Les Prenatal CellSentials d’USANA vous procurent une excellente nutrition à tous les stades de votre grossesse

Prenatal CellSentialsMC d’USANAMD

Avec Prenatal Vita Antioxidant et Prenatal Core Minerals, vous obtenez la nutrition qu’il vous faut pour rester en santé pendant votre grossesse, tout en favorisant la croissance et le développement de votre enfant.

Si vous êtes enceinte – ou espérez le devenir bientôt – votre nutrition est plus importante que jamais. Il vous faudra un surcroît de carburant nutritionnel pour vous aider à rester en santé et énergique pendant toute votre grossesse. Votre petit trésor aura aussi besoin d’un excellent soutien pour sa croissance et son développement. En plus d’un régime alimentaire équilibré, un supplément prénatal peut favoriser votre grossesse et la naissance de bébé.*

Avec les Prenatal CellSentialsMC d’USANAMD, vous et votre enfant obtenez l’essentiel et une gamme exceptionnelle d’autres micronutriments qui aideront à vous garder tous les deux en santé. Deux formules de suppléments de qualité supérieure vous assurent le tout.*

Pris en conjugaison, Prenatal Core Minerals et Prenatal Vita Antioxidant fournissent des vitamines, minéraux et antioxydants essentiels de même que d’autres nutriments nécessaires. Comme les Prenatal CellSentials répondent à vos besoins nutritionnels accrus, vous pouvez en obtenir les nutriments qu’il vous manque. Une nutrition appropriée est impérative pour vous et pour votre bébé à tous les stades de vie – à partir d’avant sa conception jusqu’à la fin de la période d’allaitement.*

Les Prenatal CellSentials assurent d’importants bienfaits :

  • Ils favorisent l’état de santé général, l’énergie et l’immunité pendant la grossesse*
  • Ils contribuent à la croissance et au développement en santé du fœtus, du premier trimestre à la naissance*
  • Ils aident à fournir les nutriments essentiels au nourrisson pendant l’allaitement*

Les Prenatal CellSentials n’ont rien de suppléments dénués de toute valeur nutritionnelle. Ils renferment de bonnes quantités d’acide folique, de fer, de calcium et de vitamine D. Ils vous procurent aussi des quantités perfectionnées de nutriments comme l’iode, le magnésium et la choline. Ajoutons aussi la protection antioxydante et la défense accrue qu’assurent la lutéine, le lycopène, la coenzyme Q10 et le complexe InCelligence pour préserver la santé des cellules.*

Prenatal Vita Antioxidant et Prenatal Core Minerals sont soigneusement formulés par une équipe de spécialistes en science de la nutrition. Ils sont fabriqués avec les ingrédients les plus purs et selon des processus modelés d’après ceux en vigueur dans l’industrie pharmaceutique. Vous pouvez avoir toute confiance que les Prenatal CellSentials sont excellents, autant sur le plan de la puissance que de la qualité. Comme l’efficacité d’un supplément est nulle si votre organisme ne peut en absorber les nutriments, les Prenatal CellSentials sont faits de formes de nutriments qui sont mieux absorbées par les cellules.*

Consultez toujours votre médecin avant de prendre un supplément vitaminique prénatal ou tout autre type de vitamine ou supplément. (Si vous voulez soumettre à votre médecin le tableau de la valeur nutritive des Prenatal CellSentials, veuillez le télécharger en suivant le lien « Principaux ingrédients » plus loin dans cet article.)

Remarque : Les Prenatal CellSentials sont aussi un excellent choix pour les femmes qui doivent intégrer un apport accru en fer à leur régime alimentaire.*

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Un supplément de qualité : un bon départ dans la vie pour bébé

Une alimentation saine comportant une abondance de fruits et légumes contribuera grandement à assurer à maman et bébé la nutrition qu’il leur faut. La prise d’un supplément prénatal peut aussi vous aider à obtenir les nutriments essentiels dont vous manquez.

À quel moment une mère en devenir doit-elle commencer à prendre un supplément prénatal?

La plupart des spécialistes s’entendent pour dire qu’il faut à votre organisme la quantité adéquate des nutriments importants au moins trois mois avant la conception. En prenant un supplément contenant de l’acide folique quelques semaines avant le début de la grossesse, vous vous assurez d’avoir un apport suffisant de folate pour votre bébé dès le début.*

L’acide folique provenant d’aliments enrichis ou de suppléments se convertit en folate dans l’organisme. Il est d’une importance capitale que l’organisme de la femme contienne du folate en abondance dès le début du développement de son enfant. Le folate est nécessaire à la fermeture du tube neural dans les premières semaines de la grossesse, souvent même avant que la femme sache qu’elle est enceinte.*

La fermeture du tube neural est d’une importance critique pour le développement adéquat du cerveau et de la moelle épinière.* Un régime alimentaire sain avec un apport adéquat de folate pour la femme en âge de procréer peut réduire le risque de donner naissance à un enfant avec une anomalie du cerveau ou de la moelle épinière. Parmi les sources de folate : fruits, légumes, produits de grains entiers, céréales enrichies et suppléments alimentaires.

Certains travaux de recherche ont montré les bienfaits d’une supplémentation en acide folique jusqu’à un an avant le début de la grossesse. Pour cette raison, la femme en âge de procréer devrait toujours consommer au moins 400 mcg d’acide folique par jour – même si elle ne prévoit pas devenir enceinte. Un supplément quotidien de multivitamines et minéraux est un excellent moyen pour éviter de manquer de ce nutriment essentiel au moment où ça compte le plus.*

La femme peut ensuite passer à une formule prénatale dès qu’elle tente de concevoir un enfant. L’American Congress of Obstetricians and Gynecologists recommande à toute femme enceinte de prendre un supplément vitaminique prénatal spécialement formulé afin de combler ses besoins nutritionnels accrus et ceux de son bébé.

On a aussi montré que la prise d’un supplément prénatal de qualité tous les trimestres de la grossesse favorise une naissance en santé.*

L’accouchement ne rend pas l’organisme moins exigeant en matière de nutrition. Au contraire, en période d’allaitement, vos besoins nutritionnels sont même plus grands que ceux que vous aviez pendant votre grossesse. Il est même recommandé de continuer à prendre un supplément prénatal pendant toute la période de l’allaitement. Un supplément de qualité vous aidera à obtenir tous les nutriments qu’il vous faut pour rester en santé et pour procurer à votre bébé des vitamines et minéraux essentiels dans le lait maternel.*

Votre alimentation et la nutrition de votre enfant pendant sa période initiale de développement la plus formative peuvent avoir des répercussions plus tardives sur son avenir. Un supplément prénatal ne peut garantir la santé d’un enfant, mais un régime alimentaire équilibré associé à un supplément de qualité pour combler les lacunes est sans doute l’un des meilleurs moyens de préparer une vie heureuse et en santé à votre bébé.*

Les mamans en santé choisissent les Prenatal CellSentials d’USANA pour la santé de bébé

En matière de supplément quotidien, vous avez le choix. Voulez-vous un produit qui réduit le risque de déficience ou un supplément qui favorise une excellente santé? Si votre but est une santé florissante au quotidien, la recherche a souvent montré que vous aurez probablement besoin d’apports plus élevés de plusieurs nutriments importants que les apports nutritionnels de référence (ANREF) préconisés aux États-Unis.*

USANA applique aux Prenatal CellSentials le même principe directeur que celui des CellSentials d’USANA : fournir aux cellules les nutriments qu’il leur faut pour favoriser une santé optimale.*

Rien de plus logique.

La grossesse accroît vos besoins nutritionnels, car votre corps est sollicité comme jamais. Pour favoriser la croissance et le développement en santé du fœtus, il faut lui offrir des nutriments très diversifiés. La plupart des gens ont pourtant de la difficulté à tirer de leur seul régime alimentaire une nutrition adéquate. Et ce peut être d’autant plus ardu pendant la grossesse avec les nausées matinales, les fringales et le dégoût de certains aliments. Il n’est tout simplement pas suffisant de prendre une multivitamine quotidienne à plus faible dose et un supplément prénatal de minéraux.*

Ce constat reçoit un appui scientifique. Par exemple, des études d’observation laissent entendre qu’un apport plus élevé de vitamines antioxydantes, de zinc et de sélénium pendant la grossesse et en bas âge peut jouer un rôle plus tard dans la santé respiratoire et cutanée.*

Vous et votre poupon méritez mieux. C’est pourquoi les Prenatal CellSentials égalent ou dépassent les apports adéquats de la plupart des nutriments que recommande le Food and Nutrition Board de l’Institute of Medicine.

Pris ensemble, Prenatal Vita Antioxidant et Prenatal Core Minerals assurent des quantités sûres et efficaces de vitamines et minéraux essentiels de toute première qualité. Ils vous procurent aussi des antioxydants et d’autres nutriments indispensables absents de votre régime alimentaire. De plus, le complexe InCelligence si unique offre une protection puissante pour la santé de vos cellules.*

Intégrés à une alimentation bien équilibrée, Prenatal Vita Antioxidant et Prenatal Core Minerals contribueront à vous fournir le soutien nutritionnel complet qu’il vous faut pour la santé future de vos descendants.*

En attendre davantage

Prise le matin et le soir, une dose quotidienne des Prenatal CellSentials, vous fournit :

  • 600 mcg d’acide folique (1 000 mcg d’équivalents de folate alimentaire)
  • 25 mcg de vitamine D3 (1 000 UI)
  • 225 mg de calcium
  • 1 000 mg de vitamine C
  • 30 mg de thiamine
  • 30 mg de riboflavine
  • 40 mg d’équivalents de niacine
  • 200 mcg de vitamine B12
  • 134 mg vitamine E
  • 20 mg de zinc
  • 28 mg de fer
  • 240 mcg d’iode

Un tandem exceptionnel : Prenatal Vita Antioxidant et Prenatal Core Minerals

Les Prenatal CellSentials sont formés de deux produits conçus pour agir ensemble afin d’offrir à la maman et au bébé en développement la meilleure nutrition quotidienne. Prenatal Vita Antioxidant et Core Minerals vous procurent des vitamines et minéraux importants recommandés pour une grossesse en santé par l’American Pregnancy Association. Vous bénéficierez aussi d’un surcroît de nutrition qui vous aidera à conserver votre énergie, tout en favorisant votre système immunitaire et en préservant votre santé physique pour vous préparer à un bel accouchement.*

En résumé, vous et votre enfant avez besoin d’une gamme complète de nutriments pour favoriser votre santé et la croissance et le développement sains de bébé, des pieds à la tête.* Voici d’ailleurs une liste de certains bienfaits précis que vous apportent les ingrédients contenus dans les Prenatal CellSentials :

Vitamine A sous forme de bêta-carotène

Vita Antioxidant fournit un apport quotidien de 9 000 mcg (3 000 équivalents d’activité du rétinol [EAR]) de bêta-carotène et d’un mélange de caroténoïdes. La forme bêta-carotène de la vitamine A est une forme non rétinoïde sûre de ce nutriment essentiel sans risque de toxicité. Un juste équilibre de vitamine A est important à tous les stades de développement fœtal, car il favorise une bonne formation du cœur et du système circulatoire, des organes, de la peau, des yeux, des oreilles, des membres, des os et des dents.*

La vitamine A dans les suppléments se présente sous quelques formes. Le bêta-carotène et d’autres caroténoïdes en sont la forme de provitamine et par conséquent, ils doivent être convertis en vitamine A dans l’organisme, au besoin. Ce sont des précurseurs alimentaires du rétinal ou rétinol. Provenant de l’acétate de rétinyle, la vitamine A est dite préformée et n’a dans ce cas aucun besoin d’être convertie par l’organisme. Ces sources préformées sont d’une puissance très supérieure. Les équivalents d’activité du rétinol (EAR) constituent la norme utilisée pour mesurer la vitamine A, ce qui reflète l’activité de la vitamine A comme rétinol après sa conversion. Ainsi, 12 mcg de bêta-carotène équivalent à un mcg de rétinol. Le rapport de conversion d’autres caroténoïdes est plus élevé.

Vitamine C 

La vitamine C est un facteur essentiel aidant l’organisme à produire le collagène. Constituant du cartilage, des tendons, des os et d’une peau saine, la vitamine C aide aussi l’organisme à absorber adéquatement le fer, tout en favorisant votre système immunitaire. La vitamine C dans Prenatal Vita Antioxidant est présente sous forme de Poly CMD, le mélange exclusif d’USANA.

Vitamine D

La vitamine D ne se limite pas à aider au développement d’une ossature et d’une dentition résistantes (ce qu’elle fait en aidant à l’absorption du calcium et du phosphore). Des études récentes indiquent une corrélation positive entre l’état de la vitamine D de la mère et une période néonatale en santé, y compris le poids santé à la naissance et le bon développement cérébral du bébé. Un apport quotidien aussi élevé que 100 mcg (4 000 UI) pendant la grossesse montrait un certain nombre de bienfaits pour maman et bébé, notamment une bonne résistance immunitaire. On a observé aussi qu’une supplémentation quotidienne continue en vitamine D de 50 mcg (2 000 UI) aidait à réduire le risque d’anomalies infantiles pendant la période d’allaitement.*

Acide folique ou folate

Avec ses 1 000 mcg d’équivalents de folate alimentaire (ÉFA) égalant à 600 mcg d’acide folique, Prenatal Vita Antioxidant fournit un excellent apport de cet acide – suivant ainsi les recommandations des spécialistes en nutrition.*

L’acide folique est un nutriment qu’il est particulièrement important de prendre avant même la conception d’un enfant pour assurer son développement neurologique normal.* Un régime alimentaire sain avec un apport adéquat de folate peut réduire le risque pour une femme de donner naissance à un enfant atteint d’une anomalie du cerveau ou de la moelle épinière.

