On ne mange pas du raisin pour les graines. Pensez à la fréquence à laquelle vous aimez mâcher les grosses graines de raisin (les petites graines molles des raisins « sans pépins » ne comptent pas). Si vous faites cela, dans quelle mesure pensez-vous que les pépins entiers sont absorbés par votre corps de toute façon ? Cela dit, certains des phytonutriments bénéfiques du raisin sont principalement concentrés dans ses pépins. L’extrait de pépins de raisin a été créé pour résoudre ce problème.

Il contient une dose concentrée de précieux phytonutriments, sous une forme beaucoup plus facile à digérer par votre corps. Il est vrai que l’extrait de pépins de raisin ne contient qu’une petite partie des nutriments globaux que l’on trouve dans les raisins entiers. Des composés sains comme les vitamines C et K, le cuivre et divers phytonutriments proviennent de l’ajout de raisins à votre alimentation. Donc, ne vous débarrassez pas des raisins, mais réfléchissez plutôt aux raisons d’adopter l’extrait de pépins de raisin.

L’histoire et les bienfaits des phytonutriments du raisin

Comment l’homme a-t-il découvert les bienfaits des phytonutriments contenus dans les pépins de raisin s’ils ne sont pas habituellement consommés ? La réponse est le vin. Les humains boivent du vin depuis qu’ils cultivent le raisin (plusieurs milliers d’années). Les premiers consommateurs de vin ne le savaient pas, mais le vin contient les phytonutriments que l’on trouve également dans le raisin entier. Ces composés sont incorporés dans le vin pendant le processus de fermentation, c’est-à-dire lorsque les raisins écrasés, les pépins, les tiges, la peau et le jus (appelé moût) sont conservés dans des cuves pendant plusieurs semaines.

Les phytonutriments présents dans le vin, en particulier le vin rouge, et l’extrait de pépins de raisin se sont depuis révélés favorables à la santé cardiovasculaire. Des études sur les bioflavonoïdes du raisin ont montré qu’ils sont des capteurs de radicaux libres qui pourraient être encore plus puissants que les vitamines antioxydantes C et E. Ces composés aident donc efficacement à soutenir l’inhibition de l’oxydation des lipoprotéines de basse densité (LDL) humaines.

Il a également été démontré que l’extrait de pépins de raisin aide à soutenir une réponse inflammatoire normale et saine. De plus, un nombre croissant de recherches suggère qu’il joue un rôle supplémentaire dans l’optimisation de la force capillaire.

Les composés de l’extrait de pépins de raisin

Le raisin contient une grande variété de phytonutriments. Le resvératrol en est un que vous connaissez peut-être. On le trouve principalement dans la peau du raisin. L’extrait de pépins de raisin contient un mélange complexe de deux composés appelés catéchine et épicatéchine.

La catéchine et l’épicatéchine appartiennent à la famille chimique des flavonoïdes. Ils sont ciblés parce qu’ils sont les plus étroitement liés aux avantages globaux de l’extrait de pépins de raisin. Comme la santé cardiovasculaire, le soutien d’une inflammation saine et la neutralisation des radicaux libres.

Les différents extraits de pépins de raisin contiennent des quantités variables de catéchine et d’épicatéchine. La situation est encore compliquée vu que les différents types de raisin et les différentes saisons de croissance entraînent des quantités irrégulières de ces composés bénéfiques. Cette variation peut être minimisée par un processus appelé « normalisation ».

La normalisation consiste à mesurer un extrait (par exemple, CPG/HPLC, test de Bates-Smith) et puis le concentrer pour fixer la quantité de composés cibles. Un extrait de pépins de raisin de haute qualité aura fixé des niveaux minimums de polyphénols catéchine et épicatéchine. Cela garantit que le produit est homogène et offre les mêmes avantages pour la santé d’un lot à l’autre.

Incorporer l’extrait de pépins de raisin dans une alimentation saine

Rien ne remplace une alimentation saine. L’extrait de pépins de raisin ne va pas remplacer les raisins entiers, ni les fruits et légumes que vous devriez déjà manger quotidiennement. Les fruits et légumes entiers contiennent des fibres, des vitamines, des minéraux et d’autres phytonutriments que l’on ne trouve pas dans l’extrait de pépins de raisin. Mais l’extrait de pépins de raisin contient des doses concentrées d’autres phytonutriments qui sont plus difficiles à obtenir par l’alimentation.

L’extrait de pépins de raisin doit être considéré comme un complément à une alimentation saine et non comme un substitut à une alimentation saine. Pour en savoir plus sur les bienfaits de l’extrait de pépins de raisin et son rôle dans un complément, vous pouvez vous renseigner sur Proflavanol® C d’USANA® ici.

*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

Vous connaissez sans doute la molécule la plus abondante dans l’organisme (un indice : l’eau) et vous en connaissez aussi l’importance pour la santé.

Le glutathion arrive tout juste deuxième en importance derrière le H2O dans la liste des molécules de l’organisme. Et dans son cas, le deuxième rang n’est certes pas un classement de perdant. Ce tripeptide – une petite protéine formée de trois acides aminés – est probablement la molécule de l’organisme la plus sous-estimée et mésestimée.

Bon nombre de raisons expliquent l’importance du glutathion pour la santé et vous en connaissez maintenant la première. L’omniprésence de cette protéine reflète son importance. On la trouve dans toutes les cellules de l’organisme. Découvrez ici d’autres raisons de son importance.

Les formes de glutathion et leurs fonctions

Le plus simplement défini, le glutathion est une petite protéine formée de trois acides aminés – la glycine, la cystéine et le glutamate. Présent sous diverses formes, il agit comme une  enzyme au nom très semblable. Pour éviter la confusion, clarifions d’abord la terminologie.

GSH – la forme réduite du glutathion

Voilà ce que veulent dire la plupart des gens quand ils parlent de glutathion. Le plus souvent, GSH et glutathion sont interchangeables.

Le GSH en est une forme réduite puisque c’est un donneur d’électrons. Sans entrer dans les détails de l’aspect chimique de l’oxydo-réduction (redox), une substance qui peut se départir d’un électron pour un diminuer le nombre total est dite réductrice.

On peut en quelque sorte voir le GSH comme la forme active et agissante de la molécule. Il est à l’œuvre dans les cellules, neutralisant les radicaux libres et autres oxydants, tout en maintenant les cellules dans un état réduit. Toutes les réactions biochimiques des cellules exigent cet état réduit qui, s’il disparaît, entraîne la fin de la vie.

Le GSSG et le GR – la régénération du glutathion

Contrairement aux molécules réduites, celles qui sont oxydées réclament un électron.

