits de soins cutanés doivent correspondre à la fois aux besoins de votre peau et à vos objectifs personnels en matière de soins. Essayez-vous de réduire nettement l’apparence des rides? Ou simplement garder votre peau propre et hydratée? Quel que soit votre objectif final, il déterminera la manière dont vous établirez votre routine de soins cutanés.

Il peut être difficile de trouver les bons produits, mais la plupart des routines de soins cutanés devraient suivre les quatre mêmes étapes de base : nettoyage, tonification, hydratation et protection (dans cet ordre). Pour chacune de ces quatre étapes, il existe d’innombrables produits parmi lesquels faire votre choix. Lorsque vous sélectionnez des produits pour votre routine de soins cutanés, faites attention aux ingrédients actifs de chaque produit que vous choisissez. Selon les ingrédients, vous obtiendrez des effets différents. Choisissez donc des produits qui vous permettent d’atteindre l’objectif désiré.

À quoi cela ressemble-t-il dans la pratique? Si vous créez une routine de soins pour les peaux sèches, vous choisirez un nettoyant doux et pouvant purifier votre peau sans en retirer toutes les huiles. De même, il est préférable de s’en tenir aux produits non comédogènes, qui sont spécifiquement conçus pour ne pas obstruer les pores. Après tout, utiliser un produit de soins cutanés, qui bouche les pores serait un peu contre-intuitif, n’est-ce pas?

Un guide étape par étape pour mettre en place une routine de soins de la peau

Vous avez acquis les bases. Il ne vous reste plus qu’à en faire quelque chose. Comment combiner toute cette information – à savoir votre type de peau, vos objectifs en matière de soins cutanés, etc. – et créer une routine de soins personnalisée? Comme pour tout dans la vie, il faut faire un pas après l’autre.

Étape 1 : le nettoyage

Il consiste à éliminer la saleté, la crasse et les autres impuretés de votre peau. Certains nettoyants sont plus doux que d’autres, ce qui signifie qu’ils assèchent moins la peau et sont moins susceptibles de provoquer des irritations cutanées. Si vous avez la peau sensible ou sèche, vous choisirez plutôt un nettoyant doux, tel que le Lait Nettoyant Doux Celavive.

Une petite règle de base pour les nettoyants : si vous avez la peau sèche et sensible, utilisez un nettoyant sous forme de lotion ou de crème; si vous avez la peau grasse, utilisez un nettoyant moussant. Comme nous l’avons mentionné plus haut, les ingrédients actifs des nettoyants varient d’un produit à l’autre. Veillez donc à examiner les ingrédients actifs avant d’acheter un nettoyant.

Étape 2 : la tonification

La tonification est une étape vaguement définie dans les routines de soins cutanés. Elle est parfois décrite comme le processus d’« équilibrage » de la peau, c’est-à-dire qu’il apporte à votre peau des nutriments qui lui font défaut. Certaines lotions toniques contiennent des ingrédients actifs, qui agissent comme des nettoyants supplémentaires, aidant à éliminer les impuretés et à déboucher les pores. Comme le processus de nettoyage peut être un peu abrasif pour la peau, de nombreuses lotions toniques contiennent des ingrédients botaniques, qui aident à apaiser la peau.

Étape 3 : l’hydratation

Tout comme il est important de bien boire pour rester en bonne santé, l’hydratation de la peau est un aspect important des soins cutanés. Et la meilleure façon de garder votre peau hydratée est d’inclure une crème hydratante de qualité dans votre routine quotidienne de soins cutanés.

Les crèmes hydratantes pour la peau les plus efficaces contiennent souvent des huiles d’origine végétale. Choisissez un type de produit hydratant qui convient à types de peau. Si votre peau est grasse, il est préférable d’utiliser un gel hydratant. Ces produits sont généralement à base d’eau et non d’huile. Si vous avez la peau sèche ou mixte, optez pour une crème hydratante sous forme de lotion ou de crème.

Étape 4 : la protection

Les rayons UV du soleil sont généralement la seule cause des peaux abîmées. Même par temps nuageux, votre peau est exposée aux rayons UV, qui peuvent la dessécher et l’endommager. Heureusement, il existe une solution facile : la crème solaire ou d’autres écrans avec un FPS.

La plupart des experts recommandent de mettre quotidiennement un écran solaire avec un FPS d’au moins 30. Cela permet de protéger votre peau tout au long de la journée, de réduire les rides visibles et de maintenir l’hydratation cutanée. (Pour votre routine de soins cutanés de nuit, vous pouvez utiliser un produit sans FPS).

Tout est question de régularité

Comme la plupart des processus liés à la santé, les soins cutanés exigent de la constance. Vous ne pouvez pas appliquer un nettoyant et une lotion sur votre visage un soir et espérer voir des résultats immédiats. Cela prend du temps. Mettez en place votre routine de soins cutanés et appliquez vos produits quotidiennement. Si vous n’obtenez pas les résultats escomptés, donnez-vous quelques semaines. (Il y a une exception : si un produit irrite votre peau, n’hésitez pas à en essayer un autre).

Une fois que vous effectuez votre routine de soins cutanés régulièrement pendant deux à trois semaines, évaluez les résultats. Si vous ne voyez pas de progrès en fonction de vos objectifs, il est peut-être temps de réévaluer les produits que vous utilisez. Et n’oubliez pas d’être patient avec vous-même. Si vous manquez un jour, vous pouvez toujours recommencer le lendemain!

eating bugs

Si vous avez la chair de poule à l’idée de manger des insectes, vous faites probablement partie de la minorité.

Il existe plus de 1 900 espèces d’insectes comestibles et on les retrouve au menu du jour un peu partout sur la planète. En effet, environ deux milliards de personnes mangent des insectes régulièrement. L’entomophagie (la consommation d’insectes) est pratique courante en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Les insectes sont même considérés comme des spécialités culinaires locales dans certains paradis tropicaux.

Le temps est venu de reprogrammer vos papilles gustatives, car les insectes sont en réalité très nutritifs, en plus d’être savoureux. Bon appétit!

La consommation d’insectes fait partie de l’histoire de l’humanité

Les êtres humains mangent des insectes depuis dix mille ans. Les chasseurs-cueilleurs ont été les premiers à pratiquer l’entomophagie (la consommation d’insectes) pour survivre lorsque les proies se faisaient rares. C’est en observant les animaux qu’ils ont appris quels insectes étaient comestibles, évitant ainsi de consommer des araignées et des insectes toxiques. Les insectes sont rapidement devenus une source de nutrition courante qui persiste encore de nos jours.

A priori, les insectes n’ont rien pour ouvrir l’appétit. Par contre, lorsqu’on les compare à d’autres sources de protéines, ces petites créatures ont plus à offrir qu’il n’y paraît. La sauterelle, par exemple, est plus dense en protéines que le bœuf et elle se distingue de ce dernier dans deux catégories : les fibres et le gras. En effet, la sauterelle a moins de gras et plus de fibres par gramme que le bœuf.

Les sauterelles ne sont pas les seuls insectes à se démarquer. On retrouve toute une variété d’insectes sur les tables partout dans le monde.

Les peuples du monde entier mangent des insectes

Amérique du Sud et Afrique

Le scarabée est considéré comme une collation de choix dans le bassin amazonien et certaines régions d’Afrique. Plus riche en protéines que d’autres insectes, il excelle dans la conversion de la cellulose (le sucre des plantes) en gras digestibles.

Australie

Bien que petite, la fourmi a beaucoup à offrir à l’organisme. Les peuples aborigènes d’Australie mangent des fourmis pot-de-miel comme friandises, car leur ventre est rempli d’une substance semblable à du nectar. En Colombie, un type de fourmi coupeuse de feuilles est grillé et mangé en guise de collation.

Thaïlande

En Thaïlande, les fourmis rouges sont souvent cuites et ajoutées aux salades. On trouve plus de protéines dans 100 grammes de fourmis rouges que dans 100 grammes d’œuf (environ deux œufs durs) : environ 14 grammes pour les fourmis et 12 pour les œufs. La fourmi est également intéressante pour ceux qui surveillent leur apport calorique, car sa teneur en calories et en glucides est faible.

Amérique latine, Asie et Afrique

Le grillon, la sauterelle et la locuste sont les insectes les plus couramment consommés, possiblement parce qu’ils sont faciles à trouver et à attraper. Beaucoup de gens sont d’avis que le grillon rôti a un goût de noisette. Ces insectes prennent la saveur des aliments avec lesquels ils sont cuisinés et entrent couramment dans la préparation des sautés et des currys.

L’abeille est déjà très populaire pour son miel, mais cette petite travailleuse se prête aussi à la consommation. Les peuples indigènes des continents africain et asiatique, ainsi que ceux de l’Australie et du Mexique consomment des abeilles pendant qu’elles sont encore jeunes. Les œufs, les larves et les nymphes ont un goût d’arachide ou d’amande. Faites attention aux abeilles adultes, elles peuvent piquer!