Parmi d’autres bienfaits de l’acide folique ou folate, citons une taille et un poids santé à la naissance et un bon développement cardiaque. On a aussi montré un lien entre acide folique et maintien d’un bon taux d’homocystéine, ce qui est important pour une grossesse en santé.*

L’acide folique est une vitamine B hydrosoluble qui se convertit en folate dans l’organisme. Aux États-Unis, le Food and Nutrition Board des National Institutes of Health a fait en sorte que les ÉFA figurant sur le tableau des valeurs nutritionnelles des suppléments reflètent la biodisponibilité plus élevée de l’acide folique comparativement au folate obtenu des aliments. Un microgramme d’ÉFA équivaut à 0,6 mcg d’acide folique pris en supplément avec de la nourriture.

Autres vitamines B

Biotine : Prenatal Vita Antioxidant est une excellente source de biotine. En aidant à réguler des réponses cellulaires saines, la biotine est nécessaire à la division cellulaire accélérée chez le fœtus en développement.

Bon nombre de femmes enceintes ou non prennent des vitamines prénatales dans l’espoir de voir leurs cheveux pousser. Même si la biotine est le nutriment souvent associé à des bienfaits capillaires, aucune donnée ne vient appuyer cette croyance. Par contre, la santé et le volume de votre chevelure sont liés à votre état nutritionnel global. L’état hormonal pendant la grossesse est aussi un facteur faisant fluctuer la perte de cheveux pendant et après la grossesse. Par conséquent, en intégrant une multivitamine bien équilibrée à un régime alimentaire sain et équilibré, vous pouvez contribuer à réduire le risque de carences, y compris la perte possible de cheveux, sans toutefois éviter celle associée à la grossesse normale.*

Acide pantothénique : Cette vitamine B joue un rôle dans la formation des tissus ainsi que dans le métabolisme nécessaire pour vous fournir l’énergie à partir des aliments que vous consommez. L’acide pantothénique favorise aussi le fonctionnement et la détente musculaires, ce qui est important pour le bien de votre corps pendant la grossesse et la naissance.*

Vitamine B1 (thiamine) : La thiamine vous aide à conserver votre énergie, tout en favorisant la santé cellulaire et le développement cérébral du fœtus.*

Vitamine B2 (riboflavine) : La riboflavine favorise un bon taux d’énergie, une saine vision et la santé cutanée.* 

Vitamine B3 (niacine) : La niacine contribue à la santé du système digestif et de la peau et au bon développement du cerveau et du système nerveux.*

Vitamine B6 (pyridoxine) : La pyridoxine favorise le développement normal du cerveau et des nerfs ainsi que la formation des globules rouges. Elle pourrait aussi aider à soulager les nausées matinales.*

Vitamine B12 (cyanocobalamine) : La vitamine B12 soutient le développement des systèmes cérébral et nerveux, tout en étant nécessaire au métabolisme de l’énergie et à la formation des globules rouges.*

Vitamine E 

Il y a fort à parier que vous manquez de vitamine E. On estime que 90 % des gens n’en consomment pas une quantité suffisante. La prise d’un supplément pourrait vous aider à éviter les carences. Cette vitamine essentielle liposoluble aide votre organisme à fabriquer des globules rouges. Tout en favorisant aussi le développement nerveux, la santé vasculaire et la fluidité cellulaire, la vitamine E aide aussi à une utilisation adéquate de la vitamine K par votre organisme.*

Vitamine K

Utile à une utilisation adéquate du calcium dans l’organisme, la vitamine K est aussi indispensable à une coagulation sanguine normale.*

Choline

La grossesse et l’allaitement entraînent une demande élevée de choline qui doit être obtenue dans l’alimentation. Même si l’apport en choline de la plupart des femmes est généralement insuffisant, les formules prénatales l’omettent souvent. Avec un apport quotidien de 102 mg de choline, les Prenatal CellSentials vous procurent l’une des doses les plus efficaces jamais offertes.*

La choline participe au métabolisme énergétique, à la santé hépatique et au maintien d’un taux normal d’homocystéine. Plus important encore, elle est source de constituants de plusieurs composés importants nécessaires au développement du fœtus, en particulier de son cerveau.*

Fer

Le volume sanguin de la mère augmente de près de 50 % pendant sa grossesse. Il importe donc de commencer une supplémentation en fer au deuxième trimestre afin de favoriser une bonne production de globules rouges, des cellules contribuant à transporter l’oxygène et les nutriments au fœtus. Le fer maternel est aussi nécessaire pendant la grossesse et l’allaitement pour procurer à bébé des réserves suffisantes de fer pouvant lui en fournir pendant les quatre à six premiers mois de son existence. Après ce délai, on recommande généralement une alimentation complémentaire. Prenatal Core Minerals est une excellente source de fer.*

Calcium

Le calcium est important pour une grossesse en santé et le maintien de la densité osseuse de la mère. L’état du calcium de la maman est important, car ce minéral passe de la mère à l’enfant pour favoriser le bon développement des os, dents, tissus et muscles de son bébé. Le fœtus obtient de la mère un apport quotidien moyen de
300 mg de calcium au dernier trimestre de la grossesse.*

Iode

Le besoin d’iode de la femme s’accroît très fortement pendant la grossesse et l’allaitement. Nécessaire au soutien du métabolisme et à la production des hormones thyroïdiennes de la mère, l’iode joue un rôle pour assurer une bonne croissance fœtale. Certains estiment que l’absorption d’iode par la glande thyroïde peut s’accroître jusqu’à 45 % pendant la grossesse. Un apport adéquat d’iode pendant cette période est essentiel pour favoriser le développement de saines fonctions cognitives chez le nourrisson et l’enfant, tout en aidant à la formation de leur squelette. L’apport quotidien de 240 mg d’iode qu’assure le supplément Prenatal Core Minerals est plus élevé que celui qu’offrent la plupart des autres suppléments sur le marché.*

Magnésium

Un autre nutriment important trouvé souvent en faible quantité dans d’autres suppléments prénataux est le magnésium dont l’apport est insuffisant pour la plupart des femmes enceintes. Soutien nécessaire à une bonne croissance fœtale, le magnésium favorise aussi la résistance des os et des dents. Il participe à la régulation du glucose et à la santé cardiovasculaire, en favorisant notamment une bonne circulation et une tension artérielle normale (à la condition qu’elle le soit au départ).*

Cuivre

Pour le développement normal du cerveau et du système nerveux, il est important que l’apport en fer soit équilibré par rapport à celui en cuivre, un élément bénéfique au développement du tissu conjonctif et du système nerveux central. Le cuivre aide à combler les besoins maternels accrus de globules rouges, en contribuant à leur production. Il aide aussi l’organisme à produire la mélatonine pour favoriser le sommeil.*

Zinc

Pour vivre une grossesse en santé, une réserve suffisante de zinc dans votre organisme est particulièrement importante au troisième trimestre et jusqu’à la fin de la période d’allaitement. Le zinc régule le déroulement de plusieurs processus importants nécessaires à la croissance et au développement en santé du fœtus. Il soutient près de 100 différentes fonctions enzymatiques dans tout l’organisme, la stabilité cellulaire et le transport du folate dans les membranes cellulaires. Favorisant aussi la santé oculaire, rénale, musculaire, cutanée et osseuse, le zinc sert par ailleurs de composante structurelle nécessaire des protéines de liaison à l’ADN qui influent sur l’expression des gènes. Il participe enfin à la fabrication de la hème et au métabolisme des acides gras essentiels.*

Chrome

Le chrome est nécessaire par sa contribution au maintien d’un taux normal de glucose sanguin, qui l’est déjà au départ.*

Sélénium

On a associé l’apport de sélénium pendant la grossesse a un poids normal à la naissance. Cet élément favorise aussi le développement des systèmes nerveux et immunitaire.*

Une protection puissante de vos cellules contribue à votre grossesse en santé

La grossesse peut donner lieu à un stress oxydatif très intense dans l’organisme. Hors de contrôle, le stress oxydatif peut endommager les cellules, les protéines et d’autres substances biologiques essentielles nécessaires à la santé de l’ADN. C’est pour cette raison qu’une protection antioxydante est d’une importance capitale pour une grossesse en santé. Les antioxydants alimentaires favorisent les systèmes de défense naturels des cellules et peuvent aider à vous protéger contre le stress oxydatif.*

Des études indiquent aussi que le fœtus met en réserve certains antioxydants, rendant ainsi ces composés disponibles après la naissance pour aider à protéger la santé des cellules.*

Avec leur vaste gamme d’antioxydants, les Prenatal CellSentials contribuent à la santé de vos cellules pendant la grossesse. Bon nombre de vitamines et minéraux – y compris le sélénium et les vitamines C et E – en plus d’autres ingrédients comme la coenzyme Q10, le lycopène et la lutéine, assurent une activité antioxydante. Le complexe InCelligence soutient les défenses cellulaires naturelles de votre organisme en incitant les cellules à produire leurs propres antioxydants.*

Les Prenatal CellSentials comprennent aussi la L-cystéine HCl, un autre antioxydant. Une étude a aussi montré un dénouement positif de la grossesse lorsque ce nutriment est combiné à l’acide folique. Fait important, comme il favorise aussi la santé hépatique, il aide votre organisme à traiter naturellement tout ce que vous mangez et buvez et participe à l’élimination des substances chimiques et des toxines.*

Au-delà des Prenatal CellSentials

Voici quelques suppléments qui pourraient aussi vous être utiles pendant votre grossesse.

En plus des Prenatal CellSentials, il faut d’abord et avant tout consommer une bonne quantité de produits laitiers, ce qui peut vous aider à combler vos besoins quotidiens de calcium, magnésium et vitamine D. Vous pourriez cependant songer à ajouter un autre supplément à ces nutriments. Comme le calcium est un ingrédient exigeant un apport élevé, il faut généralement le prendre séparément en supplément pour en obtenir la quantité perfectionnée souhaitable pour les femmes. Comme nous l’avons mentionné plus haut, on a montré qu’un apport allant jusqu’à 100 mcg de vitamine D favorise un bon déroulement de la grossesse. Vous pourriez ainsi en ajouter un autre apport de 50 mg à celui que vous procure Prenatal Vita Antioxidant.

Songez à MagneCal D d’USANA un produit avec des quantités équilibrées de magnésium et calcium auxquels s’ajoute un surcroît de vitamine D.

L’American Pregnancy Association recommande aux femmes enceintes un apport quotidien d’au moins 300 mg d’ADH. On a montré les bienfaits pour maman et bébé d’un apport adéquat d’acides oméga-3 pendant la grossesse. Par exemple, les oméga-3 vous aident à retrouver la bonne humeur après l’accouchement. On a montré que l’ADH transmis au bébé pendant la grossesse apporte des bienfaits notables pour ses yeux, ses poumons et sa fonction cognitive dans l’enfance.*

En plus de fournir de bonnes quantités d’oméga-3 provenant d’huile de poisson purifiée tirée de sources durables, le supplément BiOmega d’USANA assure un surcroît de vitamine D.*

Selon certaines femmes, Digestive Enzyme favorise une bonne digestion pendant la grossesse.

Principaux ingrédients

Voir la liste complète des ingrédients :
Prenatal Core Minerals
Prenatal Vita Antioxidant

Mode d’emploi

Adultes : Prendre deux (2) comprimés de chaque produit deux fois par jour, de préférence en mangeant.

Garder hors de la portée des enfants. Consultez votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, prenez un médicament délivré sur ordonnance ou si vous avez un problème de santé.

Idéal pour

  • Les femmes en âge de procréer
  • Les femmes enceintes ou qui allaitent
  • Les femmes qui ont besoin d’un supplément de fer

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*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

Intestines Sketch with Guts Bacteria

microbiome

Si le mot intestin vous paraît d’un goût douteux, préparez-vous à ce qui suit : votre tube digestif héberge des milliers de milliards de petites bestioles.

Ces bactéries, levures, champignons et autres microorganismes sont vraiment remarquables. Ils augmentent votre capacité à métaboliser une foule de substances grâce aux enzymes qu’ils fournissent. En fait, ils travaillent pour vous.

Et c’est vous qui êtes maître des microbes de votre intestin. Dans une certaine mesure. Avec des efforts et une alimentation adéquate, vous pouvez changer les choses. Alimentation, style de vie, exercice, stress et environnement – tous ces éléments peuvent avoir un impact sur la composition du microbiome de l’intestin.

La structure complexe des fibres alimentaires joue un rôle dans la diversification des microbes de l’intestin. La recherche montre que la consommation d’une variété d’aliments riches en fibres diversifie le microbiome. Et les personnes dont l’intestin abrite une vaste gamme de microbes intestinaux répondent mieux aux défis environnementaux.

Mais pourquoi les fibres alimentaires jouent-elles un rôle aussi important?

microbiome in intestines

Parce qu’elles assurent une barrière intestinale saine. Tout en favorisant l’absorption des nutriments bénéfiques, elles empêchent l’organisme d’absorber les substances nocives. On a aussi montré qu’elles aidaient à assurer la protection naturelle et la capacité d’absorption saine de l’intestin.