Après que le GSH ait donné un électron, il s’oxyde, ce qui entraîne la formation de disulfure de glutathion (GSSG). Cette forme oxydée est créée quand deux molécules GSH se lient après avoir cédé chacune un électron. Il s’agit en fait de la liaison des atomes de soufre  de chacune des molécules GHS oxydées.

Les molécules GSH peuvent se remettre en fonction avec l’aide de l’enzyme glutathion réductase (GR), une enzyme qui catalyse une réaction entraînant la régénération de deux molécules de glutathion à l’état réduit.

GS-X – un jeu de « tague » moléculaire

Cet article n’aborde que très brièvement la forme GS-X du glutathion, pourtant si simple à comprendre. Lorsqu’une molécule de glutathion s’attache à une protéine, une toxine ou un autre composé, on parle de forme GS-X du glutathion.

Souhaitons que cette explication réduise en partie la confusion, plutôt que d’en créer davantage. Dans la suite de cet article, le glutathion et le GSH seront utilisés de façon interchangeable. Les autres formes seront identifiées par leur nom ou acronyme, le cas échéant.

Le glutathion comme antioxydant

Un antioxydant est en fait tout ce qui neutralise les oxydants – autre nom souvent utilisé pour désigner les radicaux libres. Les détails de l’activité antioxydante sont complexes, bien qu’ils se résument à la disponibilité et au besoin d’un électron. Les électrons ont un besoin inhérent d’être appariés. Plus une molécule veut se doter de paires d’électrons, plus forte sera sa nature d’oxydant ou d’antioxydant.

Les antioxydants remplissent leur tâche en cédant des électrons à des matériaux oxydés réactifs. Les oxydants sont ainsi stabilisés et l’état oxydatif des cellules s’en trouve réduit. Le glutathion est l’antioxydant hydrosoluble le plus abondant et dominant. C’est un puissant antioxydant endogène, c.-à-d. produit à l’intérieur de l’organisme.

La structure des protéines sert très bien à neutraliser des substances oxydatives dans l’organisme. La clé, c’est de placer l’atome de soufre de la cystéine avec les deux autres acides aminés – la glycine et le glutamate. Ainsi, le glutathion peut très facilement accepter et céder des électrons. On peut parler d’une structure moléculaire qui a « la tête de l’emploi ».

Il existe même un processus – décrit plus haut – qui régénère les molécules de glutathion pour qu’elles continuent à neutraliser les radicaux libres. C’est le « cycle redox » qui explique souvent pourquoi les antioxydants et enzymes endogènes sont plus puissants que les antioxydants alimentaires.

Une ou deux réactions antioxydantes suffisent à consumer les antioxydants de source alimentaire. Par contre, les antioxydants endogènes passent par un cycle d’oxydo-réduction et peuvent ainsi facilement faire des allers-retours entre l’état réduit et l’état oxydé. Ils sont dotés d’un mécanisme précis pour faciliter ce processus (pensons glutathion réductase) et ainsi, ils peuvent se soumettre à des centaines, sinon des milliers, d’autres réactions antioxydantes.

L’efficacité du processus de régénération du glutathion est essentielle à la préservation d’un bon état réduit des cellules. Le rapport entre GSH et GSSG est un important indicateur de l’efficacité du métabolisme et du degré de stress oxydatif cellulaire.

Le glutathion et les processus naturels de détoxication

Le glutathion est présent dans toutes les cellules de l’organisme, mais en concentration de sept à dix fois supérieure dans le foie que partout ailleurs. Ce tripeptide joue en effet un rôle primordial dans les processus de détoxication de phase II dans cet organe.

La détoxication de phase II, c’est le processus de métabolisation de diverses molécules qui doivent être évacuées de la cellule et de l’organisme. L’exemple le plus connu est la liaison par l’organisme du glutathion à ces molécules.

Avec l’aide d’une autre famille d’enzymes (les glutathion-S-transférases), le glutathion peut s’implanter dans des toxines et les signaler comme dangereuses, ce qui contribue à éliminer des substances chimiques qui ne sont pas produites dans l’organisme. Ce sont des substances dites xénobiotiques, parmi lesquelles les médicaments, polluants environnementaux et bon nombre d’autres substances.

Il est impératif que le glutathion s’attache à ces toxines avant qu’elles puissent se lier à des composants cellulaires importants, comme les acides nucléiques. Les glutathion-S-transférases accélèrent cette réaction et le GSH y met fin. En cédant des électrons, le glutathion à l’état réduit neutralise les intrus chargés positivement. Fait à noter, le glutathion excelle dans cette tâche. Dans ce cas – comme dans les autres mentionnés – c’est une protection contre des conséquences indésirables.

Le processus de détoxication n’est toutefois pas achevé. La prochaine étape est la transformation de matériaux auparavant dangereux sous des formes qui pourront être métabolisées ou évacuées.

Le glutathion aide à changer les toxines en acide mercapturique qui peut être expulsé de l’organisme avec l’urine. Tout cela risque de paraître un peu complexe, mais il suffit de se rappeler que le glutathion intervient pour rendre les toxines hydrosolubles et aider ainsi à leur évacuation de l’organisme.

C’est un processus d’une importance qu’on aurait tort de sous-estimer. La voie précise d’élimination faisant appel au glutathion joue d’importants rôles physiologiques dans la détoxication. Sans elle, nous croulerions tout probablement sous les toxines.

La production du glutathion

Comme le glutathion est une protéine, son absorption efficace à partir de l’alimentation est difficile. [https://askthescientists.com/qa/isnt-le glutathion-found-cellulesentials/] À l’instar d’autres protéines, le système digestif décompose le glutathion en ses composants de base – glycine, cystéine et glutamate. Son absorption directe est impossible sous sa forme intégrale.

Alors, comment l’obtenir? Les « antioxydants endogènes » dont nous avons déjà parlé sont un bon indice.

L’organisme le produit. Le GSH est fabriqué exclusivement dans le cytoplasme de la cellule – son compartiment hydrosoluble. Il est ensuite transporté ailleurs dans la cellule et même dans l’ensemble de l’organisme.

Sa production peut être enclenchée de deux façons. La plus simple tient à la présence de la cystéine. On a montré qu’une hausse de cet acide aminé augmentait le taux de glutathion. La cystéine se trouve dans les concentrations les plus faibles des trois éléments nécessaires à la production de GSH. En fait, lorsque la cystéine est présente, la production de GSH peut commencer. C’est ce qui explique que la prise d’un supplément avec  cystéine – ou l’un de ses précurseurs – peut être bénéfique.