Afrique du Sud

Dans la cuisine des insectes, la punaise des bois est un trésor caché. On la consomme au Zimbabwe et dans certaines parties d’Afrique du Sud. Elle ajoute une saveur de pomme aux plats cuisinés, en plus d’être riche en iode.

Les insectes sont une source durable de protéines

La population mondiale actuelle est de sept milliards et demi. Un grand nombre de chefs d’État sont à la recherche de sources de protéines durables afin de pouvoir nourrir leurs populations grandissantes. La consommation d’insectes pourrait être une solution.

Les insectes ont fait les manchettes au cours des dernières années en raison de leur faible coût économique et environnemental. Les grillons, par exemple, prennent très peu de place, se reproduisent rapidement et peuvent se nourrir de déchets de compostage et d’un peu d’eau. Ils sont qualifiés de « protéine écologique », en référence à leur efficacité à convertir les plantes en protéines. En ce sens, l’élevage d’insectes est beaucoup plus rentable que l’élevage de bovins.

Les insectes exigent beaucoup moins d’eau et d’espace que le bétail. Quarante-cinq kilos de nourriture pour le bétail sont nécessaires pour produire 4,5 kilos de bœuf. La même quantité de nourriture rapporte 20 kilos de grillons.

Les partisans de la « protéine écologique » sont également enthousiastes à l’idée que manger des insectes contribue à la lutte antiparasitaire. En effet, la récolte d’insectes est une façon écologique de se débarrasser des insectes nuisibles qui détruisent les cultures. C’est pourquoi l’idée de cuisiner des insectes, comme solution de rechange aux pesticides, fait son chemin.

Qu’elles viennent des insectes ou non, les protéines sont essentielles pour la santé

Que l’on mange des insectes, du bœuf, du poulet, du poisson ou des protéines végétales, les protéines de qualité sont indispensables à une alimentation saine. Elles sont également essentielles au maintien d’une bonne forme physique. La majorité des gens savent que les protéines entrent dans la formation des muscles, mais leur rôle dans l’organisme est bien plus vaste. À titre d’exemple, les tissus conjonctifs sont riches en protéines. Les cheveux, les anticorps, le sang et les enzymes ont également besoin de protéines pour fonctionner comme il se doit.

Souvent, les recommandations qui concernent les protéines alimentaires sont mal comprises.

Selon les recommandations actuelles en matière d’alimentation, une proportion de 10 à 35 % des calories consommées quotidiennement devrait provenir des protéines. Il y a plusieurs façons d’arriver à ce pourcentage. La viande animale est une bonne source, tout comme le yogourt grec, le lait, les fèves, le fromage, les noix et les œufs.

Vous pouvez ajouter les insectes à cette liste de sources de protéines, si vous êtes assez braves pour tenter d’en manger.

Y a-t-il des inconvénients à manger des insectes?

Chaque grand changement présente des avantages et des inconvénients. Il y a de bonnes raisons de manger des insectes, mais abordons quelques inconvénients dont il faut tenir compte avant d’ajouter des insectes à votre alimentation.

Il est important de noter que tous les « contre » énumérés ici ne présentent qu’un très petit risque, pas plus grand que les risques associés aux aliments que nous consommons déjà. Les experts s’accordent à dire que les avantages de manger des insectes l’emportent largement sur les risques.

Allergies alimentaires

Alors que les insectes sont consommés depuis des siècles, la science moderne en sait très peu sur la façon dont ils affectent notre corps.

Une étude a révélé que les insectes ont le potentiel de déclencher le même type de réaction allergique que les crustacés (comme les crevettes et le homard).

Les insectes et les crustacés appartiennent à la famille des arthropodes, ce qui signifie qu’ils ont un exosquelette. Ces anatomie et physiologie similaires pourrait être liée à la possibilité d’allergènes.

Si vous savez que vous êtes allergique aux crustacés, il vaudra peut-être mieux vous passer de sauterelles rôties.

Bactéries

Les insectes doivent toujours être élevés dans un environnement propre. Si la ferme n’est pas hygiénique, il y a une chance qu’une petite quantité de bactéries porteuses de spores ou un parasite s’y introduise.

Réglementer les conditions dans lesquelles les insectes sont élevés suffirait probablement à éliminer complètement ce risque.

Pesticides

Il existe très peu de recherches sur l’utilisation des pesticides dans l’élevage d’insectes. Une étude a révélé de très faibles niveaux de certains produits chimiques nocifs dans les insectes élevés. Cependant, ces niveaux n’étaient pas supérieurs à ce que nous trouvons déjà dans nos aliments d’origine animale.

Toxines

Les fourmis, les abeilles et de nombreux autres insectes produisent des toxines comme mécanismes de défense contre les prédateurs. Ces toxines peuvent être dangereuses, voire même fatales, pour les humains qui en consomment.

Il est conseillé de s’informer sur les insectes qui peuvent être consommés sans danger. Le risque est beaucoup plus élevé avec la consommation d’insectes sauvages par rapport aux insectes élevés par un éleveur.

Comment commencer à manger des insectes?

Si vous êtes convaincu des avantages de la consommation d’insectes, vous vous demandez probablement par où commencer. Le marché de la vente d’insectes est petit; vous les achèterez donc probablement en ligne.

Le plus facile est de commencer par la farine de grillon. Elle peut être achetée prête à l’emploi et ajoutée aux produits de boulangerie, aux salades, aux soupes et aux smoothies.

Vous pouvez également commander des grillons séchés et préparés. Rappelez-vous que ces collations à base d’insectes s’apparentent au bœuf séché. Leur texture et leur consistance n’ont rien à voir avec un vrai steak.

La façon la plus savoureuse de commencer à manger des insectes est de les commander vivants, directement auprès d’une ferme d’insectes.

Congelez vos insectes vivants pendant 2 à 10 heures. Lavez-les bien. Ensuite, préparez-les et faites-les cuire comme vous le feriez avec n’importe quelle viande ordinaire. Vous pouvez les faire revenir avec de l’ail ou des légumes, ou les paner avec de la farine et les faire frire dans de l’huile ou encore, les ajouter à des pâtes. Il existe de nombreuses recettes en ligne pour vous inspirer.

Élever ses propres insectes

Une fois que vous aurez commandé des insectes, vous vous rendrez probablement compte qu’ils sont tout aussi délicieux que beaucoup d’autres aliments! Le moyen le plus écologiquement et financièrement durable d’incorporer des insectes dans votre alimentation est d’élever vos propres insectes à la maison.

Les grillons, les vers de farine et les teignes sont parmi les insectes les plus disponibles et ne nécessitent pas plus de 0,2 m2 d’espace. La taille d’un bac en plastique. Vous pouvez acheter une ruche pré-construite ou télécharger des instructions et construire votre propre habitat.

Manger des insectes, c’est bon pour vous

Si vous cherchez à rehausser la saveur de vos aliments, pensez aux insectes dans la nature. Il n’y a aucun risque pour la santé à manger des insectes, dans la mesure où vous choisissez les bons. En plus, ils constituent une excellente source de protéines. Votre corps a besoin de protéines pour vous garder actifs et en santé.

Si l’idée d’ajouter des insectes à votre prochain repas vous angoisse, prenez en considération les retombées positives de l’élevage d’insectes sur l’environnement. Loin de faire bande à part, vous vous joindrez aux milliards de personnes pour qui les protéines d’insectes font partie intégrante d’une alimentation saine.

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Lorsque vous entendez le mot « innovation », vous pensez probablement à la technologie. Après tout, la technologie a parcouru un long chemin au cours des 30 dernières années, sans parler des 2 millions d’années d’existence humaine. Ici chez USANA, alors que nous approchons du 30ᵉ anniversaire de notre entreprise, nous pensons à un autre type d’innovation : l’innovation nutritionnelle.

Trois décennies, c’est un jalon qui appelle à la réflexion. Le domaine de la nutrition a fait de grands progrès au cours des 30 dernières années, et USANA a toujours été là. Dans cet esprit, nous revenons sur les principales innovations en matière de nutrition et de bien-être des 30 dernières années. Lisez la suite pour bénéficier d’un cours accéléré sur les meilleures recherches nutritionnelles, les produits et les avancées technologiques les plus récents! (La liste suivante ne suit pas un ordre particulier.)

  1. Enrichissement des aliments

Il existe deux types de nutriments dont le corps a besoin : les macronutriments et les micronutriments. Les macronutriments incluent les protéines, les lipides et les glucides, dont le corps a besoin en quantités relativement élevées. Les micronutriments, à savoir les vitamines et les minéraux, sont nécessaires en plus petites quantités.

Les vitamines et les minéraux contribuent à diverses fonctions vitales de l’organisme, mais malheureusement, de nombreuses personnes n’en consomment pas la quantité nécessaire. Pour aider à lutter contre les carences en vitamines et minéraux dans la population générale, les scientifiques ont développé le processus d’enrichissement des aliments. L’idée derrière l’enrichissement est assez simple : comme la population ne consomme pas suffisamment de micronutriments, les scientifiques ont développé des moyens permettant d’ajouter des micronutriments aux aliments. C’est une pratique particulièrement courante avec les aliments de base, comme les céréales et les produits laitiers.

