On associe souvent les glandes surrénales au stress et avec raison. Si on le fait, c’est à cause de leur rôle dans la sécrétion de l’adrénaline (épinéphrine), l’hormone qui permet à l’organisme de réagir dans une situation de stress. Autrement dit, la réaction de lutte ou de fuite.

Pourtant, ce n’est pas leur rôle principal, car elles s’occupent avant tout de sécréter les hormones essentielles à la vie.

Chacune des glandes surrénales est constituée de deux structures distinctes – la partie extérieure s’appelle le cortex surrénal et la région interne, la médulla surrénale.

Le cortex surrénal sécrète trois types d’hormones essentielles à la vie : les minéralocorticoïdes, qui sont régulés par l’hypothalamus, et les glandes pituitaires dans le cerveau; les glucocorticoïdes qui sont régulés par des signaux provenant des reins; et enfin, certaines hormones sexuelles (la plupart étant produites par les ovaires et les testicules).

Les glucocorticoïdes libérés par le cortex surrénal comprennent :

  • L’hydrocortisone : couramment appelée cortisol, cette hormone régule la façon dont l’organisme convertit les lipides, protéines et glucides en énergie. Elle aide aussi à la régulation de la tension artérielle et du fonctionnement cardiovasculaire.
  • La corticostérone : cette hormone agit avec l’hydrocortisone pour réguler la réponse immunitaire et supprimer les réactions inflammatoires.

Le principal minéralocorticoïde est l’aldostérone qui maintient un équilibre adéquat entre le sel et l’eau, tout en contribuant à contrôler la tension artérielle.

Contrairement au cortex surrénal, la médulla surrénale sécrète des hormones non essentielles à la vie, mais quand même bénéfiques, car elles vous aident à faire face à la fois au stress physique et émotionnel.

La médulla surrénale sécrète les hormones suivantes :

  • L’épinéphrine (adrénaline) : cette hormone répond rapidement au stress en haussant la fréquence cardiaque et en propulsant le sang vers les muscles et le cerveau; elle hausse aussi le taux de sucre sanguin en aidant à convertir le glycogène en glucose dans le foie.
  • La norépinéphrine (noradrénaline) : cette hormone agit avec l’épinéphrine en réponse au stress; elle peut cependant causer de la vasoconstriction (rétrécissement des vaisseaux sanguins), ce qui entraîne l’hypertension artérielle.

Parmi les troubles et maladies des glandes surrénales, la maladie d’Addison (aussi appelée insuffisance surrénale) se développe lorsque le cortex surrénal n’arrive pas à produire une quantité suffisante de cortisol et d’aldostérone. Signalons aussi la maladie de Cushing, qui est causée par une surproduction de l’hormone cortisol, généralement consécutive à une tumeur des glandes surrénales ou de la glande pituitaire.

La fatigue surrénale englobe une série de symptômes non spécifiques, notamment : douleurs physiques, fatigue, nervosité, perturbations du sommeil et troubles digestifs. Bien que l’emploi de l’expression « fatigue surrénale » soit courant, ce syndrome (un ensemble de symptômes) n’est pas un diagnostic médical reconnu. Parmi ses nombreux autres symptômes, signalons ceux qui suivent :

  • Sensation de manque de repos au réveil
  • Incapacité accrue à faire face au stress
  • Cerveau embrouillé ou diminution des facultés cognitives
  • Vertige en se levant d’une position assise ou couchée
  • Faible libido
  • Réponse allergique plus aiguë
  • Hypotension artérielle
  • Hypoglycémie
  • Faiblesse… et plus encore.

Des troubles surrénaux comme la maladie d’Addison et la maladie de Cushing sont des problèmes de santé qui nécessitent un traitement médical ou une thérapie à vie de substitution hormonale (comme pour le diabète de type 1 ou l’hypothyroïdie).

Le meilleur traitement de la « fatigue surrénale » comporte une saine alimentation (les régimes alimentaires à forte teneur glycémique et la surconsommation de stimulants sont souvent problématiques), un sommeil adéquat, une bonne gestion du stress et la prise d’un supplément équilibré de multivitamines et minéraux comportant les constituants et nutriments de base qui soutiennent les fonctions rénales et surrénales normales. Les produits commercialisés en fonction de leur capacité de traitement de la fatigue surrénale sont rarement nécessaires ou bénéfiques, en particulier si on ne prend pas en compte adéquatement les facteurs de style de vie et d’alimentation.

https://www.endocrineweb.com/endocrinology/overview-adrenal-glands

Avant-propos

À plusieurs égards, la nutrition est demeurée un terrain inexploré dans la recherche d’une santé optimale. Abstraction faite de quelques visionnaires, ce n’est que tout récemment que l’intérêt s’est porté sur le rôle de la nutrition dans la performance sportive, le vieillissement en santé, les maladies dégénératives et plus important encore, dans la préservation de la santé le plus longtemps possible. Afin de mieux comprendre, de parfaire et d’améliorer le rôle positif de la nutrition dans une santé optimale, il sera essentiel d’innover dans ce domaine.