La seconde façon est un peu plus complexe. Il s’agit de mettre en fonction des gènes qui fabriquent les deux enzymes qui ont pour tâche de produire le GSH.

Ces gènes qui synthétisent le glutathion font partie de l’appareil de détoxication de phase II présent dans l’organisme. Le production de glutathion est lente en temps normal. Si nous n’en avons pas besoin, notre organisme n’en fabrique pas. Par contre, lorsque les récepteurs cellulaires appropriés perçoivent les toxines, ils signalent aux gènes de mettre le commutateur en fonction pour amorcer le processus de fabrication de GSH. La recherche montre que ces gènes peuvent être mis en fonction par des voies de signalisation cellulaire – la plus importante étant le Nrf2.

D’autres molécules sans toxine peuvent aussi déclencher des senseurs et mettre en marche l’appareil cellulaire, dont bon nombre de nutriments de source végétale. On a montré que l’extrait de brocoli, le chardon-Marie et l’acide lipoïque sont trois nutriments qui stimulent la production de GSH. Ces nutriments stresseurs plus sûrs déclenchent vraisemblablement des voies de signalisation cellulaire similaires afin de hausser le taux de glutathion et de renforcer la protection cellulaire.

En vieillissant, notre organisme ne produit plus autant de GSH et il y a une baisse de cette protéine dans nos tissus. Il devient alors plus difficile pour nos cellules de composer avec les oxydants et les toxines. Que faire pour conserver une bonne quantité de cet important antioxydant?

On trouvera la réponse dans la recherche dont nous avons parlé plus haut : il s’agit de miser sur la capacité qu’a l’acide alpha-lipoïque et d’autres nutriments de déclencher la production de GSH et d’en accroître la quantité. Pour éviter que l’absence de cystéine ne ralentisse cette production, il est aussi essentiel de fournir à l’organisme une quantité suffisante de cet acide aminé. Fait important, ces deux moyens – surtout s’ils sont conjugués – sont ce que la recherche indique comme étant les solutions les plus viables pour conserver un niveau sain de GSH. Il faut avant tout se rappeler que ce niveau sain aide les cellules à demeurer dans un bon état réduit.

Coenzyme Q10 (ubiquinone, ubidecarenone, CoQ10) molecule, chemical structure. Plays an essential role in the production of cellular energy; has antioxidant properties. Chalk on blackboard style illustration.

Votre organisme n’a pas à chercher bien loin pour trouver de la coenzyme Q10, car presque toutes vos cellules en contiennent. Voilà sans doute pourquoi on la classe dans la catégorie des molécules appelées ubiquinones (ubiquité étant synonyme d’omniprésence). Cette distribution très étendue de la coQ10 dans votre organisme en reflète les nombreux bienfaits.

La Q10 est importante pour la préparation des réactions cellulaires (la fonction même d’une coenzyme). Elle aide au processus de production d’énergie servant à la croissance et à l’entretien de l’organisme, tout en agissant comme antioxydant pour vous protéger contre ce même processus auquel elle participe.

Cette production naturelle n’est toutefois pas éternelle. Elle baisse à mesure que l’on vieillit. Par conséquent, la coQ10 est un nutriment essentiel dit conditionnel, car seulement nécessaire en fonction de certains facteurs – en l’occurrence, l’âge.

Il est important de conserver un taux optimal de coenzyme Q10. Voyez comment elle agit, quels en sont les bienfaits pour votre santé et comment votre régime alimentaire vous la procure.

La vitamine Q? Pas vraiment

Ce qui fonctionne et agit comme une vitamine, en plus de lui ressembler, est une vitamine, n’est-ce pas? Mais est-ce bien le cas?

La coQ10 ne rentre pas tout à fait dans ce moule. Une vitamine est un composé que doivent vous procurer votre alimentation ou vos suppléments, parce qu’il vous en faut et que vous n’en produisez pas. La coenzyme Q10 n’est pas une substance tout à fait essentielle puisque votre organisme peut en produire une bonne quantité… du moins pendant une partie de votre vie.

Même si la production naturelle de coenzyme Q10 diminue à mesure que vous prenez de l’âge, vos besoins ne suivent pas cette tendance. La coQ10 demeure donc essentielle sous certaines conditions – surtout pour les personnes plus âgées et celles aux prises avec des problèmes de santé précis. Une substance qui n’est pas une vitamine ne peut pas ressembler davantage à une vitamine.

Bien que la nature de la coQ10 ne la désigne pas entièrement comme vitamine, elle n’en est pas moins importante pour une santé optimale. Découvrons quelques-unes de ses fonctions.

La coenzymeQ10 aime les électrons

Même si son nom le laisse clairement entendre, disons tout d’abord que la  coQ10 agit comme une coenzyme, fonction qu’exercent la plupart des vitamines dans votre organisme. Elle aide à déclencher des réactions dans vos cellules qui sont, à toutes fins pratiques, des poches de réactions chimiques. Tout comme son alter ego la vitamine, la coenzyme Q10 contribue à d’importantes réactions qui aident votre organisme à fonctionner rondement.

Sur le plan de la solubilité, la coenzyme Q10 répond aux mêmes critères que les vitamines A, D, E et K. Les lipides sont nécessaires à l’absorption de tous ces composés par votre organisme, en raison du genre d’appendice sur la partie principale de leur molécule ressemblant lui-même à un lipide. Et c’est l’origine de la désignation « Q 10 » qui reflète la longueur de 10 atomes de carbone de cet appendice chez l’être humain. On parle de coenzyme Q9 pour d’autres mammifères dont l’appendice ne comporte que neuf atomes de carbone.

La Q10 se rapproche davantage de la vitamine K avec laquelle elle partage une structure moléculaire semblable. Remplissant la même fonction élémentaire – faciliter les réactions dites d’oxydo-réduction dans l’organisme – elles donnent et reçoivent toutes deux des électrons.

Production d’énergie cellulaire et coQ10

Mitochondria, a membrane-enclosed cellular organelles, which produce energy, 3D illustration

Vous avez sans doute entendu dire que les mitochondries sont les centrales énergétiques des cellules de l’organisme. Chacune est un site où se forme l’ATP (adénosine triphosphate), le transporteur de l’énergie cellulaire, un processus appelé « chaîne de transport d’électrons ».

Les mitochondries décomposent les liens chimiques des aliments que vous consommez. À mesure que ces liens se brisent, ils libèrent des électrons. Ceux-ci sont capturés ensuite par des molécules spéciales nécessaires à leur circulation dans la chaîne de transport d’électrons, une série de complexes de protéines, dans la membrane mitochondriale. L’énergie des électrons est puisée pendant qu’ils circulent dans la chaîne de transport, tandis que des protons sont retenus pendant le processus pour traverser la membrane mitochondriale.