L’enrichissement des aliments n’est pas nouveau; c’est une pratique courante dans de nombreux pays depuis les années 1920. Alors pourquoi ce processus fait-il partie de notre liste d’innovations nutritionnelles récentes? La réponse est simple : l’enrichissement des aliments est encore un processus relativement nouveau dans de nombreux pays en développement. En 1970, par exemple, seulement 20 % des ménages dans le monde consommaient du sel iodé. En 2008, ce chiffre est passé à 70 %.

  1. Recherche sur le microbiome

De nouvelles recherches font constamment évoluer la façon dont les scientifiques comprennent le corps humain. Et récemment, certains scientifiques se sont penchés sur l’intestin. Ou plus précisément, sur le microbiome, soit les billions de micro-organismes qui vivent dans l’intestin grêle et le gros intestin.

Votre microbiome joue un rôle crucial en aidant votre corps à traiter les composés alimentaires toxiques, à traiter et à produire des micronutriments et à décomposer les glucides complexes. En bref, le microbiome aide à protéger le corps et à digérer les aliments, deux éléments vitaux pour votre santé.*

Quelle est le rôle de la nutrition dans tout cela? Parmi les billions de micro-organismes qui composent votre microbiome, chacun joue un rôle différent. Lorsque tout fonctionne bien et que votre microbiome est « équilibré », ces différents micro-organismes coexistent sans causer de problèmes. Des études récentes ont montré que divers facteurs peuvent affecter cet équilibre. L’un de ces facteurs est le régime alimentaire.

Il existe un certain nombre de facteurs alimentaires, qui peuvent influencer la variété d’organismes dans votre microbiome. Si vous avez entendu parler des prébiotiques et des probiotiques, c’est d’eux qu’il s’agit. Les aliments et suppléments probiotiques contiennent des bactéries vivantes (les bonnes!), qui aident à reconstituer et à maintenir l’équilibre de votre microbiome.*

  1. Suivi des macro- et micronutriments

Comme nous l’avons mentionné ci-dessus, votre corps a besoin à la fois de macronutriments et de micronutriments, et dans des quantités spécifiques pour chacun. (C’est pourquoi des pourcentages de valeurs quotidiennes figurent sur les étiquettes nutritionnelles.) Il y a toutefois un problème : votre corps est unique, tout comme ses besoins nutritionnels. Bien sûr, il existe des niveaux de base de nutriments que tout le monde devrait consommer, mais au-delà de cela, votre consommation de nutriments requise dépendra de votre corps, de vos niveaux d’activité et de vos objectifs de santé et de bien-être pour vous-même.

Voici la bonne nouvelle : grâce à une grande variété d’applications de sport et de nutrition, il est plus facile que jamais de suivre votre consommation de macro- et micronutriments. Que votre objectif soit de développer vos muscles, de perdre quelques kilos ou simplement de maintenir votre niveau de santé actuel, ces applications peuvent vous aider à définir des objectifs, à suivre une variété de points de données liés à votre nutrition et à identifier les changements alimentaires qui vous aideront à atteindre vos objectifs.

Ces applications, qui sont souvent utilisées conjointement à des bracelets qui surveillent la fréquence cardiaque, sont un parfait exemple de la façon dont les avancées technologiques et les innovations peuvent se recouper avec le domaine de la nutrition.

  1. Sensibilisation aux allergènes

Les allergies et les sensibilités alimentaires sont beaucoup plus répandues qu’on ne le pensait auparavant. Cela a provoqué un essor des produits antiallergiques. Que vous soyez intolérant au lactose, allergique au gluten ou aux noix, de plus en plus de produits remplissent les rayons des supermarchés chaque année, qui sont sans danger pour votre consommation. Chez USANA, nous avons sauté le pas en proposant dès le départ une grande variété de produits sans danger en termes d’allergies.

  1. Posologie de la vitamine D

En ce qui concerne la santé des os, votre corps dépend fortement de deux micronutriments : la vitamine D et le calcium. La vitamine D aide le corps à absorber le calcium, mais elle fait beaucoup plus : du soutien d’un système immunitaire sain à un bon fonctionnement musculaire. Inutile de souligner qu’il s’agit d’une partie importante de votre alimentation. Pendant des années, les scientifiques et les diététiciens ont sous-estimé la quantité de vitamine D dont le corps a besoin chaque jour.*

De nombreuses sources recommandent entre 600 et 800 unités internationales (UI) de vitamine D par jour, mais ces niveaux peuvent ne pas être suffisants pour prévenir une carence en vitamine D. Lorsque vous ne consommez pas suffisamment de vitamine D, vous ne vous sentez peut-être pas au mieux de votre forme. La vitamine D aide à maintenir les niveaux d’énergie et la bonne humeur.*

Chez USANA, nous avons reformulé USANA CellSentials et notre supplément de vitamine D pour qu’ils contiennent des niveaux plus élevés de vitamine D avant que quiconque ne fasse ce changement. Ce niveau d’apport quotidien en vitamine D peut aider votre corps à maintenir des niveaux appropriés de vitamine D, même lorsque vous ne passez pas beaucoup de temps au soleil.

  1. Utilisation généralisée de la médecine traditionnelle chinoise

Ces dernières années, la médecine traditionnelle chinoise (ou MTC) a connu une popularité croissante aux États-Unis et en Europe. Ce cadre alternatif pour aborder la santé et le bien-être se concentre sur le maintien de l’équilibre du corps et comprend une variété de pratiques telles que l’acupuncture, certaines formes de massage et les ventouses. Ce cadre médicinal comporte également un aspect diététique.

Ces pratiques et d’autres ont été adoptées par certains praticiens de la santé aux États-Unis et intégrées à la médecine occidentale. Ce n’est pas une innovation en soi, car la MTC existe depuis des siècles, mais elle est utilisée de manière novatrice conjointement à d’autres cadres médicaux.

  1. Recyclage des pépins de raisin

Grape seeds

L’industrie alimentaire produit beaucoup de déchets, ce qui n’est un secret pour personne. Naturellement, les gens recherchent continuellement des moyens de réduire ces déchets ou de les utiliser à bon escient. C’est exactement ce qu’USANA a fait avec les pépins de raisin.

Tout a commencé avec les polyphénols, une catégorie de micronutriments présents dans les plantes. La consommation de polyphénols est associée à un certain nombre d’avantages pour la santé, donc naturellement, les gens veulent en maximiser leur consommation. De nombreux suppléments tirent leurs polyphénols de l’écorce de pin maritime, qui est une ressource limitée. Chez USANA, nos scientifiques ont découvert que les pépins de raisin contenaient des niveaux similaires de polyphénols, ainsi que des polyphénols supplémentaires que l’on ne trouve pas dans l’écorce de pin. Et il y a mieux encore. Les pépins de raisin constituent généralement une forme de déchets alimentaires. En utilisant les polyphénols provenant de ces pépins, USANA réduit ce gaspillage.

  1. Consommation de protéines plus élevée

La plupart des gens, en particulier les amateurs de sport, connaissent les avantages de manger des aliments riches en protéines. Les protéines sont bonnes pour votre cerveau et aident votre corps à construire et à réparer les tissus musculaires. La quantité de protéines généralement recommandée pour la consommation quotidienne se situe entre 0,8 et 0,83 gramme de protéines par kilogramme de poids corporel.

Cela dit, des études récentes suggèrent qu’il existe certains avantages à consommer plus de protéines par jour, en particulier pour les personnes qui cherchent à perdre quelques kilos. Il a été prouvé que les régimes riches en protéines (c’est-à-dire les régimes qui contiennent plus de protéines que la quantité précédemment recommandée) favorisent la gestion du poids et la synthèse de la masse musculaire maigre.

  1. Substituts aux protéines animales

Comme la plupart des végétariens de longue date peuvent en témoigner, les substituts de viande, à savoir des produits à base de plantes qui simulent la saveur et la texture de la viande, existent depuis longtemps. Pendant des années, cependant, ces produits ne ressemblaient pas à de la viande et n ‘étaient pas nutritifs. Les produits récents ont complètement changé la donne.

De nos jours, les végétariens, les végétaliens et ceux qui évitent simplement la viande rouge peuvent faire leur choix parmi une variété de substituts de viande disponibles dans la plupart des magasins. Ces produits nutritionnels récemment mis au point contiennent des niveaux de protéines similaires à ceux du bœuf haché, mais moins de gras et de cholestérol. De plus, la saveur et la texture sont plus proches que jamais de la vraie viande.