L’innovation se fait déjà attendre dans certains secteurs de la nutrition. Avant d’entrer dans le vif du sujet, il serait bon d’avoir un bref aperçu de l’historique de la nutrition afin de mieux cerner l’état de la situation aujourd’hui.

Les micronutriments et macronutriments essentiels

Composés tirés du régime alimentaire ou des suppléments nutritionnels, les nutriments essentiels assurent notre subsistance. Ils sont essentiels, car l’organisme ne peut pas les fabriquer. On les classe en deux grandes catégories : 1) macronutriments essentiels et 2) micronutriments essentiels.

Les macronutriments sont des nutriments dont nous avons besoin en grande quantité (généralement plus d’un gramme). Ce sont les lipides, protéines et glucides, c’est-à-dire les matières premières nécessaires aux cellules qui 1) les utilisent pour former les structures constitutives de l’organisme et 2) les consument pour produire de l’énergie.

Les micronutriments essentiels sont les minéraux et vitamines qu’il faut à l’organisme, mais en plus petite quantité (généralement moins d’un gramme). Certains minéraux requis en bonne quantité, comme le calcium, pourraient se classer parmi les macronutriments. Comme il est impossible de consumer le calcium et d’autres minéraux pour en tirer de l’énergie, la plupart des nutritionnistes les regroupent cependant dans la catégorie des micronutriments. En résumé, les minéraux essentiels sont des substances inorganiques et les vitamines essentielles sont des composés organiques dont l’organisme a besoin comme soutien à la vie.

On sait depuis fort longtemps que l’être humain doit consommer des aliments (les macronutriments) pour assurer sa survie. Dès son origine, la médecine a compris l’importance des minéraux dans la composition des os, sans toutefois arriver à cerner le rôle essentiel des vitamines. Une évaluation rétrospective avec les moyens du 21e siècle ravivera l’intérêt porté à la découverte des vitamines essentielles. De ce point de vue historique, ce sont surtout les vitamines qui retiennent notre attention.

La découverte des vitamines essentielles

C’est aux premiers explorateurs marins que nous sommes redevables de la découverte des vitamines, même s’ils n’en étaient pas conscients à l’époque. Pendant leurs longues expéditions, ils consommaient presque exclusivement des aliments déshydratés et du poisson, mangeant peu ou pas de fruits et légumes. Avec ce régime alimentaire, les marins risquaient de souffrir de carence en vitamine C et de scorbut. Les symptômes graves du scorbut (faiblesse générale, perte de dents, caillots sanguins, contusions multiples, etc.) apparaissaient entre 10 à 12 semaines après le départ du navire. C’était le premier trouble lié à une carence nutritionnelle qui ait jamais été observé et documenté. En revanche, on constatait qu’aussitôt à terre, les marins qui consommaient des « fruits acides » voyaient leurs symptômes disparaître en l’espace d’une à deux semaines à peine. La marine britannique fut la première à réagir et à intégrer les jus d’agrumes (surtout de citron et de lime) aux rations quotidiennes de ses équipages – traitant ainsi la maladie chez les marins sans toutefois la guérir. Ce n’est qu’au début des années 1930 qu’on allait connaître le facteur précis et les composés à l’œuvre dans l’amélioration de l’état de santé des personnes atteintes de scorbut, avec la découverte de la vitamine C par un chercheur hongrois du nom d’Albert Szent-Györgyi, des centaines d’années plus tard.

Cette évaluation à posteriori  rendue possible par la science et la médecine d’aujourd’hui met en évidence la préoccupation qu’était le scorbut pour ces chercheurs de la première heure. La vitamine C est très hydrosoluble et comme l’humain est l’un des rares animaux qui ne la synthétise pas, il lui en faut un apport relativement élevé. De plus, comme il la recycle très médiocrement, la vitamine C est l’un des premiers nutriments à s’appauvrir dans l’organisme. Le scorbut a été l’une des premières maladies liées à une carence en nutriments dont les symptômes aient été manifestes.