C’est à ce moment que se forme le gradient de charge ou énergie potentielle qui active l’enzyme producteur de l’ATP. Le gradient de charge se compare à l’eau retenue par un barrage. Dès que l’eau (les protons) franchit le barrage (la membrane mitochondriale), cette énergie potentielle sert à enclencher la conversion de l’ADP (adénosine diphosphate) en ATP, l’énergie cellulaire de votre organisme.

Par simple analogie, disons que l’ATP est l’énergie qu’utilisent vos cellules pour fonctionner, tout comme votre voiture a besoin de carburant pour rouler. Voyez alors la coenzyme Q10 comme la pompe servant à verser l’essence dans le réservoir de la voiture. La coQ10 n’est pas le carburant lui-même, mais elle est très utile en fournissant à vos cellules de l’énergie sous une forme qu’elles peuvent utiliser.

La coQ10 : un antioxydant de qualité

Comme la coenzyme Q10 peut exercer une puissante activité antioxydante, sa nature de molécule omniprésente dans l’organisme est en soi une excellente nouvelle. En fait, on peut dire que toute molécule dont la fonction dans votre organisme est de donner et recevoir des électrons peut aussi agir comme un antioxydant.

La quantité excédentaire de coQ10 – les molécules qui ne participent pas à la production d’énergie – est expédiée dans l’ensemble de l’organisme afin d’assurer une protection antioxydante à diverses membranes.

La coenzyme Q10 agit comme tout autre antioxydant pour lutter contre l’oxydation dans votre organisme. Un peu comme elle le fait en agissant comme transporteur dans le processus de production d’énergie, elle neutralise les radicaux libres en prenant ou donnant des électrons. C’est ainsi qu’elle contribue à équilibrer ces sous-produits très réactifs de différents processus.

Les radicaux libres sont des molécules oxydées dotées d’électrons non appariés. Leur nombre impair d’électrons explique leur instabilité. Sans un antioxydant pour les aider à obtenir un nombre pair d’électrons, ces molécules réactives se développent, accroissant du même coup le stress oxydatif. Tout en s’accumulant ainsi, les radicaux libres réagissent avec d’autres molécules ou structures dans la cellule. Avec le temps, un stress oxydatif non contrôlé endommage les cellules, l’ADN, les protéines et les lipides. Ces dommages oxydatifs sont préjudiciables à votre santé.

La coenzyme Q10 est l’un des antioxydants importants qui contribuent à protéger vos cellules et les structures de votre organisme. Un apport adéquat de coQ10 favorise un bon rapport entre antioxydants et radicaux libres (ces derniers étant malgré tout nécessaires au bon équilibre de votre organisme). Il est d’autant plus important avec l’âge, à l’heure où le stress et les dommages oxydatifs s’accroissent en même temps que diminue la production de coenzyme Q10.

D’autres bienfaits de la coQ10 pour l’organisme

Présente partout dans l’organisme, la Q10 favorise la santé du corps tout entier, le plus souvent comme antioxydant. Sa plus forte concentration se trouve dans vos organes les plus sollicités : le cœur, le foie, les reins et le pancréas, qui ont les plus grands besoins sur le plan du métabolisme et de l’énergie.

Des travaux de recherche laissent entrevoir un lien entre une santé cardiaque optimale et la coenzyme Q10, que l’on utilise avec succès pour aider à préserver la santé du cœur. La coQ10 favorise aussi un bon fonctionnement musculaire, en plus d’être bénéfique pour l’organe le plus volumineux : la peau. Elle joue aussi un rôle dans la croissance et la préservation de cellules saines. Sa capacité à transporter des électrons aide à stimuler la croissance cellulaire et à assurer une quantité suffisante d’énergie.

Comment obtenir un apport accru de coenzymeQ10 dans votre alimentation

Comme nous l’avons déjà indiqué, avec l’âge, l’organisme perd sa capacité de retenir un taux optimal de coQ10. La prise de suppléments et une planification stratégique des repas peut aider à atténuer cette diminution. Voici quelques moyens permettant d’accroître la quantité de coenzyme Q10 dans votre régime alimentaire pour éviter une pénurie :

  • Comme la coQ10 est liposoluble, on en trouve souvent dans les poissons gras d’eaux froides. À votre prochaine visite à la poissonnerie, choisissez un poisson à forte teneur en gras comme le thon, le saumon, le harang ou le maquereau. L’American Heart Association recommande la consommation de 170 gr de poisson gras cuit au moins deux fois par semaine. Ce faisant, vous obtiendrez non seulement une quantité supplémentaire de Q10, mais aussi des acides gras oméga-3 bénéfiques pour le cœur.
  • On pourrait croire à tort que seules les protéines de source marine ont une teneur en coenzyme Q10. Le bœuf et le poulet en contiennent une bonne quantité, bien qu’à portion égale, le bœuf en renferme deux fois plus que le poulet.
  • Diverses noix et graines ont aussi une teneur non négligeable en coenzyme Q10, bien qu’elle ne soit pas comparable celle du du poisson gras et du bœuf. Pensez à prendre des noix comme casse-croûte pendant l’après-midi et agrémentez une salade verte de graines de sésame ou de pistaches pour hausser votre apport de ce nutriment.
  • Les huiles de soja et de canola, parmi d’autres huiles végétales, ont une teneur satisfaisante en Q10. Songez à les utiliser à l’occasion pour donner à votre organisme une quantité supplémentaire de coQ10.

 

L’acide alpha-lipoïque (ALA), aussi appelé acide lipoïque ou tioctique, est un antioxydant similaire à une vitamine. On dit de l’ALA que c’est un « antioxydant universel » en raison de sa caractéristique unique d’être à la fois liposoluble et hydrosoluble.

Autre aspect particulier de l’ALA : sa capacité de régénérer d’autres antioxydants en un état actif, notamment les vitamines C et E, ainsi que la coenzyme Q10. L’acide alpha-lipoïque influe aussi sur la production du glutathion, ce qui favorise chez une personne en santé une détoxication hépatique de phase II.*

À ce jour, aucun apport quotidien de référence n’a été établi pour l’acide alpha-lipoïque. On recommande une dose de maintien de 10 mg à 25 mg par jour, même si des doses quotidiennes pouvant atteindre plusieurs centaines de milligrammes ont été utilisées.