Une carence en fibres peut avoir des effets négatifs sur la barrière intestinale naturelle, mais des quantités adéquates de fibres alimentaires fermentables peuvent en renforcer la protection. Le processus de fermentation s’est en effet révélé efficace pour aider à assurer la santé de l’intestin de deux façons. La première consiste à accroître la prolifération des cellules (nombre accru de cellules), la seconde à augmenter la spécialisation cellulaire (modification du rôle des cellules selon la tâche à remplir).

Les fibres alimentaires ont aussi un impact sur la fonction immunitaire de l’intestin. Et ça, c’est important. L’intestin contient jusqu’à 80 % des cellules immunitaires de l’organisme. En favorisant la prolifération de microbes bénéfiques au moyen de fibres alimentaires, vous assurez la réponse saine du système endocrinien (hormonal), le métabolisme de l’azote et la signalisation entre l’intestin, le foie et les reins.

Comme vous pouvez le constater, il est important d’assurer la santé et le bonheur de vos petites bestioles microbiennes afin de rester en santé. Et une excellente façon de contribuer à la prolifération d’une riche communauté de microbes intestinaux consiste à consommer une variété d’aliments riches en fibres.

grains and fiber

dietary fiber

Lorsqu’il est question de l’intestin, vous êtes véritablement ce que vous mangez. Les aliments jouent un rôle important dans la détermination du microbiome, c’est-à-dire l’ensemble des bactéries, champignons, levures et autres microbes qui peuplent le tube digestif.

Pourtant, l’impact de vos choix d’aliments s’étend bien au-delà de vos amis microscopiques.

Un nouvel article de la revue Advances in Nutrition aborde la façon dont les fibres alimentaires – une variété de glucides non digérables – peuvent avoir un impact sur le foie et les reins. Les bienfaits des fibres alimentaires sur la santé humaine sont bien connus, mais l’analyse de plus de 150 études résume l’influence des fibres sur les organes de détoxication.

L’impact des fibres alimentaires

Le processus s’amorce avec la stimulation par les fibres alimentaires de la prolifération des microbes bénéfiques. Ensuite, les microbes contribuent à :

  • la fonction de la barrière intestinale
  • la fonction immunitaire dans le tube digestif
  • la réponse du système endocrinien (hormonal)
  • le métabolisme de l’azote
  • la signalisation entre l’intestin, le foie et les reins

Ces effets dans l’intestin sont tout aussi bénéfiques pour le foie que pour les reins. Et il n’y a rien de plus logique puisque l’intestin approvisionne ces organes en sang par le biais de la veine porte. Voilà pourquoi un changement dans l’activité microbienne et l’alimentation a des répercussions sur le foie et les reins.

Par exemple, une meilleure barrière intestinale protège les principaux organes de détoxication contre la prolifération de bactéries qui induisent l’inflammation, permettant ainsi au foie et aux reins de se concentrer sur le métabolisme et la détoxication

D’autres bonnes nouvelles pour le foie

On a montré que les fibres alimentaires intensifient l’activité des enzymes antioxydantes et détoxifiantes dans le foie. Elles peuvent aussi altérer les acides biliaires qui participent au métabolisme du foie et à l’absorption des gras et des vitamines liposolubles. Les fibres alimentaires soutiennent aussi le microbiote qui aide à générer les acides biliaires secondaires.

Une conclusion surprenante confirme aussi le lien entre les fibres alimentaires et l’état de combustion des graisses (cétose) de l’organisme. Il s’agit en fait du résultat de l’altération des modes d’expression génétique et des produits du métabolisme. Les nouveaux modes ressemblent à ceux qui caractérisent l’état de jeûne de l’organisme, au moment où l’organisme puise son énergie dans ses réserves lipidiques.

N’oubliez pas les reins

L’azote est au cœur des conclusions portant sur les reins et les fibres alimentaires.

Lorsque vous approvisionnez vos microbes intestinaux en fibres alimentaires, vous augmentez la capacité de votre intestin à accroître ses réserves d’azote. Dans l’intestin, l’azote joue le rôle de fertilisant pour les microbes. En utilisant davantage d’azote, le microbiome empêche une trop grande quantité d’azote gazeux de s’échapper de la veine porte vers les organes de détoxication. Il est donc important de réduire la teneur en azote des reins.

Les fibres alimentaires aident aussi à protéger les reins contre d’autres agressions potentielles. Une quantité insuffisante de fibres qui fermentent dans le colon permet à d’autres substances de subir une fermentation. Lorsque des éléments comme les acides aminés fermentent, ils peuvent fabriquer des produits nuisibles aux reins. Pour le bien de vos reins, donnez à votre colon la quantité de fibres alimentaires qu’il lui faut.

Donnez-leur des fibres

Les fibres alimentaires jouent un rôle important dans le maintien d’une bonne santé. Pourtant, il est bien évident que la plupart des gens n’en consomment pas assez. En fait, le 2015 Dietary Guidelines Advisory Committee a considéré les fibres alimentaires comme une substance nutritive représentant une source de préoccupation.

Ce déclin dans l’apport en fibres n’est toutefois pas nouveau. On le remarque depuis la révolution industrielle. Résultat : une diversité microbienne intestinale réduite.

Les fibres alimentaires n’auront probablement jamais la cote, mais elles ne sont pas réservées aux aînés. Tout le monde pourrait contribuer à la santé de leurs organes de détoxication. La recherche montre qu’il est possible de protéger notre santé hépatique et rénale afin de soutenir l’importante fonction de détoxication de ces organes. Pour cela, il suffit d’approvisionner en fibres alimentaires la communauté microbienne de notre intestin.

Kieffer DA, Martin RJ, Adams SH. Impact of Dietary Fibers on Nutrient Management and Detoxification Organs: Gut, Liver, and Kidneys. Adv Nutr. 2016;7(6):1111-1121.

liver detoxification

liver detoxification

Le foie est un organe essentiel qui joue un rôle dans le métabolisme, la digestion, le stockage de l’énergie et la production des hormones. C’est l’organe principal de détoxication dans l’ensemble de l’organisme.

Il existe deux catégories de détoxication dans le foie : la voie de détoxication du foie de phase I et celle de phase II.

La voie de détoxication du foie de phase I

La détoxication du foie de phase I est la première ligne de défense contre les toxines.  Un groupe d’enzymes appelé famille des cytochromes P450 aide à neutraliser des substances comme l’alcool et la caféine. Ces enzymes assurent une protection en transformant les toxines pour les rendre moins nocives.

Les sous-produits de la détoxication du foie de phase I peuvent encore constituer une menace toxique pour l’organisme. Si les toxines se développent et demeurent dans le foie, elles risquent d’endommager l’ADN et les protéines. C’est la détoxication du foie de phase II qui empêchera les toxines de se développer, ce qui les neutralisera définitivement pour qu’elles soient ensuite évacuées de l’organisme.

La voie de détoxication du foie de phase II

La détoxication de phase II neutralise les sous-produits issus de la détoxication de phase I et d’autres toxines persistantes. Un processus dit de conjugaison rend les  toxines hydrosolubles afin qu’elles puissent être évacuées. Le glutathion, le sulfate et la glycine sont les principales molécules qui prennent en charge ce processus.

Dans des conditions normales, les enzymes de détoxication du foie de phase II produisent une faible quantité de glutathion. En cas de stress toxique marqué, l’organisme en accroît la production.

Glutathion

L’importance du glutathion pour l’être humain est si grande qu’on l’appelle le « maître antioxydant »; c’est le plus abondant dans l’organisme et il peut se régénérer lui-même dans le foie.

Le glutathion est présent dans l’asperge, l’avocat, les épinards, le brocoli et certains suppléments. Les sources alimentaires de glutathion sont malheureusement mal absorbées par l’organisme. Les enzymes digestives peuvent le décomposer avant qu’il puisse être absorbé. Il n’existe aucun système direct de transport du glutathion.

Bien que le glutathion soit mal absorbé, le régime alimentaire influe sur sa quantité dans l’organisme. Pour fabriquer le glutathion, l’organisme a besoin de certains constituants importants et certains aliments et nutriments sont connus pour les lui procurer. On peut accroître la production de glutathion par l’organisme en consommant ces constituants, notamment les suivants : sélénium, vitamine E, légumes crucifères, acide alpha-lipoïque, chardon-Marie et cystéine.

 

glutathione foods

Vitamine C

La vitamine C est aussi importante pour les voies de détoxication du foie. Elle aide à protéger contre les dommages oxydatifs les enzymes de détoxication du foie formées dans les voies de détoxication de phase I et de phase II, ainsi que les tissus hépatiques. Des recherches laissent aussi entendre que la vitamine C pourrait jouer un rôle dans l’élimination des toxines.

Un contrôle très serré de la vitamine C s’exerce dans l’organisme. Le taux sanguin est surtout déterminé par l’apport en vitamine C et la régulation du rein. Des recherches indiquent que certaines substances phytochimiques peuvent hausser le taux plasmatique de la vitamine C, même sans qu’on la consomme.

Aliments les plus riches en vitamine C :

  • cantaloup
  • pamplemousse
  • melon de miel
  • kiwi
  • mangue
  • orange et autres agrumes
  • fraise
  • melon d’eau

Étude clinique sur l’accroissement de la production de glutathion

Les scientifiques ont mené une étude à double insu contrôlée par placebo sur un mélange de nutriments. Cette étude avait pour but de déterminer si ces nutriments favorisaient une hausse du glutathion plasmatique et de la vitamine C.

Dans le cadre de cette étude, le groupe d’intervention a utilisé un supplément fourni par USANA Health Sciences renfermant ce qui suit : biotine, choline, extrait de chardon-Marie, N-acétyl L-cystéine, acide alpha-lipoïque, concentré de brocoli, extrait de thé vert, extrait d’olive et extrait de curcuma.

Quinze volontaires en santé ont participé à l’étude. Les sujets ont reçu le traitement à l’étude ou un placebo pendant 28 jours. Le 1er, 14e et 28e jour, des prélèvements sanguins ont été effectués afin de mesurer la quantité de vitamine C et de glutathion dans le plasma.

Résultats de l’étude

  1. Dans les deux heures suivant la première dose, le glutathion plasmatique était en hausse et le taux est resté élevé jusqu’à huit heures après le traitement.
  2. Le taux de glutathion plasmatique avait augmenté de 74 % à la fin de l’étude.
  3. Avec ce traitement le taux de vitamine C plasmatique était aussi en hausse dans les deux heures suivant la première dose, ce résultat étant constant (à divers moments de 0 à 8 heures) pendant toute la phase aiguë.

Les résultats indiquaient un effet synergique de ces nutriments. La formule du traitement a haussé à la fois le taux du glutathion et de la vitamine C.  En plus de réguler positivement la capacité de l’organisme d’utiliser le glutathion dans les réactions de détoxication, cette formule a aussi accru sa capacité antioxydante.

Un rapport de suivi indique qu’un accroissement des taux de glutathion et de vitamine C procure des bienfaits cliniques. Les sujets qui ont pris le supplément étaient sensiblement plus résistants aux dommages oxydatifs que les participants du groupe placebo.

Conclusion de l’étude

Les résultats de cette étude appuient des données précédentes montrant que certaines substances phytochimiques peuvent hausser le taux plasmatique de la vitamine C, même sans qu’on la consomme. L’étude fait aussi état d’un mélange précis d’ingrédients qu’on peut utiliser pour accroître la production de glutathion dans l’organisme.

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La technologie InCelligenceMD d’USANA est issue d’une conception fort ingénieuse des suppléments. C’est une technologie nutritionnelle – donc ni un produit, ni une gamme de produits. InCelligence, c’est plutôt un tremplin pour la création de produits qui favorisent une santé cellulaire optimale par un processus naturel : la signalisation cellulaire.

Cette technologie fait appel au ciblage moléculaire de nutriments pour optimiser le fonctionnement des cellules. Éprouvés par la science pour l’efficacité du rôle qu’ils jouent comme molécules de signalisation, ces nutriments importants parlent le même langage que vos cellules.

Afin d’enclencher les capacités de l’organisme à favoriser une santé florissante, ces nutriments imposent le silence aux bruits biochimiques qui surviennent naturellement ou sont causés par le style de vie ou l’environnement.

Les quatre types de nutriments et leur interaction avec les cellules

Le régime alimentaire ne se résume pas à calculer les calories. Les aliments consommés renferment divers nutriments répartis en quatre catégories principales :

  1. Micronutriments et macronutriments : Les macronutriments sont les éléments les plus volumineux (d’où le préfixe macro) – protéines, glucides et lipides. L’organisme les utilise comme des calories (énergie) et comme matériel constitutif des cellules. Présents dans les fruits et légumes, les micronutriments fournissent une foule de vitamines et minéraux.
  2. Protection antioxydante : Le simple fait d’exister, de respirer et de vivre au quotidien produit des oxydants nocifs, d’où la nécessité des antioxydants. Un apport insuffisant de ces nutriments importants peut causer des problèmes et compromettre la santé avec le temps. Au sens le plus large, un antioxydant est un neutralisateur d’oxydants. Les antioxydants alimentaires comprennent les vitamines et d’autres composés biologiques qui neutralisent les oxydants dans un rapport 1 : 1 ou 1 : 2, ce qui veut dire que chaque molécule d’un antioxydant comme la vitamine C peut neutraliser un ou deux oxydants.
  3. Un soutien nutritionnel additionnel : Ces nutriments additionnels ne font pas partie de la catégorie des vitamines et minéraux essentiels. Sans eux, vous ne risqueriez pas de souffrir d’une carence nutritionnelle, mais on a tout de même montré qu’ils procurent d’autres bienfaits pour la santé. Des nutriments comme la lutéine, la zéaxanthine et la glucosamine sont déposés dans des sites précis de l’organisme afin d’assurer un bienfait ciblé – favorisant entre autres une bonne vision, le fonctionnement cognitif, la santé de la peau et des articulations.
  4. La technologie InCelligence d’USANA : Nous savons depuis des siècles que les fruits et légumes sont bons pour la santé, mais des scientifiques voulaient savoir pourquoi. Ils sont allés au-delà de ce qui sautait aux yeux, comme les vitamines, afin d’approfondir la question. C’est ce qui les a amenés à découvrir les phytonutriments – d’autres composés formés par les végétaux, comme ceux qui donnent aux plantes leurs couleurs vives. Réflexion faite, les plantes sont les meilleurs chimistes au monde.