  1. Index glycémique

Lorsque vous mangez des glucides, votre taux de glycémie augmente. Ce n’est pas nécessairement un problème, car les glucides sont un nutriment essentiel après tout, mais c’est un élément à garder à l’esprit. Et il s’avère que certains aliments font augmenter votre taux de glycémie plus que d’autres. Découvrez la notion d’indice glycémique. Il s’agit essentiellement d’un moyen de mesurer la quantité de glucides dans un aliment et la vitesse à laquelle ceux-ci font augmenter votre taux de glycémie, et d’attribuer à cet aliment une valeur numérique en conséquence.

Ainsi, les aliments dont l’indice glycémique (IG) se situe entre 1 et 55 sont considérés comme ayant un faible indice glycémique. Les aliments se situant dans une fourchette entre 56 et 69 ont un indice glycémique modéré, et tous ceux qui se trouvent au-dessus sont considérés comme ayant un indice glycémique élevé.

En utilisant l’indice glycémique comme guide, certaines personnes suivent ce qu’on appelle un régime IG. Ce régime se concentre exclusivement sur la valeur IG des aliments. Chez USANA, nous tenons compte de l’indice glycémique lors du développement de nos produits alimentaires, en veillant à ce que nos produits aient un faible indice glycémique.

Family going to holiday on summer vacation

Family going to holiday on summer vacation

Voyager en famille implique beaucoup de bagages, au sens propre comme au sens figuré. Il est déjà suffisant de gérer le stress habituel et de s’assurer que tout le monde a emporté les bons vêtements, a ses billets et ses pièces d’identité, est correctement nourri et ne pleure pas. La dernière chose dont vous avez besoin est un problème de santé, quel qu’il soit.

Il n’y a pas de moyen infaillible d’éviter les maladies et les blessures en voyage. Mais la bonne nouvelle est que vous pouvez prendre certaines mesures pour vous aider, vous et votre famille, à rester en sécurité et en bonne santé lors de votre prochaine aventure. Il suffit juste d’un peu de planification. Alors, avant vos prochaines vacances ou votre prochain voyage en voiture, faites bon usage des conseils de voyage en famille que vous lirez ci-dessous.

La prévention est le meilleur remède : préparez votre famille aux voyages

Avant d’embarquer pour un voyage en famille, qu’il s’agisse d’un court trajet en voiture ou d’un vol transocéanique, il est important que tout le monde soit déjà en bonne santé. Si vous (ou vos enfants) n’avez pas été chez le médecin pour un contrôle depuis longtemps, il est recommandé de prendre rendez-vous avant tout voyage important. Cela est particulièrement vrai si votre prochain voyage vous emmène dans des zones reculées ou dans des pays dont l’infrastructure sanitaire est en cours de développement.

En outre, les voyages, en particulier dans un nouveau pays, peuvent vous exposer à différentes maladies et à un risque accru de contracter diverses maladies. Grâce à la médecine moderne, de nombreux vaccins sont disponibles pour vous protéger. Avant de voyager à l’étranger, il est important que vos vaccinations ainsi que celles de votre famille soient à jour. Votre médecin peut également vous conseiller des vaccins supplémentaires ou des médicaments sur ordonnance pour mieux protéger votre santé. Comme bon nombre de ces médicaments sur ordonnance nécessitent plusieurs jours pour commencer à être efficaces, organisez-vous et consultez votre médecin le plus tôt possible.

Si vous voyagez avec de jeunes enfants, il est possible qu’ils n’aient pas encore reçu tous leurs vaccins de routine. Avant de partir en voyage, n’oubliez pas d’en parler à leur pédiatre. Dans certains cas, le médecin peut recommander un calendrier vaccinal légèrement accéléré pour votre enfant ou lui déconseiller totalement de voyager.

Ce qu’il faut prendre avec vous pour garder la famille en bonne santé pendant les voyages

Vous avez réservé vos billets, planifié votre itinéraire, trouvé un logement et consulté votre médecin de famille. Maintenant, il est temps de faire les bagages. Tout le monde devrait emmener une tenue appropriée pour le voyage, mais certains autres éléments essentiels au voyage peuvent être moins évidents. Cochez les articles de la liste ci-dessous pour vous assurer que les éléments essentiels à la santé de votre famille sont couverts.

  1. La protection solaire : il est pratiquement impossible d’éviter de s’exposer au soleil. Chaque fois que vous sortez, vous allez entrer en contact avec des rayons solaires. L’exposition au soleil a toutefois aussi des inconvénients : coups de soleil, déshydratation et, en cas de forte chaleur, coup de chaleur.
    Pour protéger votre peau contre les effets néfastes des rayons du soleil, il est important d’utiliser un écran solaire tout au long de la journée. Si vous vous exposez au soleil pendant de longues périodes, n’oubliez pas de renouveler l’application de votre crème solaire toutes les quelques heures. Sinon, vous risquez d’attraper un méchant coup de soleil!
  2. Les médicaments : naturellement, si vous ou d’autres membres de votre famille prenez régulièrement des médicaments sur ordonnance ou pas, vous devez les emporter en voyage. Vous devriez également emmener des médicaments d’urgence comme ceux prescrits contre l’anxiété aiguë ou les EpiPens s’il y a une chance que vous en ayez besoin.
    La quantité de certains médicaments que vous pouvez emporter en voyage peut être limitée. Faites vos recherches au préalable. Il est également recommandé d’apporter les documents relatifs à vos ordonnances. Vous n’en aurez peut-être pas besoin, mais si quelqu’un vous demande des preuves, vous serez content de les avoir emportés!
  3. Les bouteilles d’eau : la déshydratation est l’un des problèmes de santé les plus fréquents auxquels les voyageurs sont confrontés. Heureusement, la solution à ce problème est toute simple : buvez plus d’eau. Il existe plusieurs façons de vous hydrater, vous et votre famille (nous y reviendrons plus tard), mais un bon point de départ consiste à emporter avec vous des bouteilles d’eau. Si vous prenez l’avion, n’oubliez pas que dans certains pays, vous ne pourrez pas faire passer les liquides par les contrôles de sécurité. Emportez donc des bouteilles réutilisables et remplissez-les une fois que vous aurez passé les contrôles.
  4. Des collations saines : la nourriture est un carburant. Elle donne à votre corps l’énergie dont il a besoin pour accomplir les fonctions essentielles au quotidien. Une alimentation nutritive peut vous aider à vous sentir bien, à faire le plein d’énergie et peut même favoriser un sommeil de qualité. Et tous ces aspects sont importants en voyage.
    La majeure partie de votre alimentation, même lorsque vous êtes sur la route, devrait provenir de repas complets. (Si vous cherchez des conseils pour manger sainement en voyageant, consultez cet article). Cela dit, il n’est pas toujours possible de s’asseoir et de savourer un repas. Parfois, on a besoin d’un en-cas pour tenir le coup pendant quelques heures. Lorsque vous préparez des collations pour votre voyage, vous devez vous concentrer sur la nutrition. Les aliments riches en protéines et les céréales complètes vous donneront une sensation de satiété et d’énergie plus longtemps que les aliments sucrés et raffinés.
    Si un membre de votre famille souffre du mal des transports, que ce soit en voiture ou en avion, prévoyez des aliments fades et faciles à digérer. Ils seront très utiles si vous ou l’un de vos enfants avez la nausée, mais avez quand même besoin de manger.
  5. Des vêtements de protection : les vêtements peuvent vous protéger de votre environnement, qu’il s’agisse de plantes toxiques lors d’une randonnée ou de températures bien en dessous de zéro. Lorsque vous planifiez votre voyage, tenez compte des facteurs environnementaux auxquels vous pourriez être confronté. Fera-t-il chaud? Froid? Pleuvra-t-il? Faites vos choix vestimentaires en fonction de l’environnement et du temps.
    S’il peut être amusant d’acheter de nouveaux vêtements pour les vacances, c’est aussi une bonne idée d’emporter de vieilles tenues fiables : celles avec lesquelles vous savez que vous pouvez marcher confortablement pendant plusieurs kilomètres. Il n’y a rien de pire que de s’équiper pour une journée d’exploration d’un nouvel endroit et de voir ses vêtements s’user ou se déchirer.

L’hydratation en mouvement pour vous et vos enfants

En matière de voyages sains (et de santé en général), on ne saurait trop insister sur l’importance de l’eau et de l’hydratation. L’eau assure le bon fonctionnement de tout votre corps. Une quantité insuffisante de liquide peut donc entraîner toutes sortes de problèmes de santé.

Rester hydraté à la maison peut déjà être une gageure, et lorsque vous êtes sur la route, ce n’est pas plus facile. L’hydratation doit donc être une priorité lorsque vous voyagez en famille. Il existe de nombreuses façons de s’assurer que tout le monde reste hydraté, et votre approche dépendra probablement de la façon dont vous voyagez.