Dans les années 1800, pendant que les Européens colonisaient l’Asie, les Caraïbes et les îles du Pacifique, bon nombre d’autres maladies liées à une carence en nutriments ont fait leur apparition. C’est la mise en commun des observations de divers médecins européens qui mettra en lumière le rôle de la nutrition dans la prévention des carences nutritionnelles. En fait, les marins, soldats, prisonniers et même les animaux de ferme soumis à un régime alimentaire homogène, restrictif ou limité couraient tous un risque de « maladie ». Il demeurait toutefois difficile de cerner la cause de ces maladies. L’époque a aussi influé sur la découverte des vitamines essentielles. La recherche sur les maladies liées à une carence nutritionnelle s’effectuait au moment même de la «révolution pasteurienne » où prédominait la théorie microbienne attribuant à des organismes microscopiques la cause de toutes les maladies. Les chercheurs menaient donc des expériences qui se révélaient souvent infructueuses.

C’est en 1890 qu’un médecin néerlandais a observé l’apparition d’un trouble neurologique appelé « béribéri » chez des poulets, selon qu’ils étaient nourris de riz blanc ou de riz complet. Cette découverte a permis de renforcer la notion voulant que les « composants des aliments » pouvaient être source de santé ou de maladie. Ainsi s’amorce au début des années 1900 une révolution scientifique qui se poursuivra jusqu’en 1941, au moment où allait être décrit l’acide folique, la plus récente vitamine essentielle qu’on ait découverte.

L’établissement de lignes directrices en matière d’alimentation

Tandis que la guerre et la dépression économique entraînaient le rationnement et la famine partout dans le monde au cours de la Deuxième Guerre mondiale, les États-Unis décidaient d’établir des lignes directrices en matière de nutrition. C’est sans aucun doute pour renforcer l’effort de guerre que la United States National Defense Advisory Commission a confié le mandat à la United States National Academy of Sciences d’établir le United States National Research Council, chargé d’étudier le rôle de la nutrition à l’égard de la défense nationale. L’objectif consistait à préserver la santé des combattants et de la population civile, tout en orientant les secours outre-mer. Les premiers apports quotidiens recommandés (AQR) allaient être appliqués en 1941. Bien que ces lignes directrices alimentaires aient d’abord été établies par les États-Unis, de nombreux pays les ont adoptées d’emblée ou en ont fait leur propre version. L’AQR ou la nouvelle norme élargie de l’apport nutritionnel de référence (ANREF) sont mis à jour en moyenne tous les cinq à dix ans. Depuis leur entrée en vigueur, ces recommandations n’ont toutefois été mises à jour qu’à quelques reprises, ce qui nous amène à la situation d’aujourd’hui.

La réglementation gouvernementale : la prévention des troubles de carence nutritionnelle comparativement à une santé optimale

La découverte des vitamines essentielles et l’établissement des lignes directrices gouvernementales avaient comme dénominateur commun de « prévenir les maladies liées à une carence nutritionnelle et les complications causées par la malnutrition ». Conséquemment, la réglementation, les directives et les recommandations gouvernementales n’ont jamais envisagé des apports visant une « santé optimale». Pour que les organismes de réglementation fassent la transition entre l’apport nutritionnel minimal recommandé pour éviter les maladies liées à une carence nutritionnelle à un apport nutritionnel optimal favorisant la santé, des investissements importants et des approches expérimentales novatrices nécessaires. Pour que toute cette science profite au grand public, il faudra des recommandations nutritionnelles accessibles, compréhensibles, simples et, en un mot, personnalisées. Il est impensable de faire converger des objectifs apparemment si différents sans innover en matière de nutrition.

L’innovation appliquée à la nutrition

Un recherche intensifiée dans le domaine de la nutrition

Des réactions biochimiques internes permettent à l’organisme et aux cellules de fonctionner. Pour que ces réactions se produisent avec efficacité et d’une façon optimale, un certain nombre de nutriments et de cofacteurs sont nécessaires – en concentration adéquate, selon un juste équilibre et selon la forme appropriée. Jusqu’ici, le manque flagrant de recherche fondamentale en nutrition n’a pas permis de déterminer avec exactitude la « quantité optimale » quotidienne de nutriments que chacun devrait consommer. Par exemple, quelle serait l’apport optimisé permettant de maximiser la performance sportive et de vieillir en santé? Plus important encore, quelle quantité de nutriments chacun doit-il consommer chaque jour pour conserver sa santé le plus longtemps possible – autrement dit, pour prolonger sa « durée de vie en santé »?