En forte concentration dans des éprouvettes, ces composés se sont révélés être d’excellents antioxydants. Pourtant, les chercheurs ne comprenaient pas leur mode de fonctionnement en plus faible concentration dans l’organisme humain. Un autre facteur était à l’œuvre.

Il s’agit de la signalisation cellulaire. Cette compréhension relativement récente des capacités des phytonutriments est le point de départ de la technologie InCelligence. Les scientifiques d’USANA ont isolé des nutriments importants – comme le resvératrol et la quercétine – qui agissent sur des voies de signalisation cellulaire afin d’entraîner des bienfaits pour la santé à l’intérieur même des cellules.

Les principes fondamentaux de la signalisation cellulaire

Les cellules sont ingénieuses. Grâce à la signalisation cellulaire, elles perçoivent leur environnement autant intérieur qu’extérieur et y répondent. À proprement parler, ce processus n’est rien d’autre que la réponse d’une cellule à des molécules internes ou externes.

Des molécules réceptrices dans les cellules perçoivent ce qui les entoure à l’intérieur comme à l’extérieur. Leurs interactions déclenchent une réaction en chaîne (un peu comme un jeu de dominos) pouvant mettre à l’œuvre des gènes et activer diverses réponses cellulaires.

L’amplification d’un signal peut se produire et dans ce cas, les effets de petites quantités de nutriments adéquats, ciblés sur le bon site de dépôt dans la cellule, peuvent avoir un impact important.

Un soutien aux voies de communication cellulaire  

L’âge, le style de vie et des facteurs environnementaux peuvent nuire à une communication efficace entre les cellules. InCelligence favorise les voies de communication cellulaire, contribuant ainsi à la santé des cellules et à la vôtre.

Il est possible de cibler des voies précises avec des nutriments. En favorisant le flux de l’information cellulaire, il est possible de produire un impact positif sur une vaste gamme de voies. Voici quelques exemples d’effets obtenus en favorisant et activant les voies de signalisation cellulaire :

  • Optimisation de la fonction cellulaire
  • Soutien à la santé du système immunitaire
  • Soutien aux processus naturels de détoxication de l’organisme
  • Optimisation de la production dans la cellule d’antioxydants puissants
  • Soutien aux processus de nettoyage des cellules

L’entraînement des cellules pour en renforcer la résilience et l’adaptabilité

L’exercice renforce le corps en le rendant plus résilient et plus adaptable, et il en va de même pour vos cellules. Voilà pourquoi InCelligence les soumet en quelque sorte à un entraînement pour les renforcer.

L’hormèse est le nom scientifique de ce genre d’exercice cellulaire. Il s’agit d’infliger un stress aux cellules pour accroître leur résilience et leur adaptabilité – à l’instar de l’exercice qui, en stressant le corps, le rend aussi plus fort. Les nutriments à l’œuvre dans les complexes InCelligence ont évolué comme protecteurs des plantes contre le soleil et les animaux à la recherche de nourriture. Par conséquent, même une dose sûre de « stresseurs cellulaires » amène les cellules à déclencher des réponses protectrices.

La flexion des muscles des cellules leur confère une résilience qui facilite leur adaptation à votre style de vie. L’approche proactive qui consiste à mettre à l’œuvre ces processus naturels permet aussi d’optimiser la longévité naturelle de la fonction cellulaire.

Les produits qui misent sur la  technologie InCelligence d’USANA

USANA fait appel à la technologie de signalisation cellulaire InCelligence pour fabriquer divers produits procurant chacun des bienfaits précis :

Les CellSentialsMC d’USANAMD : Formés de Vita AntioxidantMC  et de Core MineralsMC , les CellSentials procurent des quantités soigneusement équilibrées de vitamines et antioxydants de qualité supérieure, ainsi qu’un assortiment équilibré de minéraux et d’oligo-éléments essentiels très absorbables. Ce duo vise à assurer un fondement essentiel de nutrition et de protection antioxydante puissante. Le complexe InCelligence est fait de nutriments qui donnent libre cours aux processus naturels bénéfiques à la santé des cellules.

HealthPakMC : Des sachets pratiques du matin et du soir renfermant Vita Antioxidant, Core Minerals, CellSentials Booster et MagneCal DMC d’USANA  – un supplément pour la santé osseuse qui n’est pas formulé avec la technologie InCelligence d’USANA. Vous trouverez ainsi en un seul produit tous les suppléments essentiels qu’il vous faut pour favoriser sur tous les plans un style de vie sain.

ProglucamuneMC : Un supplément quotidien pour la santé immunitaire avec du zinc et le complexe de bêta-glucanes InCelligence. Le produit favorise la capacité de l’organisme de s’adapter et de répondre aux effets possibles sur le système immunitaire du stress occasionnel ou quotidien, ainsi que de l’exercice intensif. Le complexe de bêta-glucanes InCelligence renferme de la levure de boulanger et une combinaison de champignons qui amorcent les réponses protectrices innées de cellules, leur permettant ainsi de protéger efficacement la santé.

Hepasil DTXMD : Une formule complète pour la santé du foie avec le complexe InCelligence qui favorise la détoxication. Avec une gamme complète de phytonutriments, dont des extraits de thé vert et de chardon-Marie, un concentré de brocoli, du curcuma et l’extrait d’olive OlivolMD d’USANA, ce complexe aide à activer les processus naturels de protection antioxydante et de détoxication des cellules hépatiques.

ProcosaMD : Un produit qui favorise le fonctionnement et l’aisance articulaires. Il contribue aussi à réguler la formation normale du cartilage servant à coussiner les articulations. Le complexe InCelligence qui favorise la santé articulaire à l’œuvre dans Procosa participe au déclenchement dans les cellules cartilagineuses d’un processus qui aide à renouveler le bon fonctionnement des cellules articulaires, tout en favorisant le vieillissement en santé des articulations. Le complexe influe aussi sur des voies de signalisation qui modulent la réponse naturelle de votre organisme à une inflammation normale et temporaire attribuable à l’exercice. Ceci contribue de façon proactive à une réponse immunitaire et inflammatoire saine après l’exercice.

CopaPrime+MC : Ce produit favorise une activité intellectuelle optimale et protège la santé cérébrale avec l’âge, grâce à de puissants nootropes : le ginseng américain et le complexe de soutien cognitif InCelligence qui allie Bacopa monnieri et extrait de caféier. CopaPrime+ agit en aidant l’organisme à produire une protéine importante pour la cognition qui est nécessaire à l’apprentissage, la mémoire et la faculté de penser. Celle-ci contribue également à une attitude calme et à la concentration en période de stress mental.*

Produits de soins cutanés CelaviveMC d’USANAMD avec le complexe de signalisation cellulaire : Un certain nombre de produits de soins cutanés de la gamme Celavive révèlent l’éclat naturel de la peau, tout en luttant contre les signes visibles de vieillissement, grâce à la puissance du complexe de signalisation. Misant sur la technologie InCelligence, ces produits mettent à l’œuvre des mélanges de nutriments ciblés qui contribuent à raviver l’apparence de jeunesse de la peau. Une combinaison de végétaux et de peptides novateurs favorise la production naturelle de composés – collagène, acide hyaluronique et d’autres – qui aident à donner à la peau une apparence plus ferme et plus radieuse.

Prenez soin de votre foie et profitez pleinement de la vie avec Hepasil DTXMD d’USANA

Hepasil DTXMD d’USANA

Conservez votre énergie et aidez à équilibrer les processus de détoxication de votre organisme avec un mélange unique bénéfique pour votre foie, grâce à la technologie InCelligenceMD d’USANA.

La vie a toujours ses bons et mauvais côtés. Parfois, nous prenons des repas mémorables avec nos proches en savourant d’excellents mets et boissons. Parfois, nous sommes en proie à d’inévitables polluants et agents chimiques environnementaux, une réalité d’aujourd’hui. Toutes ces substances finissent par former une lourde charge que l’organisme doit traiter. Votre foie filtre tout ce que vous ingérez et ce n’est pas une mince tâche. Par conséquent, le système de filtration des déchets de votre organisme ne prend jamais de répit. Hepasil DTXMD d’USANA peut favoriser un état de santé et un fonctionnement normaux de votre foie, lui permettant de remplir ses fonctions en toutes circonstances. Vous avez ainsi tout le temps de profiter des joies de la vie.*

Les ingrédients contenus dans Hepasil DTX soutiennent la fonction hépatique qui joue bon nombre de rôles afin d’assurer votre bien-être au quotidien :

  • Ils aident l’organisme à produire de l’énergie en favorisant des processus métaboliques normaux.*
  • Ils produisent des substances essentielles qui alimentent votre organisme.*
  • Ils éliminent naturellement les graisses, toxines et déchets.*

En plus de soutenir le fonctionnement de votre foie, bon nombre des ingrédients contenus dans Hepasil DTX assurent aussi une activité antioxydante qui aident à protéger les cellules contre le stress oxydatif dommageable.*

Supplément très puissant pour le foie, Hepasil DTX favorise aussi la détoxication. Hepasil DTX n’est pas une cure nettoyante pour le foie.*

Les cures nettoyantes à la mode qui font appel à un apport limité de calories ou à la consommation exclusive de jus peuvent être des moyens « faciles » de vous aider à renforcer votre engagement à assainir votre style de vie, et même à perdre quelques kilos, mais elles ne nettoient aucunement votre foie. Un foie en santé n’a nullement besoin d’un nettoyage intensif pour détoxifier. C’est la tâche qu’il est appelé naturellement à accomplir. Hepasil DTX lui fournit des ingrédients qui l’aideront à s’en acquitter en toute efficacité.*

Comme Hepasil DTX est une formule d’une puissance unique mise au point à partir de la meilleure science des suppléments, votre foie ne s’en portera que mieux. Le produit fait appel à certaines technologies exclusives à USANA. Mélangés avec précision, les comprimés misent sur la technologie InCelligence d’USANA pour activer les processus de détoxication naturellement protecteurs de votre organisme. Le complexe InCelligence qui favorise la détoxication comprend aussi OlivolMD – l’extrait d’olive mis au point par les scientifiques d’USANA. Comme Hepasil DTX met aussi à l’œuvre la technologie nutritionnelle hybride, il vous procure une combinaison exceptionnelle d’ingrédients d’une puissance que ne peuvent offrir quantité d’autres produits.*

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Le foie : le principal centre de traitement de votre organisme

illustration with liver in red

D’un poids qui dépasse 1,36 kg, votre foie joue un rôle important dans la préservation de la santé de votre organisme. Situé sous les côtes dans la région supérieure droite de votre abdomen, au-dessus de l’estomac et sous les poumons, votre foie est votre deuxième organe le plus volumineux (juste après votre peau). Il remplit de multiples fonctions essentielles pour vous garder en vie et en bonne santé.

Après un transit dans la voie digestive, presque tout ce que vous ingérez – aliments, boissons, médicaments, suppléments – passe par le foie. C’est là que les nutriments sont décomposés sous des formes utilisables par votre organisme. Les substances qu’il lui faut pour son énergie et d’autres fonctions sont ainsi produites et stockées. Déchets et toxines sont retirés du sang et modifiés pour être ensuite évacués. Une fois ces traitements terminés, les différents composés retournent dans le débit sanguin. Les nutriments et d’autres substances sont transportés là où ils sont nécessaires, tandis que les déchets sont acheminés dans l’intestin et dans les reins pour être expulsés de votre organisme.

Il ne serait pas exagéré d’affirmer que le foie semble posséder des pouvoirs magiques. S’il est en santé, le foie est le seul organe capable de se régénérer. À la condition qu’au moins 25 % du tissu demeure intact, votre organisme peut en quelque sorte reconstituer un nouveau foie.

Ce n’est certes pas un prétexte pour abuser devotre foie. Comme cette glande fonctionne sans arrêt, il est important de préserver sa santé. Certaines activités, surtout en cas d’excès, peuvent causer du stress à votre foie :

  • Abus de boissons alcoolisées
  • Consommation excessive de sucre et d’aliments gras
  • Mauvaise posologie médicamenteuse
  • Utilisation de produits d’entretien ou de jardinage contenant des toxines
  • Exposition à une pollution très élevée

Vous pouvez intégrer à votre style de vie certaines habitudes qui aideront à préserver le fonctionnement de votre foie. Il est bon d’éviter l’abus d’alcool, l’exposition à certaines substances chimiques inutiles et les aliments gras. Bien sûr, la consommation de fruits et légumes en abondance et un exercice adéquat ne sauraient nuire. Une bonne hygiène peut aussi contribuer à protéger votre foie contre une exposition aux toxines et germes inutiles. Pour favoriser la circulation des nutriments et l’évacuation des déchets, il est aussi conseillé de boire une quantité d’eau suffisante. 