On trouve de l’acide alpha-lipoïque en petite quantité dans la plupart des aliments, car presque tous les organismes, humains compris, en produisent naturellement. Les abats (rognons, cœur et foie), pommes de terre, épinards et brocoli sont les aliments les plus riches en ALA.

Cet antioxydant puissant n’est pas particulièrement abondant même dans les aliments ayant une forte teneur en ALA. L’un des premiers groupes de chercheurs à isoler l’acide alpha-lipoïque a dû utiliser plus de 9 000 kilos de résidus de foie pour produire à peine 30 mg d’acide lipoïque cristallin. Par conséquent, la prise d’un supplément d’acide alpha-lipoïque est certes un choix judicieux.

*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

L’acide folique est une vitamine B hydrosoluble qui joue, en tant que coenzyme, un rôle régulateur du métabolisme et de la division cellulaire. L’acide folique aide à la formation des éléments constitutifs de l’ADN et de l’ARN nécessaires pour la synthèse des protéines dans les cellules humaines. Les tissus à croissance rapide, comme ceux d’un fœtus, et les cellules à régénération rapide, comme les globules rouges et les cellules immunitaires, ont des besoins particulièrement importants en acide folique.

Les besoins en acide folique augmentent pendant la grossesse. Les carences en acide folique sont liées à des problèmes tels qu’un faible poids de naissance et une incidence accrue d’anomalies du tube neural, y compris l’anencéphalie et le spina bifida. Selon une étude, les femmes à haut risque d’avoir un bébé souffrant d’une anomalie du tube neural ont vu une baisse de ce risque allant jusqu’à 72 % en prenant des suppléments (compléments) d’acide folique avant et au cours de la grossesse. Les experts médicaux, d’autres professionnels de la santé et l’association March of Dimes recommandent que toutes les femmes en âge de procréer prennent un supplément (complément) de 400 mcg d’acide folique par jour. Cette supplémentation protègerait contre la formation d’anomalies du tube neural entre le moment de la conception et celui où la grossesse est détectée. Si une femme attend d’être enceinte pour commencer à prendre des suppléments (compléments) d’acide folique, il est probablement trop tard pour prévenir les anomalies du tube neural.

Les carences en acide folique ont aussi été liées à des niveaux élevés d’homocystéine et à un risque accru d’accident vasculaire cérébral, de maladies cardiaques et de dysfonctions cognitives comme la maladie d’Alzheimer. Une carence en acide folique peut aussi entraîner une forme d’anémie (à laquelle on peut remédier par la supplémentation).

Les meilleures sources alimentaires semblent être certains légumes (asperges, brocoli, choux de Bruxelles, légumes secs), les noix (fruits à coque) et les graines.

Dans de rares cas, les produits USANA peuvent causer de la diarrhée ou d’autres malaises gastro-intestinaux (en particulier si vous les prenez en même temps que vous apportez des changements marqués à votre alimentation). Un apport accru de vitamine C, de magnésium ou de fibres est parfois à l’origine de ces  symptômes.

Si vous ressentez un malaise gastro-intestinal léger ou modéré la première fois que vous prenez un produit USANA, nous vous conseillons de cesser de l’utiliser pendant quelques jours jusqu’à ce que les symptômes disparaissent, puis de recommencer à le prendre à dose plus faible. Pendant les quelques semaines suivantes, augmentez la dose graduellement jusqu’à ce qu’elle atteigne celle recommandée sur l’étiquette.

Pour soulager la plupart des malaises gastro-intestinaux, il est conseillé de prendre votre supplément alimentaire avec de la nourriture ou mieux encore, avec un repas complet. Comme la nourriture crée en quelque sorte un effet tampon dans l’estomac, elle peut accroître la capacité de l’organisme à absorber certains nutriments.

De plus, il est très important de conserver une bonne hydratation en buvant 8 à 10 verres d’eau tous les jours. En consommant une bonne quantité de liquide, vous maximisez la capacité de votre organisme à absorber et distribuer les nutriments contenus dans les produits USANA.

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Les bactéries bénéfiques sont d’une importance vitale pour une digestion saine

Les fonctions de l’organisme sont alimentées par la nourriture qu’il ingère. Comme le système digestif est responsable de la dégradation et de l’absorption des nutriments en provenance des aliments et des suppléments consommés, le maintien d’une digestion saine est un facteur important lorsqu’il s’agit d’obtenir les nutriments nécessaires.

Le processus de la digestion se déroule en plusieurs étapes : il commence dans la bouche et se termine par l’élimination des déchets.

Le système gastro-intestinal est au centre du processus. Il abrite des milliers de milliards de bactéries – c’est ce qu’on appelle la flore microbienne. L’organisme et sa flore microbienne se sont adaptés pour former une relation mutuellement bénéfique. Les bactéries prospèrent en se nourrissant des sous-produits de la digestion et elles aident au bon fonctionnement du système digestif. C’est pourquoi dans l’organisme, c’est avant tout dans le microbiome intestinal que se retrouve la plus grande quantité de bactéries.

Vous avez peut-être entendu les termes « microbiome » et « microbiote » en vous demandant quelle était la différence entre les deux. En général, on peut les utiliser de manière interchangeable, mais dans notre blogue Demandez aux scientifiques, nous utilisons « microbiome ». Désormais privilégié au sein du milieu scientifique, ce terme est le plus complet des deux, car d’un point de vue technique, « microbiome » et « microbiote » ont des significations légèrement différentes.

  • Chez l’humain, le microbiote comprend toute la communauté d’espèces de microbes qui se retrouve à un endroit donné de l’organisme : les champignons, les bactéries, les virus, etc. Autrement dit, il existe un microbiote intestinal, un microbiote de la peau, un microbiote des voies urinaires, etc. Les communautés microbiennes de l’organisme sont généralement stables… mais elles sont également variables. Chaque site de l’organisme a une composition différente qui peut fluctuer dans le temps.
  • Le microbiome englobe tous les microbes du microbiote, ainsi que leurs gènes. Le microbiome est vaste : on estime à 3,3 millions le nombre de gènes uniques dans le microbiome intestinal humain seulement. En comparaison, le génome humain tout entier comprend environ 22 000 gènes!

Les bactéries jouent de nombreux rôles dans les processus de digestion et de métabolisation, notamment :

  • Elles soutiennent l’activité des enzymes qui décomposent les gras, les glucides, les protéines, les vitamines, les minéraux et les polyphénols afin de les rendre utilisables par l’organisme.
  • Elles produisent certains nutriments – les bactéries dans l’intestin synthétisent, entre autres, la vitamine K et la biotine.
  • Elles aident l’organisme à éliminer certaines toxines et certains déchets par le passage des selles à travers le côlon.