Cette lacune dans la documentation scientifique est sans doute attribuable à deux facteurs importants. Il y a d’abord une insuffisance générale de financement dans le secteur de la nutrition, tant de la part des organismes gouvernementaux que du secteur privé. Des causes multifactorielles complexes expliquent sans doute le manque d’empressement des principaux organismes gouvernementaux à investir, mais quoi qu’il en soit, ils sont peu enclins à financer les études en nutrition comparativement à d’autres champs de recherche. Le coût très élevé des études cliniques à grande échelle et à long terme portant sur des sujets humains pèse lourd du côté du secteur privé.  À coup de millions de dollars par année, et ce, pendant 5, 10, 15, 20 ans et même plus dans certains cas, le financement des études cliniques devient prohibitif, même pour les entreprises les plus florissantes qui doivent les financer à même leurs revenus.

Ensuite, de nombreux scientifiques ont récemment remis en question le bien-fondé du modèle traditionnel de recherche scientifique de l’« essai randomisé avec groupe placebo » pour mener des études cliniques en nutrition. Ce type d’essai est valable dans l’industrie scientifique où les expériences sont menées sur des molécules qui ne se trouvent pas naturellement dans l’organisme. Comme de nombreux gouvernements interdisent de breveter des composés naturels, le secteur pharmaceutique doit mettre au point des molécules synthétiques pour que ses investissements dans la recherche soient protégés par des brevets. Par conséquent, les modes d’expérimentation dans ce secteur sont plus simples et permettent d’établir plus facilement un lien direct de cause à effet. Un nouveau médicament potentiel se trouve ou non chez l’humain ou encore, produit ou non un effet. En raison du caractère binaire de cette méthode, les études dans le secteur pharmaceutique sont plus économiques et il est plus facile d’en tirer des conclusions directes.

Il en va tout autrement dans le domaine de la nutrition. Lorsque des études cliniques similaires sont menées chez des humains, leur organisme comporte déjà une quantité de référence de nutriments à cause de leur consommation d’aliments. En fonction du régime alimentaire de chacun, ce facteur devient plus complexe, puisque chez certains, la quantité de nutriments précis est relativement élevée, tandis qu’elle est faible chez d’autres. Ce facteur n’est pourtant presque jamais pris en compte dans la conception d’études nutritionnelles, ce qui rend les modes d’expérimentation beaucoup moins simples. Ces quantités de référence divergentes accroissent le risque d’erreur pendant l’expérimentation. Plus le risque d’erreur est élevé, plus il devient difficile d’établir un lien direct de cause à effet entre l’intervention nutritionnelle et un effet précis sur la santé. Sans un concept d’expérimentation approprié, un nombre prodigieux de sujets d’étude et des analyses statistiques adéquates, cette différence marquée entre la recherche à caractère pharmaceutique et celle d’ordre nutritionnel explique souvent les résultats équivoques publiés dans la documentation scientifique.

Comme les nutriments ne fonctionnent pas isolément dans une voie biochimique ou métabolique désignée, la conception des études et l’interprétation des résultats en sont d’autant plus complexes. Dans toute voie métabolique à l’intérieur des cellules, un certain nombre de nutriments et cofacteurs facilitent les réactions biochimiques et métaboliques. Au mieux, on peut seulement espérer mesurer une amélioration de la santé en évaluant un nutriment donné dans un contexte où tous les autres sont requis dans une voie métabolique. En science biochimique et métabolique de la nutrition, une pratique exemplaire serait l’administration expérimentale de tous les nutriments dans une voie biochimique-métabolique donnée où un effet précis sur la santé est souhaité. Cette pratique va malheureusement à l’encontre de la « méthode scientifique » séculaire enseignée aux scientifiques.

Avec la méthode scientifique, une seule variable relative au groupe témoin ou placebo peut être changée. En pratique, cette approche ne fonctionne tout simplement pas pour les études portant sur la nutrition par rapport à la santé et la maladie. La pratique expérimentale en biochimie et métabolisme nutritionnels exigent l’administration de tous les nutriments connus dans une voie donnée pour espérer obtenir une amélioration de la santé. En plus d’être contraire à la méthode scientifique, cette pratique affaiblit l’interprétation de cause à effet des résultats et bon nombre de scientifiques dans ce champ d’étude en sont conscients. Règle générale, lorsque vient le temps de soumettre au gouvernement une demande de financement de travaux de recherche, toute conception expérimentale hors du cadre de la méthode scientifique est jugée médiocre et les fonds sont souvent refusés.