Même dans un monde où les toxines et tentations sont omniprésentes, il est possible d’avoir un foie bien portant si vous lui apportez chaque jour un soutien perfectionné. Intégrez Hepasil DTX d’USANA à votre style de vie sain, ce qui vous aidera à conserver une bonne fonction hépatique, en plus de favoriser les processus naturels de détoxication de votre organisme.*

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Hepasil DTX : pour aider votre foie à transformer les aliments en énergie

Une des principales fonctions de cet organe quasi-magicien consiste à soutenir le processus digestif en décomposant tout ce que vous ingérez. Vous obtenez ainsi l’énergie qu’il vous faut pour toute la journée. Pour mettre à l’œuvre des rouages importants des processus métaboliques, votre foie utilise bon nombre de nutriments, y compris la biotine et la choline contenues dans Hepasil DTX.*

La biotine sert à former des enzymes métaboliques, des substances à l’origine de réactions chimiques qui décomposent des macronutriments, comme les glucides et les protéines, et les transforment en composés utilisables. Et ces enzymes dépendantes de la biotine ne se contentent pas de décomposer les nutriments. Elles aident aussi votre foie à produire des substances nécessaires à votre organisme pour obtenir de l’énergie, comme des acides gras et du glycogène (un type de sucre utilisé par l’organisme pour s’alimenter).*

L’organisme fait appel à la choline pour mobiliser de nombreux rouages du processus métabolique. L’un des plus importantsconsiste à contribuer à la formation de phosphatidylcholine (un type de lipide) et de bétaïne (un acide aminé), tous deux essentiels pour aider à évacuer les graisses et le cholestérol de votre foie. Substance semblable à la vitamine, la choline est aussi nécessaire au soutien des réactions détoxifiantes normales.*

Même si votre organisme peut produire une certaine quantité de choline, votre alimentation doit aussi lui en fournir une provision constante. Malheureusement, quantité de gens ne consomment pas une quantité suffisante d’aliments renfermant de la choline. La pratique régulière d’un sport d’endurance (comme le triathlon et le marathon) peut rendre encore plus important d’accroître l’apport en choline. On a aussi montré qu’une activité physique intensive réduit d’environ 40 % la concentration plasmatique de choline.*

Excellente source de biotine et de choline, Hepasil DTX contribue à vous assurer une bonne quantité de ces deux nutriments afin que votre foie puisse vous aider à conserver toute votre énergie.*

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Le complexe InCelligence qui favorise la détoxication aide à éliminer les déchets

Imaginez-vous ce que deviendrait votre maison si vous ne sortiez jamais les poubelles. En un rien de temps, les déchets s’accumuleraient et encombreraient les lieux. Avec le temps, la maison deviendrait délabrée et vous auriez peine à y fonctionner.

Il en va de même de votre organisme. Le processus métabolique est une source constante de toxines et de déchets filtrés parmi les substances que vous consommez. Pour rester propre, votre organisme doit effectuer un nettoyage continu, un processus de purification qui l’aide à donner son meilleur rendement. Le foie est un important organe de détoxication qui joue le rôle de préposé à l’entretien de votre organisme.*

La prise quotidienne d’un supplément comme Hepasil DTX d’USANA peut favoriser la fonction indispensable de nettoyage que remplit votre foie.*

Hepasil DTX offre un excellent soutien hépatique grâce au complexe InCelligence qui favorise la détoxication. Ce mélange unique fournit des nutriments de tout premier ordre, notamment plusieurs extraits de phytonutriments choisis pour leur pourcentage maximal d’ingrédients actifs. Ces derniers soutiennent les processus naturellement protecteurs d’un foie en santé.*

Extrait de chardon-Marie (Silybum marianum)

L’extrait contenu dans Hepasil DTX est dérivé des graines du fruit du chardon-Marie, une plante parmi les plus utilisées pour préserver la santé et le bon fonctionnement des cellules hépatiques. Cet extrait fournit une quantité concentrée de l’ingrédient actif appelé silymarine. Selon des recherches récentes, les bienfaits de la sylimarine seraient attribuables à sa capacité de contribuer à la régulation d’importantes voies de signalisation afin de stimuler les enzymes hépatiques. De plus, elle favorise la production des antioxydants naturels de votre organisme.*

N-acétyl L-cystéine (NAC)

Hepasil DTX ajoute aussi à la quantité de l’acide aminé NAC que produit naturellement la L-cystéine dans votre organisme. De petite taille, cette protéine n’en est pas moins un détoxifiant d’une rare efficacité qui aide votre organisme à produire son propre glutathion (un antioxydant puissant) afin d’en conserver une bonne quantité dans le foie.*

Acide alpha-lipoïque (ALA)

Cet acide, qui est aussi produit naturellement dans l’organisme, est hautement multifonctionnel. Similaire à la NAC, l’acide alpha-lipoïque aide l’organisme à produire le glutathion, en plus de fournir une activité antioxydante directe et de contribuer au recyclage d’autres antioxydants, dont les vitamines C et E.*

Il était autrefois impossible de combiner l’ALA et la NAC, car les deux ingrédients se dégradaient et perdaient rapidement leur efficacité. Aujourd’hui, grâce à la technologie nutritionnelle hybride d’USANA, ces deux nutriments puissants peuvent conserver toute leur efficacité, en plus de se retrouver dans un même comprimé, mais séparément.*

Extrait de brocoli (Brassica oleracea)

Le concentré de brocoli que renferme Hepasil DTX est une source de composés puissants (comme la glucoraphanine et le sulforaphane) tirés de ce crucifère. Les effets bénéfiques de ces composés antioxydants sur certaines voies de signalisation ont fait l’objet d’études. Un de leurs effets consiste à aider à l’activation des voies qu’utilisent les enzymes de détoxication naturelle de votre organisme.*

Inositol

L’inositol est une substance semblable à la vitamine dont la structure est étroitement liée à celle du glucose. Bien qu’il soit surtout abondant dans le cerveau, la moelle épinière et le liquide cérébro-spinal, l’inositol est un glucide qui se forme naturellement et qui contribue au métabolisme des lipides.

Extrait de thé vert (Camellia sinensis)

Avec sa teneur élevée en polyphénols (90%), l’extrait de thé vert contenu dans Hepasil DTX offre une activité antioxydante concentrée. L’épigallocatéchine‐3‐gallate (EGCG) est l’un des composés antioxydants du thé vert les plus étudiés. On a montré que ce composé régule d’importantes voies de signalisation.*

Extrait d’olive Olivol® (Olea europaea)

Les scientifiques d’USANA ont mis au point l’extrait d’olive Olivol pour offrir dans un ingrédient unique les bienfaits antioxydants puissants de l’huile d’olive. L’extrait d’olive aide à défendre les cellules contre les dommages oxydatifs. La recherche indique également que l’hydroxytyrosol, un des composés phénoliques actifs dans l’olive, aide aussi l’organisme à produire ses propres enzymes antioxydantes protectrices.*

Extrait de curcuma MerivaMD (Curcuma longa)

L’extrait de curcuma Meriva est la source d’un autre nutriment dont vous avez sans doute entendu parler abondamment : la curcumine. Cette « épice dorée de l’Inde » est utilisée depuis des milliers d’années dans la médecine Ayurveda (une approche ancienne du mieux-être holistique). L’intérêt pour la curcumine s’est accru ces derniers temps. Des études ont révélé qu’elle procurait de nombreux bienfaits pour la santé, notamment en favorisant l’activité antioxydante et de bonnes réponses immunitaires. On a aussi montré que la curcumine influe sur la production des antioxydants de l’organisme, tout en aidant à préserver une quantité normale d’enzymes de détoxication importantes.*

Le complexe InCelligence qui favorise la détoxication active les processus naturels de l’organisme qui aident à préserver votre santé hépatique et à nettoyer votre foie des substances susceptibles de vous ralentir. En préservant l’intégrité de vos cellules hépatiques grâce à une protection antioxydante, les ingrédients que renferment Hepasil DTX agissent ensemble pour favoriser le fonctionnement normal d’un foie en santé.*

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Comment Hepasil DTX aide votre organisme à évacuer les toxines

En fait de soutien complet pour la santé du foie, Hepasil DTX se situe dans une classe à part. Il contribue au métabolisme et à l’élimination des graisses et du cholestérol dans le foie. Les ingrédients contenus dans Hepasil DTX aident aussi à équilibrer les réactions naturelles de détoxication de phase I et II.*

Voyons de plus près le déroulement de ce processus :

Bon nombre d’enzymes dans le foie aident à transformer les toxines en substances moins nocives. Les principales voies de détoxication dans votre foie utilisent ce qu’il est convenu d’appeler des enzymes de phase I et de phase II.*

Vous aurez peut-être deviné que la phase I est le premier stade du processus de détoxication naturelle de votre organisme. Les enzymes de phase I amorcent la transformation d’un toxine en joignant les molécules toxiques à des molécules réactives, les rendant du même coup instables. C’estce qu’on appelle l’oxydation. À ce stade initial, l’oxydation peut malheureusement accroître la toxicité de certains composés. À la deuxième phase de détoxication de votre organisme, celui-ci rectifie le tir.*

Au second stade de la détoxication, des molécules fortement réactives se combinent à divers composés qui les neutralisent. Ce sont les enzymes de détoxication de phase II. Le glutathion, les acides aminés et les groupes méthyles participent tous au processus (en même temps que d’autres substances). Une fois les sous-produits de la phase I liés à ces molécules hydrosolubles, ils se convertissent en des formes pouvant passer de l’organisme dans la bile ou l’urine.*

Il importe d’assurer un juste équilibre entre les processus de détoxication de phase I et de phase II détoxication. Si les enzymes de phase I sont nécessaires pour amorcer le processus, il est par aussi essentiel que la quantité d’enzymes de phase II soit suffisante pour assurer la neutralisation des molécules réactives afin de préserver la fonction cellulaire et de favoriser un vieillissement en santé.*

C’est ici qu’entre en scène Hepasil DTX. Le produit fournit à votre organisme une abondance de nutriments qu’il utilisera pour contribuer à équilibrer ces réactions de détoxication naturelle.*

On a montré que bon nombre d’ingrédients contenus dans le complexe InCelligence qui favorise la détoxication – notamment le curcuma, le chardon-Marie, l’ALA et le concentré de brocoli – soutiennent les processus naturels de protection du foie. Ils le font notamment en ciblant la voie de signalisation qui aide l’organisme à produire des enzymes hépatiques, comme le glutathion-S-transférase.*

Le glutathion est un maître détoxifiant. Il s’attache aux toxines et les évacue hors de votre organisme. D’une importance capitale pour les réactions de détoxication, cette enzyme est fortement concentrée dans votre foie. Mieux encore, c’est aussi un maître protecteur.*

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Le glutathion veille sur la santé des hépatocytes

Le glutathion tient de nombreux rôles essentiels à l’égard de votre santé. En plus d’être une enzyme de détoxication de phase II, il aide le foie à réguler l’utilisation que fait votre organisme des lipides, du glucose et des acides aminés. Il favorise aussi l’élimination du formaldéhyde produit par le métabolisme de la choline et d’autres substances.

Dans son rôle d’antioxydant, le gutathion favorise aussi la santé des hépatocytes (cellules hépatiques).*

Avec sa multitude de réactions et de conversions qui se produisent à mesure que des substances sont métabolisées, le processus de détoxication naturelle est dynamique, mais il peut aussi engendrer une foule de radicaux libres. Afin de préserver la santé de vos cellules hépatiques, des enzymes comme le glutathion peuvent dès lors les défendre contre le stress oxydatif.*

L’absorption du glutathion à partir des aliments ou des suppléments est malheureusement inefficace. Il est préférable de fournir à votre organisme ce qu’il lui faut pour en produire. En plus d’un apport suffisant de protéines dans votre régime alimentaire, un certain nombre de micronutriments peuvent favoriser ce processus.*

Le complexe InCelligence qui favorise la détoxication contient bon nombre de nutriments qui, en plus d’aider votre organisme à produire ses propres antioxydants, comme le glutathion, assurent aussi une activité antioxydante. (Bon nombre aident aussi l’organisme à produire d’autres enzymes antioxydantes, comme la superoxyde dismutase [SOD].) Chardon-Marie, thé vert, NAC, ALA et Olivol, pratiquement tous les ingrédients de ce complexe exclusif renforcent la capacité de vos cellules de produire du glutathion pour en conserver une quantité adéquate dans votre foie.*

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Trois comprimés Hepasil DTX par jour pour repousser les radicaux libres dommageables

Intégré à Hepa Plus, le complexe InCelligence qui favorise la détoxication contient un mélange unique d’ingrédients qui optimisent les voies de signalisation liées à la production du glutathion. Ce processus renforce la capacité de détoxication naturelle de votre organisme, en plus d’accroître sensiblement la protection antioxydante.

On a montré qu’après la prise d’un supplément d’Hepa Plus, les ingrédients favorisaient un bon taux de glutathion circulant. Assez étonamment, ils favorisaient aussi le taux de vitamine C.