Il existe des milliers d’espèces de bactéries différentes dans le tube digestif. Elles peuvent être bénéfiques ou potentiellement nuisibles. La clé consiste à maintenir l’équilibre des bonnes bactéries.

Certains facteurs peuvent perturber la stabilité du milieu intestinal, notamment :

  • Le stress occasionnel
  • Une alimentation ou une hydratation déficientes
  • Un repos insuffisant ou des changements dans les habitudes de sommeil
  • Les voyages et l’exposition à de nouveaux microbes

Le processus normal du vieillissement a également un impact sur la stabilité du microbiome intestinal. Les intestins des personnes âgées peuvent connaître des variations causées par des changements à leur état nutritionnel et leur style de vie.

Pour que tout fonctionne bien, il est essentiel de boire de l’eau en abondance, de faire de l’exercice et d’avoir une alimentation adéquate, riche en fibres provenant des fruits, des légumes et des grains entiers. On peut également prendre un supplément probiotique en complément à une alimentation saine, afin de favoriser un sain équilibre *.

Quel est le rôle des suppléments de probiotiques? L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture définit les probiotiques comme des « micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates, exercent une action bénéfique sur la santé de l’hôte ». C’est une manière un peu lourde, mais typique de la part d’une organisation officielle, de dire qu’un supplément de probiotiques aide à faire le plein de bonnes bactéries afin de maintenir la santé*.

Probiotic d’USANA fournit à l’intestin des bactéries probiotiques spécialement choisies pour leurs effets bénéfiques sur la santé abdominale*.

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Équilibrez votre flore bactérienne abdominale grâce à Probiotic d’USANA

Probiotic d’USANA favorise une bonne digestion et soutient l’état de santé général. Il contribue à l’harmonie du tube gastro-intestinal en aidant à établir un meilleur équilibre microbien grâce à une dose supplémentaire de bonnes bactéries*.

On trouve présentement de nombreux suppléments sur le marché. Probiotic d’USANA constitue un excellent choix, principalement pour deux raisons : les souches et les quantités utilisées.

1 – Contient deux souches de bactéries documentées pour coloniser l’intestin et donner des résultats bénéfiques pour la santé.

Chaque sachet tubulaire de Probiotic d’USANA contient un mélange unique à parts égales de chacune des deux souches de bactéries probiotiques les plus étudiées : Bifidobacterium animalis sous-espèce lactis (BB-12MD) et Lactobacillus rhamnosus (LGGMD). Ces bactéries sont semblables aux Bifidobacterium et aux Lactobacillus qui font partie de la flore intestinale naturelle (qui se retrouve principalement dans le côlon). Des dizaines d’études portant sur ces souches ont démontré des bienfaits sur la santé digestive et immunitaire*.

Ces souches sont particulièrement efficaces grâce en partie au fait qu’elles survivent au transit à travers le milieu hostile et acide de l’estomac, pour aller coloniser l’intestin. Il est essentiel que les bactéries soient vivantes à leur arrivée dans l’intestin pour que les probiotiques donnent des résultats. La force des souches est augmentée par une petite quantité de fibre d’inuline dans la formule. L’inuline agit comme un prébiotique, qui nourrit les bonnes bactéries naturelles favorisant ainsi davantage l’établissement des Bifidobacterium dans l’intestin*.

La souche Lactobacillus LGG a été reproduite à partir d’un microbiote intestinal humain. Elle a été découverte par les professeurs Gorbach et Goldin, dont elle porte les noms.

BB-12 est une bactérie produisant de l’acide lactique qui provient de la collecte d’une culture lactique exclusive. Au moment de sa classification, on croyait qu’elle appartenait à l’espèce Bifidobacterium bifidum, à l’origine du BB dans son nom. Bien que sa classification soit maintenant devenue Bifidobacterium animalis sous-espèce lactis, son nom reste le même.

LGG est une marque déposée appartenant à Valio Ltd.

BB-12 est une marque déposée de Chr. Hansen

2 – Fournit une quantité constante de bactéries vivantes pour offrir des bienfaits tangibles – même après 18 mois

Généralement, au moins un milliard d’unités formatrices de colonies de bactéries actives sont nécessaires pour produire des effets probiotiques dans la voie gastro-intestinale, mais la plupart des yogourts ou des autres aliments sur lesquels les gens comptent pour obtenir des bactéries bénéfiques contiennent un nombre non spécifié ou non vérifié de bactéries viables.

Si vous comptez sur les yogourts pour faire le plein de bactéries bénéfiques, cela ne nuira certainement pas à votre santé, mais il se peut qu’ils ne vous aident pas réellement non plus.

Vous saurez maintenant ce que vous consommez grâce à un produit fiable qui fournit des bactéries en quantités réellement bénéfiques pour la santé abdominale. Il est garanti que Probiotic d’USANA contient 12 milliards d’unités formatrices de colonies de bactéries actives, une quantité efficace selon les études cliniques*, au moment de la production.

De plus, même des mois après la fabrication, le taux de 12 milliards d’unités formatrices de colonies reste stable.

Pour certaines souches de bactéries, la stabilité peut être un enjeu, même avec la réfrigération. Leur temps de conservation est donc court. Par contre, le mélange d’USANA est conçu pour demeurer stable à la température ambiante (25 °C) pendant 18 mois. Cette stabilité a été vérifiée lors de tests indépendants et de tests internes. Ces probiotiques se conservent encore plus longtemps s’ils sont entreposés au réfrigérateur (ce qui est conseillé dans les climats chauds ou humides).

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Pour une digestion saine et aisée

Les flatulences occasionnelles, la constipation, les ballonnements et la diarrhée peuvent être embarrassants et incommodants. Il est possible de réduire les risques de malaises physiques en créant un milieu qui favorise une bonne digestion grâce à Probiotic d’USANA (consultez votre médecin si vous avez des troubles digestifs récurrents*).

En maintenant le système digestif en équilibre, Probiotic d’USANA entraîne le mouvement. Il favorise le transit intestinal et aide à l’élimination des déchets de l’organisme par un passage régulier de selles et la normalisation de la consistance des selles. Ce supplément peut également aider à maintenir une digestion saine et aisée en voyage*.

Le stress occasionnel – lié aux voyages, à des horaires irréguliers ou d’autres perturbations du style de vie – peut également avoir des répercussions sur la digestion et entraîner de légers malaises gastro-intestinaux.