  • S’hydrater en avion : l’interdiction de faire passer des bouteilles d’eau par la sécurité des aéroports peut poser un problème aux personnes qui essaient de s’hydrater sans payer le prix ridicule d’une bouteille d’eau dans les aéroports. Heureusement, il existe une solution simple : emportez des bouteilles d’eau réutilisables pour chaque membre de votre famille. Une fois que vous aurez passé la sécurité, vous pourrez les remplir à une fontaine à boire et les emporter dans l’avion.
    Une fois à bord, votre approvisionnement en eau peut être limité. Vous ne pouvez pas simplement remplir la bouteille à une fontaine. Pour éviter de vous déshydrater, surtout pendant les longs vols, limitez votre consommation d’alcool et de caféine. Buvez de l’eau plate à la place.
  • S’hydrater pendant les voyages en voiture : rien de tel qu’un voyage en voiture de plusieurs jours pour profiter de l’été. Voyager en voiture n’est pas l’option la plus rapide, mais elle vous permet d’emporter beaucoup plus de choses avec vous. Et en matière d’hydratation, c’est un plus. Les bouteilles d’eau réutilisables sont toujours une bonne option pour les voyages en voiture, mais il est également conseillé d’avoir une grande réserve d’eau dans votre coffre en cas d’urgence. Les longs trajets en voiture peuvent vous faire traverser des zones reculées. Si votre voiture tombe en panne, vous aurez besoin de suffisamment d’eau pour que tout le monde soit hydraté jusqu’à l’arrivée des secours.
    Cela peut sembler contre-intuitif, mais votre apport en liquide ne doit pas nécessairement provenir uniquement de l’eau. Vous pouvez également contribuer à maintenir votre corps hydraté en mangeant des aliments à forte teneur en eau. Une glacière remplie de melon d’eau, d’oranges ou de morceaux d’ananas fournit des collations saines et hydratants lors d’un voyage en voiture.

Faites participer tout le monde à la conversation sur les voyages, même vos enfants.

Vous connaissez votre corps et vos besoins mieux que quiconque. De même, vous savez ce qui vous permet de vous sentir au mieux mentalement et physiquement. Il en va de même pour votre partenaire, vos enfants et toute autre personne avec laquelle vous pouvez voyager. Vous ne pouvez planifier et vous préparer pour maintenir la santé des autres que jusqu’à un certain point. À un moment donné, il convient de les faire participer à la conversation.

Lorsque vous préparez votre voyage, parlez à vos enfants. Demandez-leur ce que vous pouvez apporter qui les aidera à se sentir détendus, à l’aise et heureux. Il peut s’agir de prendre un livre supplémentaire, une tablette pour les films et les jeux, ou de la musique qu’ils veulent en écouter pendant le voyage. Essayez d’emporter des collations nutritives, mais appréciées de vos compagnons de voyage.

Et bien sûr, n’oubliez pas de prendre soin de vous et de vous amuser. S’occuper de la santé des autres est épuisant. Demandez-vous ce que vous faites pour votre santé. Prenez le temps de prendre soin de vous et de vous détendre un peu. Après tout, les voyages et les vacances devraient être l’occasion de relâcher un peu la pression.

sleeping on a plane

sleeping on a plane

Il n’y a rien comme la sensation que l’on ressent en se glissant entre les draps après une longue journée de travail. Malheureusement, on peut difficilement compter sur ce plaisir quand on est appelé à voyager. Pourtant, il ne faut pas nécessairement renoncer à un sommeil de qualité sur la route.

Il peut être difficile de trouver un sommeil de qualité à bord d’un avion, dans un long trajet en voiture ou dans un autre fuseau horaire. En pareille situation, chacun semble avoir sa propre solution : somnifère, oreiller cervical, horaires de sommeil structurés et quoi d’autre encore.

Avant de fixer votre choix sur une solution toutefois, il est important de bien comprendre le problème. Pourquoi est-il si difficile, exactement, de bien dormir en voyage? Vous trouverez dans l’article qui suit le fondement scientifique des habitudes de sommeil, ainsi qu’une série de conseils qui vous aideront à mieux dormir sur la route.

Le rythme circadien pour mieux comprendre votre horloge biologique

En plus de transformer chaque jour la nourriture en énergie, votre organisme élimine les déchets, réagit à des stimuli complexes, lutte pour préserver votre santé et bien plus encore. Heureusement, la plupart de ces processus sont automatiques. Ils s’exécutent sans même que vous ayez à y penser.

Parmi ces processus, il y a le cycle veille-sommeil. Pour la plupart des gens, il est naturel de s’assoupir le soir, de dormir la nuit, puis de s’éveiller le matin venu. Dans ce contexte, comment l’organisme sait-il à quel moment il doit s’endormir et à quel moment il doit s’éveiller? La réponse est étonnamment simple et se trouve dans le cycle circadien.

Vous en avez sans doute entendu parler sous la désignation d’horloge biologique, ce qui est assez juste. On entend par rythme circadien un cycle de 24 heures qui régule diverses fonctions de l’organisme, à partir de la digestion jusqu’au sommeil. Ce cycle est régi par le noyau suprachiasmatique (NSC), situé dans l’hypothalamus (une partie du cerveau au-dessus du tronc cérébral). Bon nombre de stimuli agissent sur le NSC, notamment la lumière, ce qui en fait naturellement un facteur primordial dans le cycle veille-sommeil.

Au coucher du soleil, le NSC commence à envoyer des signaux pour préparer votre corps au sommeil. L’organisme libère alors de la mélatonine, une hormone qui entraîne la somnolence. Puis, au lever du jour, le NSC envoie un signal neurologique contraire qui incite le corps à s’éveiller.

Au point où nous en sommes, vous vous demandez peut-être ce que tout cela a à voir avec le voyage. Or, il faut savoir que le voyage perturbe souvent le cycle veille-sommeil de l’organisme. Nous y reviendrons un peu plus loin.

Voyage et sommeil

Plusieurs facteurs influent sur votre sommeil pendant vos déplacements. En repérant ceux qui s’appliquent à vous, vous arriverez à mieux choisir une solution efficace. Le premier facteur qui entre en ligne de compte est le confort. Un siège d’avion peut difficilement servir de lit. On peut en dire autant des sièges d’auto. Si vous prenez un vol de nuit ou si vous conduisez jusqu’au petit matin, votre horloge biologique indique à votre organisme qu’il est temps de dormir, mais en raison de l’espace restreint où vous vous trouvez, il peut devenir quasi impossible d’obtenir un repos de qualité.

Le deuxième facteur est lié au fuseau horaire. S’il y a un décalage de plus de deux heures par rapport à celui de votre milieu habituel, le cycle veille-sommeil de votre organisme s’en trouvera perturbé. Vous arriverez peut-être à destination en mi-journée, mais votre horloge biologique vous dira qu’il est temps d’aller au lit.

En dernier lieu, il faut aussi tenir compte du caractère familier du milieu. Le corps humain a beaucoup évolué au fil des ans, mais certains instincts sont profondément ancrés dans son système en fonction des stades antérieurs de l’histoire de l’humanité. Or, il se pourrait que l’un de ces instincts soit à l’origine de la difficulté à dormir dans des lieux étrangers ou qui nous sont peu familiers. Notre organisme reste instinctivement sur un pied d’alerte quand nous dormons dans un lieu qui nous est étranger – c’est l’instinct de survie qui nous tient à l’abri des menaces. Malheureusement, la vigilance et un sommeil de qualité font mauvais ménage.

Chacun de ces facteurs peut influer sur la qualité et la durée du sommeil (ou de l’insomnie). Ces perturbations du cycle de sommeil risquent de dérégler encore davantage l’horloge biologique. Par conséquent, quelles que soient les difficultés à dormir que vous ressentiez dans vos déplacements, vous devriez vous fixer pour objectif d’habituer votre organisme à un nouveau cycle veille-sommeil qui corresponde au fuseau horaire du lieu où vous vous trouvez.

Mélatonine 101 : ce qu’est cette hormone et cet aide-sommeil

Comme nous l’avons vu plus haut, la mélatonine est une hormone naturellement sécrétée par l’organisme pour provoquer la somnolence. Dans le noir, le cerveau envoie un signal à la glande pinéale qui libère de la mélatonine pour favoriser le sommeil. Une fois l’organisme exposé à la lumière, cette sécrétion cesse, ce qui entraîne le réveil.

Dans l’organisme humain, la mélatonine est sécrétée par la glande pinéale de la grosseur d’un petit pois, mais on peut aussi synthétiser la mélatonine en laboratoire. Connue sous l’appellation de mélatonine exogène et commercialisée comme aide-sommeil, on la trouve sous forme de comprimés, capsules ou gélules.  Sa consommation vise à favoriser un sommeil sain.