En d’autres mots, Hepa Plus renforce d’une façon marquée la capacité de votre organisme de protéger votre foie et d’autres cellules contre les dommages causés par les radicaux libres. Comme Hepa Plus mise sur la technologie hybride et la technologie InCelligence d’USANA, aucun autre supplément pour la santé du foie ne peut en égaler la formule novatrice.*

Principaux ingrédients

  • Choline
  • Biotine
  • Complexe InCelligence qui favorise la détoxication

Voir la liste complète des ingrédients

Mode d’emploi

Adultes : Prendre trois (3) comprimés par jour, de préférence avec de la nourriture.

Idéal pour

  • Les adultes en santé
  • Les athlètes de sports d’endurance
  • Les personnes exposées à des polluants ou toxines

Questions fréquemment posées

Il est toujours bon de favoriser une saine fonction hépatique, mais c’est d’autant plus important lorsque l’organisme est exposé à une pollution accrue ou si vous diminuez votre consommation de boissons et d’aliments sains. Dès que vous savez que vous aurez besoin d’un soutien accru, il est préférable de prendre Hepasil DTX avant de vous exposer, plutôt qu’après. Votre foie profitera ainsi du soutien qu’il lui faut pour faire face à cette surcharge.*

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*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

La zéaxanthine fait partie d’une classe de composés antioxydants appelés caroténoïdes. Dans l’œil, le principal  caroténoïde est la lutéine (à la périphérie de la macula), tandis que la zéaxanthine se concentre surtout dans la partie centrale, l’endroit le plus favorable à la formation de radicaux libres.

La lutéine et la zéaxanthine sont toutes deux importantes dans la préservation de la santé oculaire. En qualité de pigments, ces composés servent d’écran contre la lumière de haute énergie, protégeant ainsi les tissus sous-jacents contre les dommages causés par photo-induction. Les deux substances agissent aussi comme antioxydants en contribuant à protéger la macula contre les méfaits du stress oxydatif. Dans ces deux rôles, elles peuvent aider à réduire le risque de maladie oculaire liée à l’âge.

Il existe de nombreuses sources alimentaires de zéaxanthine, mais on la trouve surtout dans les légumes à feuilles vert foncé (comme les épinards) et en moindre quantité dans d’autres fruits et légumes colorés, dont les suivants : brocoli, poivron orange, maïs, pois, kaki et tangerine.

La lutéine fait partie d’une classe de composés antioxydants appelés caroténoïdes. C’est en fait le principal caroténoïde que l’on trouve dans la partie centrale de la rétine (macula) chez l’humain.  Conséquemment, on associe la lutéine à la protection contre la dégénérescence maculaire liée à l’âge, une des causes principales de cécité chez les personnes âgées.

Pour l’heure, on estime que la lutéine exerce deux fonctions :

  1. un filtre des lumières bleue et ultraviolette à forte teneur énergétique
  2. un antioxydant qui neutralise les radicaux libres induits par la lumière et les espèces réactives de l’oxygène

Même si le rôle de la lutéine dans la physiologie de l’œil demeure en partie méconnu, les liens entre lutéine et santé oculaire sont si probants que bon nombre d’organisations régionales et nationales de santé aux États-Unis ont recommandé un accroissement de l’apport de lutéine alimentaire.

Il existe de nombreuses sources alimentaires de lutéine, mais on la trouve surtout dans les légumes à feuilles vert foncé et en moindre quantité dans d’autres fruits et légumes colorés, dont les suivants : brocoli, poivron orange, maïs, pois, kaki et tangerine.

Malheureusement, la plupart des études sur l’alimentation indiquent que peu de gens consomment une quantité optimale d’aliments riches en lutéine.

On associe souvent les glandes surrénales au stress et avec raison. Si on le fait, c’est à cause de leur rôle dans la sécrétion de l’adrénaline (épinéphrine), l’hormone qui permet à l’organisme de réagir dans une situation de stress. Autrement dit, la réaction de lutte ou de fuite.

Pourtant, ce n’est pas leur rôle principal, car elles s’occupent avant tout de sécréter les hormones essentielles à la vie.

Chacune des glandes surrénales est constituée de deux structures distinctes – la partie extérieure s’appelle le cortex surrénal et la région interne, la médulla surrénale.

Le cortex surrénal sécrète trois types d’hormones essentielles à la vie : les minéralocorticoïdes, qui sont régulés par l’hypothalamus, et les glandes pituitaires dans le cerveau; les glucocorticoïdes qui sont régulés par des signaux provenant des reins; et enfin, certaines hormones sexuelles (la plupart étant produites par les ovaires et les testicules).

Les glucocorticoïdes libérés par le cortex surrénal comprennent :

  • L’hydrocortisone : couramment appelée cortisol, cette hormone régule la façon dont l’organisme convertit les lipides, protéines et glucides en énergie. Elle aide aussi à la régulation de la tension artérielle et du fonctionnement cardiovasculaire.
  • La corticostérone : cette hormone agit avec l’hydrocortisone pour réguler la réponse immunitaire et supprimer les réactions inflammatoires.

Le principal minéralocorticoïde est l’aldostérone qui maintient un équilibre adéquat entre le sel et l’eau, tout en contribuant à contrôler la tension artérielle.

Contrairement au cortex surrénal, la médulla surrénale sécrète des hormones non essentielles à la vie, mais quand même bénéfiques, car elles vous aident à faire face à la fois au stress physique et émotionnel.

La médulla surrénale sécrète les hormones suivantes :

  • L’épinéphrine (adrénaline) : cette hormone répond rapidement au stress en haussant la fréquence cardiaque et en propulsant le sang vers les muscles et le cerveau; elle hausse aussi le taux de sucre sanguin en aidant à convertir le glycogène en glucose dans le foie.
  • La norépinéphrine (noradrénaline) : cette hormone agit avec l’épinéphrine en réponse au stress; elle peut cependant causer de la vasoconstriction (rétrécissement des vaisseaux sanguins), ce qui entraîne l’hypertension artérielle.

Parmi les troubles et maladies des glandes surrénales, la maladie d’Addison (aussi appelée insuffisance surrénale) se développe lorsque le cortex surrénal n’arrive pas à produire une quantité suffisante de cortisol et d’aldostérone. Signalons aussi la maladie de Cushing, qui est causée par une surproduction de l’hormone cortisol, généralement consécutive à une tumeur des glandes surrénales ou de la glande pituitaire.

La fatigue surrénale englobe une série de symptômes non spécifiques, notamment : douleurs physiques, fatigue, nervosité, perturbations du sommeil et troubles digestifs. Bien que l’emploi de l’expression « fatigue surrénale » soit courant, ce syndrome (un ensemble de symptômes) n’est pas un diagnostic médical reconnu. Parmi ses nombreux autres symptômes, signalons ceux qui suivent :

  • Sensation de manque de repos au réveil
  • Incapacité accrue à faire face au stress
  • Cerveau embrouillé ou diminution des facultés cognitives
  • Vertige en se levant d’une position assise ou couchée
  • Faible libido
  • Réponse allergique plus aiguë
  • Hypotension artérielle
  • Hypoglycémie
  • Faiblesse… et plus encore.

Des troubles surrénaux comme la maladie d’Addison et la maladie de Cushing sont des problèmes de santé qui nécessitent un traitement médical ou une thérapie à vie de substitution hormonale (comme pour le diabète de type 1 ou l’hypothyroïdie).

Le meilleur traitement de la « fatigue surrénale » comporte une saine alimentation (les régimes alimentaires à forte teneur glycémique et la surconsommation de stimulants sont souvent problématiques), un sommeil adéquat, une bonne gestion du stress et la prise d’un supplément équilibré de multivitamines et minéraux comportant les constituants et nutriments de base qui soutiennent les fonctions rénales et surrénales normales. Les produits commercialisés en fonction de leur capacité de traitement de la fatigue surrénale sont rarement nécessaires ou bénéfiques, en particulier si on ne prend pas en compte adéquatement les facteurs de style de vie et d’alimentation.

https://www.endocrineweb.com/endocrinology/overview-adrenal-glands

Avant-propos

À plusieurs égards, la nutrition est demeurée un terrain inexploré dans la recherche d’une santé optimale. Abstraction faite de quelques visionnaires, ce n’est que tout récemment que l’intérêt s’est porté sur le rôle de la nutrition dans la performance sportive, le vieillissement en santé, les maladies dégénératives et plus important encore, dans la préservation de la santé le plus longtemps possible. Afin de mieux comprendre, de parfaire et d’améliorer le rôle positif de la nutrition dans une santé optimale, il sera essentiel d’innover dans ce domaine.

L’innovation se fait déjà attendre dans certains secteurs de la nutrition. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il serait bon d’avoir un bref aperçu de l’historique de la nutrition afin de mieux cerner l’état de la situation aujourd’hui.

Les micronutriments et macronutriments essentiels

Composés tirés du régime alimentaire ou des suppléments nutritionnels, les nutriments essentiels assurent notre subsistance. Ils sont essentiels, car l’organisme ne peut pas les fabriquer. On les classe en deux grandes catégories : 1) macronutriments essentiels et 2) micronutriments essentiels.

Les macronutriments sont des nutriments dont nous avons besoin en grande quantité (généralement plus d’un gramme). Ce sont les lipides, protéines et glucides, c’est-à-dire les matières premières nécessaires aux cellules qui 1) les utilisent pour former les structures constitutives de l’organisme et 2) les consument pour produire de l’énergie.

Les micronutriments essentiels sont les minéraux et vitamines qu’il faut à l’organisme, mais en plus petite quantité (généralement moins d’un gramme). Certains minéraux requis en bonne quantité, comme le calcium, pourraient se classer parmi les macronutriments. Comme il est impossible de consumer le calcium et d’autres minéraux pour en tirer de l’énergie, la plupart des nutritionnistes les regroupent cependant dans la catégorie des micronutriments. En résumé, les minéraux essentiels sont des substances inorganiques et les vitamines essentielles sont des composés organiques dont l’organisme a besoin comme soutien à la vie.

On sait depuis fort longtemps que l’être humain doit consommer des aliments (les macronutriments) pour assurer sa survie. Dès son origine, la médecine a compris l’importance des minéraux dans la composition des os, sans toutefois arriver à cerner le rôle essentiel des vitamines. Une évaluation rétrospective avec les moyens du 21e siècle ravivera l’intérêt porté à la découverte des vitamines essentielles. De ce point de vue historique, ce sont surtout les vitamines qui retiennent notre attention.

La découverte des vitamines essentielles

C’est aux premiers explorateurs marins que nous sommes redevables de la découverte des vitamines, même s’ils n’en étaient pas conscients à l’époque. Pendant leurs longues expéditions, ils consommaient presque exclusivement des aliments déshydratés et du poisson, mangeant peu ou pas de fruits et légumes. Avec ce régime alimentaire, les marins risquaient de souffrir de carence en vitamine C et de scorbut. Les symptômes graves du scorbut (faiblesse générale, perte de dents, caillots sanguins, contusions multiples, etc.) apparaissaient entre 10 à 12 semaines après le départ du navire. C’était le premier trouble lié à une carence nutritionnelle qui ait jamais été observé et documenté. En revanche, on constatait qu’aussitôt à terre, les marins qui consommaient des « fruits acides » voyaient leurs symptômes disparaître en l’espace d’une à deux semaines à peine. La marine britannique fut la première à réagir et à intégrer les jus d’agrumes (surtout de citron et de lime) aux rations quotidiennes de ses équipages – traitant ainsi la maladie chez les marins sans toutefois la guérir. Ce n’est qu’au début des années 1930 qu’on allait connaître le facteur précis et les composés à l’œuvre dans l’amélioration de l’état de santé des personnes atteintes de scorbut, avec la découverte de la vitamine C par un chercheur hongrois du nom d’Albert Szent-Györgyi, des centaines d’années plus tard.

Cette évaluation à posteriori  rendue possible par la science et la médecine d’aujourd’hui met en évidence la préoccupation qu’était le scorbut pour ces chercheurs de la première heure. La vitamine C est très hydrosoluble et comme l’humain est l’un des rares animaux qui ne la synthétise pas, il lui en faut un apport relativement élevé. De plus, comme il la recycle très médiocrement, la vitamine C est l’un des premiers nutriments à s’appauvrir dans l’organisme. Le scorbut a été l’une des premières maladies liées à une carence en nutriments dont les symptômes aient été manifestes.

Dans les années 1800, pendant que les Européens colonisaient l’Asie, les Caraïbes et les îles du Pacifique, bon nombre d’autres maladies liées à une carence en nutriments ont fait leur apparition. C’est la mise en commun des observations de divers médecins européens qui mettra en lumière le rôle de la nutrition dans la prévention des carences nutritionnelles. En fait, les marins, soldats, prisonniers et même les animaux de ferme soumis à un régime alimentaire homogène, restrictif ou limité couraient tous un risque de « maladie ». Il demeurait toutefois difficile de cerner la cause de ces maladies. L’époque a aussi influé sur la découverte des vitamines essentielles. La recherche sur les maladies liées à une carence nutritionnelle s’effectuait au moment même de la «révolution pasteurienne » où prédominait la théorie microbienne attribuant à des organismes microscopiques la cause de toutes les maladies. Les chercheurs menaient donc des expériences qui se révélaient souvent infructueuses.