Afin d’éviter les effets secondaires indésirables en période de stress, il est judicieux d’inclure la prise d’un supplément comme Probiotic d’USANA dans vos soins personnels. Il a été montré que la prise de vitamines et minéraux, de probiotiques et de suppléments de magnésium pendant un mois aide à réduire les taux de stress psychologique et de fatigue et à améliorer la sensation de mieux‑être. Une étude portant sur les marathoniens a également révélé que la prise de suppléments de probiotiques sur une période de trois mois favorisait le retour à la normale de la fonction gastro-intestinale après la course*.

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Un intestin en santé constitue une barrière efficace

Le maintien d’un intestin sain grâce à Probiotic d’USANA peut également vous aider à demeurer en santé même pendant les périodes de stress. Des résultats de recherches donnent à entendre que les probiotiques, notamment Bifidobacterium BB-12 et Lactobacillus rhamnosus LGG, pourraient jouer un rôle dans le maintien d’une saine fonction immunitaire*.

Les cellules immunitaires sont plus nombreuses dans l’intestin que dans n’importe quelle autre partie de l’organisme. C’est tout à fait logique étant donné qu’une voie gastro-intestinale saine constitue la ligne de défense immunitaire centrale, car elle sert de barrière protectrice*.

Probiotic d’USANA soutient l’immunité par la force du nombre. Les bactéries naturelles tapissent les parois de la voie gastro-intestinale pour aider au soutien d’une barrière efficace et au maintien d’une fonction normale. Probiotic d’USANA renforce cette activité en ajoutant de bonnes bactéries dans l’intestin. Elles sont donc en plus grand nombre pour combler les sites de fixation sur la paroi intestinale, fortifiant ainsi la barrière intestinale et préservant la santé*.

Ingrédients médicinaux

  • Lactobacillus rhamnosus LGG
  • Bifidobacterium BB-12

Voir la liste complète des ingrédients

Mode d’emploi

Pour les adultes : ajoutez le contenu d’un sachet tubulaire à votre nourriture ou boisson froide préférée et consommez immédiatement. Prenez un sachet tubulaire tous les un ou deux jours ou au besoin pour promouvoir une digestion saine*.

Gardez hors de portée des enfants. Consultez votre médecin si vous souffrez d’un trouble auto‑immun, si vous prenez des immunosuppresseurs, si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous prenez un médicament sur ordonnance ou si vous souffrez de troubles médicaux.

Idéal pour

  • Les adultes en santé de tous âges
  • Les athlètes
  • Les personnes en période de stress temporaire
  • Les voyageurs

Probiotic d’USANA : questions fréquemment posées

La manière la plus pratique de prendre Probiotic d’USANA, c’est de le consommer à même le sachet tubulaire. Probiotic d’USANA peut être ajouté à de la nourriture ou des boissons froides. Il n’est pas recommandé de le mélanger à des liquides chauds ou bouillants, car les hautes températures peuvent réduire l’efficacité du produit.

Si vous décidez de mélanger Probiotic d’USANA à de la nourriture ou à une boisson, veuillez consommer le mélange dans un délai raisonnable (moins de 30 minutes), afin d’aider à réduire les pertes de puissance potentielles.

Il arrive souvent que la poudre Probiotic d’USANA change légèrement de couleur (habituellement entre blanc et rose pâle).

Veuillez noter que les variations dans la coloration n’affectent en rien la qualité. Il n’y a aucun lien entre le fait que la poudre prenne une teinte rosée et la viabilité du produit. Les changements de couleur peuvent être causés par des températures ou des taux d’humidité plus élevés, mais il importe de savoir que des changements peuvent se produire même dans des conditions d’entreposage idéales.

Répétons-le, les changements de couleur ne sont aucunement liés à des changements de qualité ou d’efficacité du produit.

Bien que Probiotic d’USANA soit destiné aux adultes en santé, certaines recherches appuient l’utilisation des probiotiques chez les enfants. Nous vous recommandons de consulter le professionnel de la santé de votre enfant afin de déterminer si l’utilisation de Probiotic d’USANA est appropriée.

La prise de Probiotic d’USANA pendant la grossesse ne présente généralement aucun danger et certaines recherches montrent des bienfaits reliés à l’utilisation de probiotiques pour une grossesse saine et pour la santé du nourrisson pendant l’allaitement*. Nous vous recommandons de consulter votre professionnel de la santé.

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*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

Découvrez comment Digestive Enzyme d’USANAMD aide à apaiser l’abdomen

Digestive Enzyme d’USANAMD

Profitez pleinement de vos repas et éliminez les maux d’estomac grâce à un mélange d’enzymes végétales et d’un extrait d’artichaut.

S’il y a certainement une part de vérité dans le fait que manger est l’un des grands bonheurs de la vie, la souffrance peut rapidement prendre le dessus si votre repas se termine sur une sensation d’inconfort. Aidez à assurer votre équilibre abdominal tout en nourrissant votre organisme grâce à Digestive Enzyme d’USANA.*

Prenez le supplément en mangeant pour profiter de la vaste gamme d’enzymes végétales et de l’extrait d’artichaut qui assurent votre bien-être quotidien en vous aidant à :

  • digérer vos repas avec plus d’efficacité afin de favoriser l’absorption des macronutriments (lipides, protéines et glucides)*
  • soulager la sensation de pesanteur, le ballonnement ou d’autres troubles occasionnels associés à la digestion après un repas copieux.*

Pour assurer votre état de santé général et votre niveau d’énergie, vous devez nourrir l’ensemble de vos cellules. Digestive Enzyme d’USANA aide à assurer de façon naturelle une digestion normale afin de vous faire profiter pleinement des nutriments ingérés, en plus de soulager les maux d’estomac occasionnels. Ainsi, vous pourrez éviter plus facilement les effets potentiellement désagréables et gênants des ballonnements ou flatulences et goûter à tous les plaisirs de la vie.*

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Le rôle des enzymes dans la santé

À l’instant même où les yeux, l’odorat et les papilles gustatives entrent en contact avec les aliments, la salive est sécrétée et l’organisme enclenche le processus complexe de digestion. Après la mastication et la déglutition, les aliments s’engagent dans un parcours qui les fait traverser l’estomac et les intestins où ils sont décomposés en de nombreuses substances dont l’organisme a besoin pour soutenir la santé et aider à la réalisation des activités quotidiennes.

Les enzymes digestives, qui participent au processus de digestion, sont des substances qui aident à décomposer et convertir les aliments en composés dont les cellules ont besoin. Tout au long du processus de digestion, l’organisme produit naturellement des enzymes – notamment dans la salive, le pancréas et le foie – qui permettent de décomposer les grandes molécules de lipides, protéines et glucides en de plus petites substances.