Vous comprenez sans doute maintenant en substance ce qui fait que les suppléments de mélatonine fonctionnent. Par contre, vous vous posez peut-être bien des questions sur son lien avec le sommeil en voyage. Voici donc des réponses à certaines questions couramment posées :

  • Quand devrais-prendre de la mélatonine? Si vous prenez un supplément de mélatonine, il faudra compter entre 30 minutes et une heure pour que s’élèvent les niveaux de mélatonine dans votre débit sanguin. Autrement dit, vous ne ressentirez pas de somnolence avant au moins 30 minutes. Il faut donc établir votre horaire en conséquence. Si vous savez que vous allez coucher à l’hôtel ou dans un lieu peu familier, vous pouvez essayer d’atténuer votre agitation en prenant votre mélatonine environ une demi-heure avant le coucher. Si vous la prenez au milieu de la nuit, elle risque de rester dans votre système trop longtemps, et vous ressentirez de la somnolence le matin.
  • Quelle quantité de mélatonine devrais-je prendre? La bonne posologie varie d’une personne à l’autre, mais elle se situe normalement entre 1 et 5 milligrammes. Il convient évidemment de vérifier la posologie recommandée sur l’étiquette. En cas de doute, commencez par une dose plus faible que vous pourrez augmenter au besoin.
  • Quelle est la durée des effets de la mélatonine? Comme la constitution de chacun diffère, le traitement de la mélatonine se fait à un rythme différent pour chacun. Selon toute vraisemblance, la mélatonine demeure présente dans le système pendant environ cinq heures.
  • Peut-on prendre de la mélatonine en toute sûreté? Comme la mélatonine est sécrétée naturellement par l’organisme, on peut l’utiliser en toute sûreté. De toute évidence, elle peut causer de la somnolence – c’est tout de même son but premier – et il faut donc éviter de la prendre avant de conduire. La mélatonine peut aussi avoir une interaction avec d’autres médicaments, par exemple les pilules anticonceptionnelles, les immunosuppresseurs et les antidépresseurs – il est donc à conseiller de consulter un médecin avant de prendre des suppléments de mélatonine.
  • La mélatonine peut-elle entraîner une dépendance? Si vous en faites une utilisation de courte durée, il est très peu probable qu’elle provoque une accoutumance. Pas plus d’ailleurs qu’une tolérance, c’est-à-dire que vous n’aurez pas besoin d’augmenter la dose pour ressentir les mêmes effets.
  • La mélatonine a-t-elle des effets secondaires? Il se peut qu’en plus de la somnolence, vous ayez des maux de tête, des étourdissements ou de la nausée. Parmi les effets secondaires plus rares, signalons ce qui suit : dépression passagère, crampes, anxiété et hypotension. Si vous ressentez ces effets secondaires, vous avez intérêt à consulter votre médecin avant de continuer à prendre un supplément de mélatonine.

Comment surmonter le décalage horaire

S’il vous est déjà arrivé de franchir des fuseaux horaires, vous avez probablement ressenti certains effets du décalage horaire. Ce phénomène survient lorsque l’heure de votre horloge biologique ne concorde pas avec celle du fuseau horaire où vous vous trouvez. Il se peut que votre rythme circadien envoie à votre corps un message qui diffère totalement de celui qui provient de facteurs environnementaux comme la lumière du jour. Il peut fort bien en résulter une perturbation de votre cycle veille-sommeil.

D’ordinaire, lorsque les gens parlent des moyens de surmonter le décalage horaire, il est avant tout question de s’adapter le plus rapidement possible au nouveau fuseau horaire, avec pour résultat un regain d’énergie pendant la journée, une bonne nuit de sommeil et plus de temps pour profiter d’un séjour à l’étranger. Bien sûr, c’est plus facile à dire qu’à faire.

La meilleure façon de composer avec le décalage horaire, c’est  de vous efforcer de suivre l’horaire de votre nouveau fuseau horaire, même si votre corps éprouve une sensation différente. Ainsi, sur le coup de 22 h (ou l’heure à laquelle vous allez normalement vous coucher chez vous), amorcez votre rituel du coucher : brossez-vous les dents, faites un peu de lecture et, le plus important, allez au lit.

Si vous avez du mal à vous endormir, mettez les facteurs environnementaux de votre côté. Assurez-vous d’éteindre toutes les lumières, fermez les tentures et portez un masque oculaire au besoin. Rappelez-vous : votre horloge biologique est facilement influencée par les signaux lumineux. Vous pouvez aussi prendre un supplément de mélatonine de 30 à 60 minutes avant d’aller au lit. La présence de mélatonine dans votre organisme aidera votre rythme circadien à s’adapter à son nouvel horaire.

Le matin venu, il est primordial de vous lever à une heure raisonnable. Si vous dormez jusqu’au début de l’après-midi, l’adaptation au nouvel horaire n’en sera que plus difficile. Lorsque le réveil sonne, ouvrez les rideaux et sortez à la lumière du jour. Avec une promenade matinale au soleil, votre corps saura qu’il est temps de se réveiller.

Technologie et sommeil : les effets positifs et négatifs des gadgets électroniques

Dans notre monde moderne, on peut faire appel à la technologie pour n’importe quoi ou presque, y compris pour mieux dormir en voyage. Lorsque vous allez dormir dans un lieu peu familier ou inconfortable, il y a certains gadgets à votre disposition pour vous assurer une bonne nuit de repos.

Sur des vols de longue durée, les bouchons d’oreille et les casques d’écoute à suppression de bruit peuvent tout changer. Le niveau de décibels recommandé pour le bruit blanc pendant le sommeil se situe entre 40 and 50. À bord d’un avion, le niveau de bruit est d’environ 80 décibels – un volume peu propice au sommeil.

Les casques d’écoute à suppression de bruit peuvent réduire dans une proportion allant jusqu’à 45 décibels les bruits ambiants, rendant ainsi plus supportable le volume sonore à bord d’un avion. Que vous utilisiez un casque d’écoute pour entendre de la musique classique douce ou du bruit blanc, ou simplement pour supprimer le bruit à l’aide de la fonction de sourdine, il pourra vous aider à vous assoupir dans un environnement normalement peu propice au sommeil.

Si vous dormez dans un nouvel environnement, vous vous sentez instinctivement tendu. C’est donc dire que votre ouïe est particulièrement sensible aux bruits ambiants – même pendant que vous dormez. Dans cet état d’hypersensibilité, même des bruits moins forts qu’à l’habitude peuvent suffire à vous réveiller.

Pour assourdir les bruits qui risquent de perturber votre sommeil, pensez à utiliser un appareil à bruit blanc ou rose. Les deux produisent un bruit ambiant constant pour amortir les autres bruits dans la pièce. (Le bruit blanc diffère légèrement du bruit rose, d’où la distinction, mais le mode de fonctionnement des deux appareils est très similaire.)

Bien qu’il vous soit possible de vous assurer un sommeil de qualité en voyage grâce à la technologie, il y a des écueils à éviter. Dans les moments qui précèdent l’heure du coucher, il vaut mieux rester à l’écart des écrans lumineux – télé, tablette ou téléphone – quel que soit le fuseau horaire ou le lieu où vous vous trouvez. Pour une bonne hygiène de sommeil, il importe d’éteindre les écrans jusqu’à deux heures avant de vous endormir.

Mettez en pratique ces conseils pour mieux dormir lors de votre prochain voyage

La période des vacances est synonyme de détente, divertissement et détachement du train-train de la vie quotidienne. Il est primordial de bien dormir à l’extérieur du foyer pour vous sentir rafraîchi et rajeuni – sans compter la bonne dose d’énergie qu’il faut pour profiter pleinement de votre sortie. Misez sur ces conseils de voyage et l’information sur votre horloge biologique dont vous pourrez aussi vous servir à domicile pour profiter du meilleur sommeil qui soit pendant vos vacances.

Cute baby boy drinking from bottle

Cute baby boy drinking from bottle

Près de la moitié des décès infantiles dans le monde sont causés par la sous-nutrition. Souvent négligée, la nutrition du nourrisson et de l’enfant est pourtant un élément essentiel de la santé publique. Une alimentation adéquate au cours des deux premières années du développement d’un sujet réduit son risque de maladie chronique et de morbidité pour le reste de ses jours. Cet élément de la santé publique pourrait améliorer les marqueurs de la qualité de vie dans tous les pays. Les pays développés qui disposent de ressources devraient avoir tout spécialement à cœur d’améliorer la nutrition du nourrisson et de l’enfant. Avec le temps, un meilleur apport nutritif pendant les jeunes années réduit les coûts liés à la santé, en plus d’apporter une plus-value économique, autant à la population en générale qu’à la famille.

Depuis des années, cette question ne se discute qu’entre les principaux fabricants de préparations pour nourrisson. Le moment est venu d’élargir le débat et de nous demander aussi ce qui se passe dans le monde de la nutrition pour nourrissons et enfants.

La meilleure façon d’alimenter le nourrisson demeure évidemment l’allaitement. Il lui procure les bons nutriments dans les formes les plus biodisponibles pour son système digestif. Pourtant, environ 38 % des nouvelles mamans décident de ne pas allaiter ou ne produisent pas une quantité suffisante de lait pour nourrir leur bébé. Pour ces familles, la qualité des préparations pour bébés est essentielle à une nutrition adéquate.