C’est en 1890 qu’un médecin néerlandais a observé l’apparition d’un trouble neurologique appelé « béribéri » chez des poulets, selon qu’ils étaient nourris de riz blanc ou de riz complet. Cette découverte a permis de renforcer la notion voulant que les « composants des aliments » pouvaient être source de santé ou de maladie. Ainsi s’amorce au début des années 1900 une révolution scientifique qui se poursuivra jusqu’en 1941, au moment où allait être décrit l’acide folique, la plus récente vitamine essentielle qu’on ait découverte.

L’établissement de lignes directrices en matière d’alimentation

Tandis que la guerre et la dépression économique entraînaient le rationnement et la famine partout dans le monde au cours de la Deuxième Guerre mondiale, les États-Unis décidaient d’établir des lignes directrices en matière de nutrition. C’est sans aucun doute pour renforcer l’effort de guerre que la United States National Defense Advisory Commission a confié le mandat à la United States National Academy of Sciences d’établir le United States National Research Council, chargé d’étudier le rôle de la nutrition à l’égard de la défense nationale. L’objectif consistait à préserver la santé des combattants et de la population civile, tout en orientant les secours outre-mer. Les premiers apports quotidiens recommandés (AQR) allaient être appliqués en 1941. Bien que ces lignes directrices alimentaires aient d’abord été établies par les États-Unis, de nombreux pays les ont adoptées d’emblée ou en ont fait leur propre version. L’AQR ou la nouvelle norme élargie de l’apport nutritionnel de référence (ANREF) sont mis à jour en moyenne tous les cinq à dix ans. Depuis leur entrée en vigueur, ces recommandations n’ont toutefois été mises à jour qu’à quelques reprises, ce qui nous amène à la situation d’aujourd’hui.

La réglementation gouvernementale : la prévention des troubles de carence nutritionnelle comparativement à une santé optimale

La découverte des vitamines essentielles et l’établissement des lignes directrices gouvernementales avaient comme dénominateur commun de « prévenir les maladies liées à une carence nutritionnelle et les complications causées par la malnutrition ». Conséquemment, la réglementation, les directives et les recommandations gouvernementales n’ont jamais envisagé des apports visant une « santé optimale». Pour que les organismes de réglementation fassent la transition entre l’apport nutritionnel minimal recommandé pour éviter les maladies liées à une carence nutritionnelle à un apport nutritionnel optimal favorisant la santé, des investissements importants et des approches expérimentales novatrices nécessaires. Pour que toute cette science profite au grand public, il faudra des recommandations nutritionnelles accessibles, compréhensibles, simples et, en un mot, personnalisées. Il est impensable de faire converger des objectifs apparemment si différents sans innover en matière de nutrition.

L’innovation appliquée à la nutrition

Un recherche intensifiée dans le domaine de la nutrition

Des réactions biochimiques internes permettent à l’organisme et aux cellules de fonctionner. Pour que ces réactions se produisent avec efficacité et d’une façon optimale, un certain nombre de nutriments et de cofacteurs sont nécessaires – en concentration adéquate, selon un juste équilibre et selon la forme appropriée. Jusqu’ici, le manque flagrant de recherche fondamentale en nutrition n’a pas permis de déterminer avec exactitude la « quantité optimale » quotidienne de nutriments que chacun devrait consommer. Par exemple, quelle serait l’apport optimisé permettant de maximiser la performance sportive et de vieillir en santé? Plus important encore, quelle quantité de nutriments chacun doit-il consommer chaque jour pour conserver sa santé le plus longtemps possible – autrement dit, pour prolonger sa « durée de vie en santé »?

Cette lacune dans la documentation scientifique est sans doute attribuable à deux facteurs importants. Il y a d’abord une insuffisance générale de financement dans le secteur de la nutrition, tant de la part des organismes gouvernementaux que du secteur privé. Des causes multifactorielles complexes expliquent sans doute le manque d’empressement des principaux organismes gouvernementaux à investir, mais quoi qu’il en soit, ils sont peu enclins à financer les études en nutrition comparativement à d’autres champs de recherche. Le coût très élevé des études cliniques à grande échelle et à long terme portant sur des sujets humains pèse lourd du côté du secteur privé.  À coup de millions de dollars par année, et ce, pendant 5, 10, 15, 20 ans et même plus dans certains cas, le financement des études cliniques devient prohibitif, même pour les entreprises les plus florissantes qui doivent les financer à même leurs revenus.

Ensuite, de nombreux scientifiques ont récemment remis en question le bien-fondé du modèle traditionnel de recherche scientifique de l’« essai randomisé avec groupe placebo » pour mener des études cliniques en nutrition. Ce type d’essai est valable dans l’industrie scientifique où les expériences sont menées sur des molécules qui ne se trouvent pas naturellement dans l’organisme. Comme de nombreux gouvernements interdisent de breveter des composés naturels, le secteur pharmaceutique doit mettre au point des molécules synthétiques pour que ses investissements dans la recherche soient protégés par des brevets. Par conséquent, les modes d’expérimentation dans ce secteur sont plus simples et permettent d’établir plus facilement un lien direct de cause à effet. Un nouveau médicament potentiel se trouve ou non chez l’humain ou encore, produit ou non un effet. En raison du caractère binaire de cette méthode, les études dans le secteur pharmaceutique sont plus économiques et il est plus facile d’en tirer des conclusions directes.

Il en va tout autrement dans le domaine de la nutrition. Lorsque des études cliniques similaires sont menées chez des humains, leur organisme comporte déjà une quantité de référence de nutriments à cause de leur consommation d’aliments. En fonction du régime alimentaire de chacun, ce facteur devient plus complexe, puisque chez certains, la quantité de nutriments précis est relativement élevée, tandis qu’elle est faible chez d’autres. Ce facteur n’est pourtant presque jamais pris en compte dans la conception d’études nutritionnelles, ce qui rend les modes d’expérimentation beaucoup moins simples. Ces quantités de référence divergentes accroissent le risque d’erreur pendant l’expérimentation. Plus le risque d’erreur est élevé, plus il devient difficile d’établir un lien direct de cause à effet entre l’intervention nutritionnelle et un effet précis sur la santé. Sans un concept d’expérimentation approprié, un nombre prodigieux de sujets d’étude et des analyses statistiques adéquates, cette différence marquée entre la recherche à caractère pharmaceutique et celle d’ordre nutritionnel explique souvent les résultats équivoques publiés dans la documentation scientifique.

Comme les nutriments ne fonctionnent pas isolément dans une voie biochimique ou métabolique désignée, la conception des études et l’interprétation des résultats en sont d’autant plus complexes. Dans toute voie métabolique à l’intérieur des cellules, un certain nombre de nutriments et cofacteurs facilitent les réactions biochimiques et métaboliques. Au mieux, on peut seulement espérer mesurer une amélioration de la santé en évaluant un nutriment donné dans un contexte où tous les autres sont requis dans une voie métabolique. En science biochimique et métabolique de la nutrition, une pratique exemplaire serait l’administration expérimentale de tous les nutriments dans une voie biochimique-métabolique donnée où un effet précis sur la santé est souhaité. Cette pratique va malheureusement à l’encontre de la « méthode scientifique » séculaire enseignée aux scientifiques.

Avec la méthode scientifique, une seule variable relative au groupe témoin ou placebo peut être changée. En pratique, cette approche ne fonctionne tout simplement pas pour les études portant sur la nutrition par rapport à la santé et la maladie. La pratique expérimentale en biochimie et métabolisme nutritionnels exigent l’administration de tous les nutriments connus dans une voie donnée pour espérer obtenir une amélioration de la santé. En plus d’être contraire à la méthode scientifique, cette pratique affaiblit l’interprétation de cause à effet des résultats et bon nombre de scientifiques dans ce champ d’étude en sont conscients. Règle générale, lorsque vient le temps de soumettre au gouvernement une demande de financement de travaux de recherche, toute conception expérimentale hors du cadre de la méthode scientifique est jugée médiocre et les fonds sont souvent refusés.

En résumé, pour permettre d’innover en matière de nutrition, une renaissance de la recherche fondamentale dans ce champ d’étude s’impose. À cette fin, il faut infléchir la conception dogmatique traditionnelle de l’expérimentation nutritionnelle. Il faut aussi établir de nouveaux paradigmes d’étude pour répondre aux questions que soulève la recherche en nutrition; c’est ce que s’appliquent à faire des scientifiques visionnaires dans le domaine de la biochimie et du métabolisme nutritionnels : découvrir des méthodologies hors du cadre de la méthode scientifique traditionnelle qui répondront aux questions soulevées par la recherche en nutrition. Ces scientifiques adoptent à l’égard de la science de la nutrition une approche non ciblée et sans hypothèse de départ. Il s’agit de procéder à diverses interventions nutritionnelles relativement à un groupe témoin, de mesurer les résultats d’ordre biochimique et métabolique, puis de reformuler les données en fonction des principes biochimiques et métaboliques connus. Bien que cette approche soit onéreuse et compliquée, en plus de nécessiter beaucoup de temps, elle permet aux scientifiques d’établir des liens étroits entre de multiples interventions nutritionnelles et leurs effets sur les voies biochimiques et métaboliques. En d’autres mots, ces chercheurs laissent les données obtenues établir les faits au lieu d’interpréter ces données en fonction d’hypothèses préconçues ou biaisées en raison d’une conception expérimentale déficiente. C’est vraisemblablement l’approche que devront adopter désormais les scientifiques dans le domaine de la nutrition.

En bout de ligne, l’innovation en science de la nutrition suppose un financement accru de la recherche, une remise à l’honneur de la recherche fondamentale en nutrition et des conceptions expérimentales améliorées et novatrices.

Nutriments et cofacteurs essentiels « dans certains cas » et non essentiels

Il est clair que pour survivre en santé, il nous faut des nutriments essentiels. Il y a aujourd’hui un intérêt croissant pour un aspect précis de la nutrition : les nutriments dits « essentiels à certaines conditions ».  Comme nous l’avons déjà vu, la découverte de la dernière vitamine essentielle (l’acide folique) remonte à 1941. Il y a bien eu quelques candidats potentiels au titre de nutriments essentiels encore méconnus, comme la pyrroloquinoline quinone (PQQ), l’ergothionéine et d’autres, mais la découverte d’une autre vitamine absolument essentielle est très peu probable. Cependant, une recherche intensifiée en nutrition pourrait vraisemblablement donner lieu à la caractérisation d’un nombre croissant de nutriments et cofacteurs essentiels comme « essentiels à certaines conditions », y compris des vitamines et minéraux essentiels.

Qu’en est-il de ces nutriments et cofacteurs « essentiels à certaines conditions »? Ils n’ont aucun lien direct avec des maladies liées à une carence nutritionnelle, contrairement à des nutriments essentiels directement liés à de telles maladies. Il s’agit ici de carences subcliniques sans symptômes visibles, mais dans lesquelles le métabolisme et le fonctionnement cellulaire sont compromis.

À divers stades de la vie, un nutriment ou cofacteur peut devenir essentiel à certaines conditions. Par exemple, on sait qu’en vieillissant, l’organisme absorbe moins bien les minéraux et certaines vitamines. On a aussi montré une baisse avec l’âge de la quantité de certains nutriments et cofacteurs non essentiels, comme l’acide lipoïque et la carnitine. Nous savons que pour maximiser la capacité de transport de l’oxygène et endurer le stress accru causé par les activités sportives et les soins aux enfants, le besoin en fer et autres nutriments tend à augmenter chez bon nombre d’athlètes et de femmes en âge de procréer. Nous savons aussi qu’à la suite d’une blessure grave, le taux de vitamine D s’affaisse. Autre fait connu, la plus grande partie de la masse osseuse  pour toute la durée de vie se forme avant l’âge de 20 ans et conséquemment, le besoin en minéraux – kilo pour kilo – est plus important chez l’enfant que chez l’adulte.

En matière de nutrition, il importe de mieux comprendre ces nutriments et cofacteurs non « essentiels » au sens strict du mot, mais susceptibles de contribuer à un fonctionnement subclinique et compromis des cellules, tissus ou organes. Il serait bon par ailleurs de décrire les nutriments et cofacteurs « essentiels à certaines conditions » susceptibles d’apporter d’autres bienfaits pour la santé grâce à une consommation accrue de suppléments. Une recherche plus poussée pour caractériser ces nutriments et cofacteurs « essentiels à certaines conditions » dans le but de mieux déterminer les apports nécessaires à des stades précis de la vie, constituerait une innovation importante dans le domaine de la nutrition.

La nutrition personnalisée

Selon les hypothèses de certains biologistes théoriciens, la probabilité qu’un être humain soit identique à un autre, à un moment précis et dans des circonstances données, est d’environ 1 : 400,000,000,000 (une sur 400 000 milliards). Ainsi, s’il existait  400 000 milliards d’habitants sur la planète, il pourrait y avoir un être humain en tous points identique à un autre. Comme la population de la Terre est de seulement sept milliards d’habitants, il est fortement improbable que deux personnes soient absolument identiques. Conséquemment, on peut aisément en déduire que chacun a des besoins nutritionnels qui lui sont propres.

D’un point de vue historique, les organismes gouvernementaux n’ont fait aucun cas de cette nuance. De nombreux organismes de réglementation ont émis des recommandations qui déterminent les besoins nutritionnels en fonction de vastes groupes de la population. On n’a tenu compte que tout récemment des besoins nutritionnels en fonction des « stades de la vie » : par exemple, l’âge, le tabagisme, la grossesse ou l’allaitement.