Une fonction enzymatique saine permet à l’organisme de digérer efficacement les aliments afin qu’il puisse absorber et utiliser les macronutriments à son avantage. C’est une simple question de bon sens : vous serez mieux à même de profiter pleinement de vos aliments s’ils sont entièrement décomposés.

Avec l’âge et le ralentissement de la production naturelle d’enzymes digestives, vous risquez d’éprouver d’occasionnels légers ballonnements, flatulences ou maux d’estomac après avoir consommé certains aliments ou pris un repas copieux.

Une alimentation variée et saine peut fournir certaines enzymes qui s’ajoutent à celles que votre organisme produit naturellement. Des fruits crus comme la banane, la mangue, la papaye et l’ananas en fournissent, de même que certains aliments fermentés comme le kéfir ou la choucroute. Un supplément à base de plantes peut aussi aider à combler les lacunes enzymatiques de votre alimentation pour mieux soutenir le système digestif.

Pour favoriser une fonction digestive saine, les enzymes digestives de source végétale servent principalement à alléger la charge de vos enzymes pancréatiques et hépatiques en aidant à « prédigérer » les aliments. En conjugaison avec l’acide gastrique, ces enzymes digestives commencent à décomposer les aliments avant qu’ils n’empruntent le chemin de l’intestin grêle où les enzymes pancréatiques prennent la relève. Certaines de ces enzymes végétales peuvent rester actives au-delà de l’estomac afin d’assurer la digestion tout au long du processus.

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Digestive Enzyme d’USANA prête main-forte à l’abdomen

Prenez Digestive Enzyme d’USANA à tous les repas afin de stimuler l’action des enzymes de votre organisme et d’optimiser l’efficacité de votre digestion. Ce mélange d’enzymes naturelles fournit une vaste gamme d’enzymes à base de plantes qui assurent une digestion normale et l’absorption de différents types de macronutriments*:

  • Amylase : décompose l’amidon
  • Bromelaïne : décompose les protéines
  • Cellulase : décompose la cellulose (provient habituellement de substances végétales comme les fruits et légumes)
  • Lactase : décompose le lactose (protéines du lait)
  • Lipase : décompose les lipides
  • Papaïne : décompose les protéines
  • Protéase : décompose les protéines

L’extrait d’artichaut (Cynara scolymus L.) que renferme Digestive Enzyme d’USANA donne le coup de pouce supplémentaire dont votre digestion a besoin pour fonctionner normalement. Il a été montré que le phytonutriment actif des feuilles d’artichaut aide à soulager les troubles digestifs, notamment les maux d’estomac légers, en stimulant la digestion des aliments gras, surtout après un repas copieux.*

Vérification : votre intestin a-t-il besoin de Digestive Enzyme d’USANA?

Votre équilibre enzymatique vous est propre, mais il y a fort à parier que vous savez déjà si votre digestion a besoin d’un soutien quotidien. Votre intestin vous le fera savoir haut et fort s’il souffre d’inconfort après la consommation de lactose, de protéines ou de gras – en fait, tout type de macronutriments – et Digestive Enzyme pourrait bien avoir l’enzyme qu’il lui faut.*

Même si vous éprouvez rarement des gargouillements, vous devriez conserver Digestive Enzyme à portée de main, car vous pourriez avoir besoin d’une assistance enzymatique pour les deux situations suivantes* :

  • Modification du régime alimentaire. Les habitudes alimentaires à long terme peuvent avoir un impact sur le ratio naturel de différentes enzymes pancréatiques. La prise d’un supplément peut donc s’avérer utile si vous modifiez soudainement votre régime alimentaire. Par exemple, si vous consommez beaucoup plus d’aliments à base de plantes et de fibres, les enzymes digestives peuvent aider à soulager les inconforts temporaires qui en résultent. Digestive Enzyme est donc le parfait compagnon au programme Cinq jours pour REPARTIR À ZÉROMC d’USANA, qui fournit plus de fibres que la quantité à laquelle votre système est habitué à recevoir.**
  • Excès alimentaires. Soyons francs : il vous arrive de savoir d’avance que vous allez faire des abus. Et ces excès peuvent rendre la tâche un peu trop difficile pour vos enzymes pancréatiques naturelles. C’est pourquoi un supplément peut leur donner le coup de pouce qu’il leur faut pour réduire les effets secondaires inconfortables liés à la digestion d’une surabondance d’aliments. Vous vous sentirez mieux (et votre abdomen sera moins ballonné) pendant le processus de digestion.

Rappel : Les enzymes constituent une partie seulement du processus digestif. Digestive Enzyme d’USANA favorise une digestion efficace pour assurer le confort de votre abdomen. Les bactéries qui s’y trouvent jouent aussi un rôle dans une digestion saine. Pour un soutien complet du système digestif, pensez à ajouter le supplément USANA Probiotic.*

Principaux ingrédients

  • Mélange d’enzymes naturelles
  • Extrait d’artichaut
  • Ne renferme aucun ingrédient d’origine animale.

Voir la liste complète des ingrédients

Mode d’emploi

Prendre un (1) à trois (3) comprimés par jour en mangeant ou au besoin.

Idéal pour

  • Les adultes de 18 ans ou plus qui ont besoin d’un soutien digestif

Digestive Enzyme : questions fréquemment posées

Digestive Enzyme d’USANA a un arôme naturel de vanille. Cet arôme est aussi utilisé dans quelques autres produits pour masquer le goût désagréable des ingrédients de base. Il ne contient aucun GMS ou d’autres ingrédients préoccupants.

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** Les résultats peuvent varier d’une personne à l’autre. Le programme Cinq jours pour REPARTIR À ZÉRO permet de réduire l’apport calorique quotidien. Il est recommandé d’intégrer l’exercice modéré au programme pour obtenir de meilleurs résultats.

Il est recommandé d’apporter ces produits à votre professionnel en soins de santé et de lui demander conseil dans tous les cas suivants : si vous comptez modifier votre régime alimentaire ou entreprendre un programme d’exercices, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, si vous souffrez d’allergie, prenez des médicaments ou êtes suivi par un professionnel en soins de santé.

Les enfants âgés de moins de 18 ans ne devraient pas participer au programme Cinq jours pour REPARTIR À ZÉRO, sauf sur avis d’un professionnel en soins de santé ou d’ordre diététique.

*Ces allégations n’ont pas été évaluées par la Food and Drug Administration (Fédération américaine des aliments et drogues). Ce produit ne prétend diagnostiquer, soigner, guérir ou prévenir aucune maladie.