Principaux nutriments pour le nourrisson

Chaque nourrisson et chaque enfant ont droit à une nutrition adéquate. Comme le bébé ne peut se nourrir lui-même, il dépend de ses parents, de sa famille et de la société pour préserver sa santé et son développement. Voici certains des nutriments importants que la science moderne a définis comme essentiels pour le nourrisson.

  • Protéines – La synthèse des protéines contribue grandement à la croissance et au développement du nourrisson. Ce processus ne peut se dérouler de façon optimale sans la consommation régulière des acides aminés essentiels.
  • Calcium – Il appartient à ce minéral de soutenir la formation et le développement des os du nourrisson, la contraction musculaire, le fonctionnement cardiaque et d’autres fonctions biologiques.
  • Fer – Le développement cérébral dépend du fer qui joue un rôle primordial dans la synaptogenèse (formation des synapses), la myélinisation (isolation des neurones dans le cerveau), le métabolisme de l’énergie et plus encore.
  • Vitamines A, B, C et E – Ces vitamines aident à combler divers besoins liés au développement, comme la vision, la santé de la peau, l’immunité et la cognition, entre autres.
  • Acide docosahexaénoïque (ADH) – Parmi les acides gras oméga-3 essentiels au développement du nourrisson, l’ADH a été récemment reconnu comme aliment pour le cerveau du nourrisson en raison de son rôle primordial dans la vision et le développement cérébral.

Il n’en demeure pas moins que la nutrition du nourrisson est en réalité beaucoup plus complexe qu’une simple liste de nutriments. Par exemple, le lait maternel contient diverses protéines selon un rapport précis et sa composition nutritive change avec le temps en fonction des besoins du bébé en développement. Ce lait est entièrement biodisponible pour l’absorption par le système digestif du bébé.

Cet « or liquide » naturel met la barre haute pour les préparations pour nourrissons. La mise au point d’un produit capable de répondre à cette norme est un processus long et complexe qui se poursuit encore à ce jour.

Historique du développement de préparations pour nourrissons aux États-Unis

Avant l’apparition de toute forme de préparation pour le nourrisson, il y a eu l’époque des nourrices. Dans les familles plus aisées, les femmes incapables d’allaiter ou qui décidaient de ne pas le faire embauchaient une nourrice qui allaitait leur bébé à leur place. Dans les orphelinats et les familles de couche sociale inférieure où l’allaitement était impossible, les bébés étaient souvent nourris de lait d’ânesse ou d’autres animaux. Sans la moindre connaissance des germes et de la salubrité – et encore moins des préparations réglementées – le tiers des nourrissons qui n’étaient pas allaités mouraient avant leur premier anniversaire.

Heureusement, la situation a beaucoup changé dans les années 1800.

La première préparation commerciale pour nourrissons a été mise au point en 1860 par le chimiste allemand Justus von Leibig. C’était une préparation en poudre à base de farine de blé mélangée dans du lait de vache. La pasteurisation allait être découverte peu après. Le processus faisant appel à la chaleur pour éliminer les bactéries a éventuellement réduit le nombre d’infections et de maladies d’origine microbienne. La pasteurisation a aussi facilité le transport du lait non réfrigéré sans qu’il ne se perde.

Vers la fin des années 1800, la préparation Nestlé pour nourrissons était fabriquée à partir de farine de blé, farine de malt, sucre et lait de vache. En raison de son coût relativement élevé, cette préparation pour nourrissons a connu un succès de vente plutôt restreint.

La trajectoire de fabrication des préparations pour nourrissons a ensuite changé avec la mise au point du lait évaporé. Comme il se transportait encore plus facilement sans tourner, il a servi au départ à nourrir les soldats pendant la guerre de Sécession. Vers les années 1920, bon nombre d’études ont conclu qu’en plus d’être encore plus digestible pour les bébés, le lait évaporé se rapprochait davantage du lait maternel. Autant les médecins que les parents ont été convaincus. Le lait évaporé est devenu un ingrédient standard dans la fabrication des préparations pour nourrissons.

Après 1950, les préparations commerciales pour nourrissons sont devenues très populaires. Les préparations de marque Similac et Enfamil ont fait leur entrée sur le marché et ont pratiquement remplacé les préparations maison à base de lait évaporé. L’acceptation à grande échelle de ces nouvelles préparations ne tenait pas entièrement à un engouement populaire.

Pour gagner la confiance du public, les fabricants offraient leurs préparations aux hôpitaux gratuitement ou à peu de frais. Cette stratégie s’est révélée gagnante. Convaincues que les préparations commerciales pour nourrissons étaient « approuvées par les autorités médicales » comme nutrition optimale pour leurs bébés, bon nombre de femmes ont continué à les nourrir avec ces préparations à leur sortie de l’hôpital. De plus, elles étaient peu coûteuses et faciles à préparer. Ces préparations commerciales modernes avaient consolidé leur présence sur le marché, mais à défaut d’un encadrement réglementaire, certains nourrissons ont eu des problèmes de santé liés à la consommation de certaines préparations.

En 1980, les États-Unis adoptaient l’Infant Formula Act, une loi qui définissait les apports maximaux et minimaux de certains nutriments couramment utilisés dans les préparations pour nourrissons. Vers la même époque, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis allait imposer aux installations de fabrication de se soumettre à des tests d’évaluation et d’autres critères normatifs.

De nos jours, les préparations pour nourrissons sont enrichies de fer et leur rapport protéines de lactosérum-caséine a été modifié pour qu’elles se rapprochent du lait maternel. Des préparations spécialisées comme celles sans lactose et à l’amidon de riz ont aussi été mises au point par des fabricants de premier plan (Ross et Mead Johnson).

Il y a tout un monde de différence entre les préparations commerciales les plus populaires d’aujourd’hui et les premières à avoir vu le jour en 1860. La nutrition du nourrisson et de l’enfant a certes fait des pas de géant. Peut-on se demander maintenant s’il y a une solution de remplacement parfaite du lait maternel? Pas vraiment, mais selon certains scientifiques, l’Union européenne serait cependant en bonne voie d’arriver à la mettre au point avant les États-Unis.

Comparaison des préparations pour nourrissons : Union européenne et États-Unis

Aux États-Unis, les exigences du gouvernement fédéral en matière de nutrition sont énoncées dans l’Infant Formula Act, dont la dernière modification remonte à 1986. Certains fabricants ont décidé d’aller au-delà de ces exigences et les parents remarqueront sans doute des différences de qualité entre les préparations offertes aux États-Unis.

L’Europe a procédé autrement. Les points de vue de médecins et de scientifiques s’intègrent davantage à la réglementation de l’Union européenne et sont mis à jour tous les deux ans. Comparativement à la FDA des États-Unis, la Commission de l’Union européenne est plus prescriptive et par conséquent, il y a peu de différence entres les préparations pour nourrissons en Europe.

Voici quelques exemples de la mise en œuvre en Europe des nouvelles découvertes fondées sur la recherche en matière de nutrition du nourrisson et de l’enfant.

Une préparation pour chaque phase du développement

En Europe, les préparations correspondent à divers stades de développement : stade 1, de six mois à un an et stade 2, de six à douze mois. La différence tient à l’équilibre de l’apport en protéines du lait et à la quantité accrue de fer dont un bébé a besoin après l’âge de six mois.

Exclusions et inclusions

L’Union européenne interdit d’ajouter certains ingrédients dans les préparations pour nourrissons, comme le sirop de maïs et la gomme de guar, entre autres. La Commission européenne a aussi rendu obligatoire l’inclusion d’autres substances comme l’acide gras essentiel ADH. Cette exigence a été adoptée en 2020 après qu’un nombre croissant d’études aient montré les bienfaits de l’ADH pour le développement cérébral. Les préparations européennes renferment aussi différents acides aminés et probiotiques, comme des lactobacilles, un composant du lait maternel reconnu pour apporter divers bienfaits pour la santé du nouveau-né.

Depuis les débuts de leur fabrication jusqu’à ce jour, la vente des préparations européennes pour nourrisson est interdite par la loi aux États-Unis. Cette politique a essentiellement fait diverger la recherche, le développement et la réglementation entre les deux continents. Cette divergence entraîne aujourd’hui des différences importantes dans la nutrition du nourrisson et de l’enfant.

L’avenir de la nutrition du nourrisson et de l’enfant

Au fil des générations, les de travaux et découvertes scientifiques ont permis des réalisations remarquables. Il reste cependant du chemin à faire pour que la science puisse offrir aux familles les meilleures solutions de remplacement du lait maternel. Pour la prochaine étape des progrès, il faudra sans doute compter sur une collaboration entre médecins, scientifiques, professionnels de la santé et organismes de réglementation susceptibles de mettre en œuvre les nouveaux résultats de recherche.