Pour que l’innovation en nutrition soit utile, il faut avant tout connaître les besoins nutritionnels de plus petites populations mieux définies – et en bout de ligne, ceux propres à chacun – afin d’accroître l’efficacité de la nutrition dans la promotion d’une santé optimale.

Ciblage cellulaire et moléculaire des nutriments

On sait depuis longtemps  que les cellules sont dotées d’un réseau de communication étendu : les voies de signalisation cellulaire. Celles-ci permettent aux cellules d’informer les autres – qu’elles soient voisines ou très éloignées – de ce qui se produit dans une cellule.

Ces voies de signalisation cellulaire ont pour unique tâche d’aider une cellule, un tissu ou un organe à s’adapter à son environnement et à y répondre. Comment? À l’aide de « capteurs moléculaires » (généralement des protéines) vivant à la fois à la surface et à l’intérieur de toutes les cellules. À l’instar d’une clé et d’une serrure, lorsque la bonne molécule (la clé) atteint le capteur approprié (la serrure), une voie de signalisation cellulaire s’ouvre et la communication débute. C’est un peu comme des dominos qui tombent à la chaîne. Un fois à l’œuvre, la voie de signalisation cellulaire produira un effet physiologique sur une cellule, un tissu ou un organe, ou peut-être même sur l’ensemble de l’organisme – soit en déclenchant des processus biologiques, soit en y mettant fin.

Certains nutriments agissent au niveau moléculaire afin de cibler des voies de signalisation cellulaire et procurer ainsi un bienfait pour la santé. Par exemple, les composés présents dans le chocolat noir et les pépins de raisin peuvent favoriser la santé cardiovasculaire. La caféine peut imiter l’adrénaline et renforcer la fonction cognitive en plus d’améliorer la performance sportive. On a montré que certains nutriments tirés des plantes (les phytonutriments) activent les processus naturels de détoxication de l’organisme, tandis que d’autres agissent comme des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). À cause de ces nutriments qui s’appliquent au niveau de la molécule à activer des voies de signalisation cellulaire, les scientifiques en nutrition misent maintenant sur le ciblage moléculaire de composés naturels à l’intérieur de la cellule pour produire des effets physiologiques précis, sains et efficaces.

Nous commençons à peine à découvrir quels nutriments – et à quel dose –  ciblent des voies de signalisation cellulaire précises afin d’apporter des bienfaits pour la santé, mais ce savoir préliminaire ouvre déjà la porte à l’innovation.

Une révolution en nutrition : le suffixe « omique »

Génomique (étude de l’ADN), protéomique (étude des protéines et enzymes), microbiomique (étude des microorganismes internes et externes) et métabolomique (étude du métabolisme). On doit au suffixe « omique » attaché aux noms de sous-domaines de la biologie une révolution très tendance en science, surtout en biologie.

La tendance aux champs d’étude « omiques » découle d’une notion en biologie appelée « biologie des systèmes » ou comment chacun des systèmes de l’organisme fonctionne pour faire de l’être vivant ce qu’il est. Cette compréhension de la biologie relève plus de l’informatique et de l’ingénierie, allant de l’étude du contenu de l’ADN et de ce qu’il explique d’une propension à un état de santé donné (génomique), à la transformation par les cellules d’un message de l’ADN en dispositif protéinique cellulaire (protéomique) et à l’interaction avec l’environnement ainsi qu’aux effets sur la physiologie humaine des microorganismes mutuels vivant à l’intérieur et à l’extérieur de l’être humain (microbiomique).

La biologie des systèmes promettait d’approfondir leur influence réciproque complexe afin de favoriser une meilleure compréhension de la complexité biologique. Ce champ d’étude n’a pas entièrement tenu sa promesse d’une approche moins réductive à l’égard de la biologie. En fait, comme de nombreux systèmes sont à l’œuvre dans la cellule, l’étude d’un système particulier (génomique, protéomique, microbiomique, etc.) ne donne aucune vue d’ensemble et n’explique pas davantage l’influence réciproque de ces systèmes. À partir de l’affirmation voulant que l’être humain ne soit rien d’autre sur le plan biologique qu’un contenant de réactions biochimiques lui conférant sa nature propre, une « approche systémique » promet enfin d’apporter un savoir utile susceptible de favoriser l’innovation en matière de nutrition : la métabolomique.

La promesse de la métabolomique

Comme nous l’expliquons plus haut, la métabolomique est l’étude de la biochimie de l’organisme tout entier. La métabolomique est prometteuse en ce qu’elle tient compte de plusieurs systèmes, sinon de tous, à l’œuvre dans la biologie des systèmes. D’une façon hiérarchisée, la métabolomique est le seul champ d’étude qui peut prendre en compte simultanément toutes les variables potentielles, indépendamment de l’ADN hérité des parents, de la transformation efficace de cet ADN en dispositif protéinique utile pour les cellules, des effets du microbiome sur la physiologie humaine ou des facteurs encore méconnus, comme l’absorption efficace des nutriments, le style de vie et l’environnement. Tous ces facteurs ont un effet direct ou indirect sur les réactions biochimiques cellulaires et la métabolomique les prend en compte.

La métabolomique est aussi prometteuse en raison de la connaissance de la biochimie cellulaire humaine datant d’un certain nombre d’années. À toutes fins utiles, la cartographie de toutes les voies métaboliques de l’organisme est complète, autant celle des voies et facteurs les plus importants que celle des plus petits et des « métabolites ». Une biochimie cellulaire aussi bien définie englobant les réactifs biochimiques, les intermédiaires métaboliques et l’ensemble des enzymes, cofacteurs, vitamines, minéraux, etc. nécessaires pour orienter cette biochimie, permet de savoir si le métabolisme fonctionne d’une façon optimale ou s’il est perturbé. Avec les milliers de milliards de réactions chimiques qui se produisent à tout moment dans l’organisme, nous obtenons un compte rendu à la seconde près du fonctionnement du métabolisme.

Cela étant dit, ce qui rend la métabolomique si prometteuse, c’est aussi ce qui en freine le progrès. En raison de sa complexité inhérente, de nombreux chercheurs hésitent à s’y consacrer. Pour avoir une vue d’ensemble complète et exacte du « métabolome » (ce qui constitue le métabolisme), il faudrait mesurer des centaines de milliers de métabolites simultanément, le plus souvent possible et selon de multiples scénarios. Évidemment, la complexité devient très rapidement exponentielle.

Par contre, la technologie dans ce domaine progresse à grands pas. Il est maintenant possible de mesurer de façon expérimentale des dizaines de milliers de métabolites, un nombre qui augmente presque au quotidien. À cet égard, seule la recherche métabolomique fondamentale demeure complexe. Dès qu’un portrait exact du métabolome à partir de divers scénarios de style de vie serait dressé, il serait possible d’utiliser quelques métabolites clés pour connaître le fonctionnement exact des cellules. En appliquant ce savoir à la nutrition, on pourrait déterminer avec exactitude ce que l’organisme doit ingérer pour optimiser le plus possible le fonctionnement des cellules. Quoi manger? Des glucides? Des protéines? Des lipides? À quel moment? Ai-je une carence nutritionnelle? Quels nutriments me faut-il? Quand et en quelle quantité? La métabolomique est prometteuse en raison de sa granularité, de sa spécificité et de ses résultats en temps réel.

Dans l’exemple du scorbut, (une maladie liée à une carence en vitamine C), il y a perte de dents, contusions répétées et décès généralement causé par un incident cardiovasculaire (anévrisme ou crise cardiaque). La vitamine C est essentielle à la synthèse du collagène – la « colle moléculaire » qui retient ensemble les cellules et les vaisseaux sanguins. Dans cet exemple, si la métabolomique permettait d’identifier le moment où sont compromis la synthèse du collagène ou tout autre métabolite sans lien apparent jusqu’ici et peut-être même sans aucun lien, il serait possible d’intervenir et de recommander le prise de vitamine C pour remettre en état cette voie métabolique. Il serait possible d’identifier ce préjudice métabolique bien avant l’apparition de symptômes cliniques ou d’effets négatifs de séquelles subcliniques sur la cellule. De façon similaire, il serait possible d’optimiser la production d’énergie, la synthèse musculaire, le fonctionnement cérébral et d’autres marqueurs de la maladie ou de la santé. Bref, la métabolomique permettrait l’optimisation de tout processus métabolique.

Une meilleure compréhension des fondements de la métabolomique et l’identification des métabolites clés à utiliser comme marqueurs d’un état nutritionnel optimal et de la santé constituent l’avant-dernière innovation souhaitable en matière de nutrition.

Appareils médicaux, moniteurs d’activité physique, alcootests et scanneurs optiques

Bon nombre d’appareils sur le marché permettent au consommateur de mesurer certains paramètres importants de la santé. Parmi les appareils médicaux déjà disponibles, on trouve des instruments qui mesurent certains de ces paramètres : tension artérielle, vitesse des ondes pulsatiles (pouls), poids, composition de l’organisme, taux de lipides sanguins, cholestérol, protéine C-réactive, température corporelle et glucose sanguin, pour n’en nommer que ceux-là.

En raison de son immense popularité, le moniteur d’activité physique représente aujourd’hui une industrie mondiale multimilliardaire. De toute évidence, il existe une demande pour des dispositifs capables de fournir des mesures de la santé en temps réel.  Les moniteurs les plus populaires affichent le nombre de pas, la distance, l’efficacité des mouvements de natation, la cadence et la force du coup de pédale, le rythme cardiaque, le nombre de calories éliminées et la qualité du sommeil.

Au cours des dernières années, on a pu assister à une renaissance de technologies non invasives utilisant des longueurs d’onde lumineuses précises pour examiner sans effraction du tissu humain certains paramètres de la santé : saturation de l’oxygène sanguin, pouls,  densité du pigment maculaire, santé cutanée et hydratation. On peut même analyser l’état de certains nutriments et antioxydants, tandis que le glucose sanguin devient le Saint Graal des grands de l’industrie pharmaceutique. Autre dispositif familier : l’alcootest servant à déterminer le taux d’alcool sanguin. On a trouvé un nouvel usage pour cet appareil de mesure des métabolites dans l’haleine : évaluer la santé métabolique et plus encore, les états maladifs.

L’industrie n’a pas réussi à concevoir un dispositif unique regroupant tous les paramètres ci-dessus et d’autres afin de donner un portrait détaillé de l’état de la santé. Le regroupement de ces paramètres et technologies en un seul appareil de mesure en temps réel de l’état de la nutrition et de la santé serait une innovation prodigieuse en matière de nutrition.

Couplage entre appareillage médical et données d’ordre nutritionnel, médical et métabolomique

La toute dernière innovation nécessaire en nutrition serait le couplage entre les dispositifs médicaux précités et les plus récentes découvertes scientifiques en matière de  nutrition, de médecine et de métabolomique. Les possibilités seraient infinies : un simple appareil médical au bout du doigt prélevant une goutte de sang ou la traversant d’un rayon lumineux, ou encore le fait de souffler dans un tube, et nous voilà avec une vue d’ensemble en temps réel du métabolisme (métabolome). Avec les données recueillies, il serait possible de recommander un nutriment en quantité trop faible dans l’organisme, un aliment à privilégier, ou encore l’exercice. Un tel dispositif assurerait pratiquement en temps réel le fonctionnement le plus efficace possible du métabolisme et de l’état biochimique. La performance sportive et l’état de santé en seraient optimisés. Mieux encore, la durée de vie en santé serait prolongée le plus longtemps possible.

Le couplage entre les découvertes de pointe en nutrition – en particulier dans le domaine de la métabolomique – et un dispositif médical non invasif donnant instantanément une vue d’ensemble de la santé métabolique, et par conséquent de l’état de santé général, constitue l’innovation par excellence en nutrition, celle qui aura un effet important sur la santé humaine.

Conclusion

La période entre 1850 et 1950 environ a marqué un tournant en matière de nutrition. Cette centaine d’années a façonné notre perception actuelle de la nutrition – un apport minimal de nutriments pour traiter les maladies liées à une carence nutritionnelle. Le critère dogmatique de l’apport minimal doit aujourd’hui céder le pas à celui d’un apport nutritionnel optimal favorisant une santé optimale. Pour innover d’une façon valable en matière de nutrition, il faut remettre à l’honneur la recherche fondamentale dans ce domaine et s’y investir, en particulier par l’étude du fonctionnement des nutriments au niveau moléculaire. Une fois mises au point de nouvelles méthodes scientifiques applicables à la nutrition, il faudra que la communauté scientifique les accepte et adopte une approche moins réductrice à l’égard de la recherche en nutrition au profit d’une approche davantage axée sur les systèmes ou l’ingénierie. La recherche devrait se concentrer en grande partie sur la métabolomique, l’approche systémique la plus prometteuse dans le domaine de la nutrition. L’application à la métabolomique de méthodologies novatrices, non réductrices, non ciblées et sans hypothèse de départ, permettra d’innover concrètement en matière de nutrition. Dès que nous arriverons à mieux comprendre les effets directs et indirects des nutriments sur le métabolisme, nous pourrons jumeler ce savoir avec les dispositifs médicaux en usage aujourd’hui, en plus d’en mettre au point de nouveaux. Ainsi, la recherche fondamentale fournira une information utilisable qui permettra au consommateur de poser des gestes conscients susceptibles de prolonger sa durée de vie en santé.

C’est ce que promet l’innovation en matière de nutrition.