Comme élément essentiel de la santé publique, la nutrition du nourrisson et de l’enfant mérite plus d’attention, une meilleure information et des ressources plus importantes. Nous sommes nombreux à devoir compter sur des préparations pour nourrissons comme solution de remplacement salvatrice du lait maternel. Il est important de nous documenter et de mobiliser l’attention à cet égard. Amorcez le dialogue et partagez les ressources avec votre entourage, y compris avec des gens au travail, à l’église et dans votre voisinage, y compris avec des gens au travail, à l’église et dans votre voisinage. Il nous appartient à tous d’infléchir le cours des choses.

staying hydrated on airplane

staying hydrated on airplane

Même pour le voyageur le plus aguerri, il peut être stressant de se retrouver en terre inconnue. En ayant à l’esprit la gestion des bagages, des réservations, des activités et tout ce qui s’y rattache, on est souvent porté à négliger un des éléments les plus importants de la santé en voyage : rester hydraté.

Il est déjà assez difficile de boire assez d’eau chaque jour. Si l’on ajoute à cela l’agitation qu’entraînent les déplacements, il devient encore plus difficile de maintenir des niveaux de saine hydratation. Pourtant, vous n’avez pas à laisser la déshydratation gâcher votre prochain voyage.

Les conseils qui suivent vous aideront à rester hydraté sur la route. En vous assurant une bonne hydratation, vous passerez moins de temps à vous préoccuper de votre santé et plus de temps à vous détendre, travailler ou simplement profiter de votre voyage.

L’importance de rester hydraté et comment évaluer votre niveau d’hydratation

Le corps humain peut se passer de nourriture pendant une période de temps étonnamment longue – parfois jusqu’à deux semaines. Cependant, s’il est privé d’eau, il ne pourra guère survivre pendant plus de trois jours.

Il ne faut pas trop s’en surprendre puisque le corps humain est constitué d’eau dans une proportion d’environ 60 %. De plus, une multitude de fonctions de l’organisme sont tributaires de l’eau, y compris celles qui suivent et bien d’autres encore :

  • le maintien d’une saine régulation de la température
  • le soutien de la santé des articulations
  • la participation à l’approvisionnement des cellules en nutriments partout dans l’organisme
  • la préservation de fonctions organiques saines
  • le soutien du système immunitaire dans sa lutte pour la préservation de la santé

Somme toute, l’eau est bonne pour la santé. Cela dit, comment savoir si vous buvez une quantité suffisante d’eau? Le premier indice est l’urine. Si vous êtes bien hydraté, votre urine devrait être de couleur jaune clair ou transparente. Si elle est plus foncée, c’est souvent parce que vous n’êtes pas bien hydraté.

Parmi d’autres indices de déshydratation, signalons les maux de tête, la fatigue, les étourdissements et une sensation de faiblesse. Des études ont même établi un lien entre la déshydratation et un niveau de cortisol plus élevé. Le cortisol est l’hormone de stress de l’organisme et lorsque son niveau est plus élevé, les effets suivants peuvent se manifester : accroissement de la fréquence cardiaque, respiration accélérée et d’autres réactions combat-fuite de l’organisme.

Maintien de l’hydratation – les difficultés posées par les déplacements

Dans le confort du foyer, il est facile de rester hydraté : quand on a soif, on boit un verre d’eau. Par contre, quand on est en déplacement – que ce soit à l’extérieur de la ville ou pour une journée de magasinage – il devient moins facile de s’hydrater. Pourtant, l’hydratation n’en est pas moins d’une importance vitale. Or, plusieurs facteurs liés aux déplacements risquent de vous empêcher d’atteindre vos objectifs en matière d’hydratation.

Le premier est la disponibilité d’eau potable. À la maison, vous avez sans doute accès à un approvisionnement illimité en eau du robinet. Sur la route, par contre, c’est un luxe qu’on ne peut pas toujours se permettre. Bien sûr, il est toujours possible d’apporter avec soi une bouteille d’eau. Par contre, si on prend l’avion, il est impossible de franchir la sécurité avec une pleine bouteille d’eau. De plus, il n’est pas toujours possible de trouver des sources d’approvisionnement en eau pour remplir sa bouteille.

Il y a aussi le stress du voyage. Comme nous l’avons vu plus haut, à défaut d’une hydratation adéquate, le stress risque d’augmenter en raison d’une hausse des niveaux de cortisol. Par contre, l’inverse est également vrai. Le stress – et des niveaux de cortisol plus élevé – peuvent entraîner la déshydratation. On transpire alors davantage, la respiration s’accélère et la fréquence cardiaque augmente. En raison de toutes ces réactions de l’organisme, la quantité de liquide perdue s’accroît. Il faut donc boire plus d’eau pour conserver un niveau adéquat d’hydratation.

Enfin, un phénomène peu connu entre en ligne de compte : les voyages en avion déshydratent. En effet, à bord de l’avion, une partie de l’air que l’on respire provient du milieu ambiant. De plus, à 9 000 mètres d’altitude, il y a très peu d’humidité dans l’air. Même si ce facteur peut paraître négligeable, on peut ressentir une sécheresse inhabituelle des yeux, de la peau, de la bouche et de la gorge. C’est là un indice de légère déshydratation.

Comment rester hydraté sur la route

Au point où nous en sommes, souhaitons que vous ayez appris deux choses. La première, c’est qu’il est important de s’hydrater. La deuxième, c’est qu’à plusieurs égards, les déplacements peuvent avoir des répercussions néfastes sur vos efforts pour bien vous hydrater.

Dans ce contexte, y a-t-il une solution? Mettez en application ces conseils et astuces pour rester hydraté dans tous vos déplacements.

  1. Apportez avec vous une bouteille d’eau réutilisable : Si vous n’en avez pas, achetez-en une. Vous pourrez faire le plein à une fontaine d’eau potable, au restaurant ou au robinet d’un évier. Certaines bouteilles isolées permettent de garder l’eau au frais pendant des heures. C’est aussi là une approche écologique puisqu’elle vous permet de mettre au rebut des bouteilles de plastique à usage unique. Assurez-vous simplement que l’eau utilisée pour remplir votre bouteille est potable!
  2. Mangez des fruits et légumes à forte teneur en eau : La plupart des gens voient l’hydratation sous l’angle des liquides à boire. Or, il y a aussi de l’eau dans les aliments. Les fruits et légumes sont une excellente source de fibres, vitamines et minéraux, mais bon nombre d’entre eux vous assurent un apport en eau. Parmi les collations qui vous aideront à rester hydraté, signalons les concombres, le melon d’eau, les oranges et le céleri. Si vous vous trouvez dans une région sans accès à l’eau du robinet, vous pourriez vouloir opter pour des fruits à pelure épaisse : bananes, avocats et ananas.
  3. Mettez un filtre à eau dans vos bagages : En camping ou en voyage dans une région sans eau potable, le filtre à eau est un incontournable. Certains vous permettent de pomper l’eau à travers un filtre et la faire écouler dans un boyau, comme si vous aviez un robinet portatif d’eau potable. Il vous suffit d’avoir accès à un ruisseau, un lac ou une autre source d’approvisionnement en eau. Il y a aussi des bouteilles d’eau avec des filtres intégrés. Il s’agit simplement de remplir la bouteille, et en aspirant l’eau dans une paille, elle passe à travers un filtre avant que vous la buviez. Vous pouvez aussi essayer d’autres méthodes de purification d’eau, par exemple des pastilles de purification et des purificateurs à rayons UV.
  4. Ajoutez des graines de chia dans votre eau : Elles sont populaires auprès des coureurs de fond et d’autres athlètes car on les considère souvent comme des produits alimentaires énergisants. Et quel rapport y a-t-il avec l’hydratation? Lorsqu’on les mélange dans l’eau, elles absorbent jusqu’à 12 fois leur poids en eau. Le résultat : en buvant de l’eau additionnée de graines de chia, on peut se sentir hydraté plus longtemps. Les graines de chia sont aussi riches en antioxydants, ce qui en fait un excellent complément de votre régime alimentaire.
  5. Limitez votre consommation de café : Même si le café a une forte teneur en eau, on doit éviter d’y faire appel pour s’hydrater. La caféine contenue dans le café augmente la sécrétion urinaire puisque c’est un diurétique. Or, plus on urine, plus le corps perd de ses liquides. Et si ces liquides ne sont pas remplacés, il y a un risque de déshydratation. On peut en dire autant des autres boissons contenant de la caféine.
  6. Buvez de l’eau de coco : Bon nombre de gens font appel à des boissons énergétiques pour s’hydrater. Le problème, c’est que ces boissons regorgent souvent de sucre. Or, l’eau de coco est une boisson naturelle riche en électrolytes qui vous aidera à rester hydrater sur la route.
  7. Limitez votre consommation d’alcool : Tout comme la caféine, l’alcool est un diurétique. C’est ce qui fait que l’alcool peut entraîner très rapidement la déshydratation. Si vous consommez de l’alcool à l’aéroport ou pendant vos vacances, assurez-vous de boire beaucoup d’eau afin de conserver votre hydratation.