En résumé, pour permettre d’innover en matière de nutrition, une renaissance de la recherche fondamentale dans ce champ d’étude s’impose. À cette fin, il faut infléchir la conception dogmatique traditionnelle de l’expérimentation nutritionnelle. Il faut aussi établir de nouveaux paradigmes d’étude pour répondre aux questions que soulève la recherche en nutrition; c’est ce que s’appliquent à faire des scientifiques visionnaires dans le domaine de la biochimie et du métabolisme nutritionnels : découvrir des méthodologies hors du cadre de la méthode scientifique traditionnelle qui répondront aux questions soulevées par la recherche en nutrition. Ces scientifiques adoptent à l’égard de la science de la nutrition une approche non ciblée et sans hypothèse de départ. Il s’agit de procéder à diverses interventions nutritionnelles relativement à un groupe témoin, de mesurer les résultats d’ordre biochimique et métabolique, puis de reformuler les données en fonction des principes biochimiques et métaboliques connus. Bien que cette approche soit onéreuse et compliquée, en plus de nécessiter beaucoup de temps, elle permet aux scientifiques d’établir des liens étroits entre de multiples interventions nutritionnelles et leurs effets sur les voies biochimiques et métaboliques. En d’autres mots, ces chercheurs laissent les données obtenues établir les faits au lieu d’interpréter ces données en fonction d’hypothèses préconçues ou biaisées en raison d’une conception expérimentale déficiente. C’est vraisemblablement l’approche que devront adopter désormais les scientifiques dans le domaine de la nutrition.

En bout de ligne, l’innovation en science de la nutrition suppose un financement accru de la recherche, une remise à l’honneur de la recherche fondamentale en nutrition et des conceptions expérimentales améliorées et novatrices.

Nutriments et cofacteurs essentiels « dans certains cas » et non essentiels

Il est clair que pour survivre en santé, il nous faut des nutriments essentiels. Il y a aujourd’hui un intérêt croissant pour un aspect précis de la nutrition : les nutriments dits « essentiels à certaines conditions ».  Comme nous l’avons déjà vu, la découverte de la dernière vitamine essentielle (l’acide folique) remonte à 1941. Il y a bien eu quelques candidats potentiels au titre de nutriments essentiels encore méconnus, comme la pyrroloquinoline quinone (PQQ), l’ergothionéine et d’autres, mais la découverte d’une autre vitamine absolument essentielle est très peu probable. Cependant, une recherche intensifiée en nutrition pourrait vraisemblablement donner lieu à la caractérisation d’un nombre croissant de nutriments et cofacteurs essentiels comme « essentiels à certaines conditions », y compris des vitamines et minéraux essentiels.

Qu’en est-il de ces nutriments et cofacteurs « essentiels à certaines conditions »? Ils n’ont aucun lien direct avec des maladies liées à une carence nutritionnelle, contrairement à des nutriments essentiels directement liés à de telles maladies. Il s’agit ici de carences subcliniques sans symptômes visibles, mais dans lesquelles le métabolisme et le fonctionnement cellulaire sont compromis.

À divers stades de la vie, un nutriment ou cofacteur peut devenir essentiel à certaines conditions. Par exemple, on sait qu’en vieillissant, l’organisme absorbe moins bien les minéraux et certaines vitamines. On a aussi montré une baisse avec l’âge de la quantité de certains nutriments et cofacteurs non essentiels, comme l’acide lipoïque et la carnitine. Nous savons que pour maximiser la capacité de transport de l’oxygène et endurer le stress accru causé par les activités sportives et les soins aux enfants, le besoin en fer et autres nutriments tend à augmenter chez bon nombre d’athlètes et de femmes en âge de procréer. Nous savons aussi qu’à la suite d’une blessure grave, le taux de vitamine D s’affaisse. Autre fait connu, la plus grande partie de la masse osseuse  pour toute la durée de vie se forme avant l’âge de 20 ans et conséquemment, le besoin en minéraux – kilo pour kilo – est plus important chez l’enfant que chez l’adulte.

En matière de nutrition, il importe de mieux comprendre ces nutriments et cofacteurs non « essentiels » au sens strict du mot, mais susceptibles de contribuer à un fonctionnement subclinique et compromis des cellules, tissus ou organes. Il serait bon par ailleurs de décrire les nutriments et cofacteurs « essentiels à certaines conditions » susceptibles d’apporter d’autres bienfaits pour la santé grâce à une consommation accrue de suppléments. Une recherche plus poussée pour caractériser ces nutriments et cofacteurs « essentiels à certaines conditions » dans le but de mieux déterminer les apports nécessaires à des stades précis de la vie, constituerait une innovation importante dans le domaine de la nutrition.

La nutrition personnalisée

Selon les hypothèses de certains biologistes théoriciens, la probabilité qu’un être humain soit identique à un autre, à un moment précis et dans des circonstances données, est d’environ 1 : 400,000,000,000 (une sur 400 000 milliards). Ainsi, s’il existait  400 000 milliards d’habitants sur la planète, il pourrait y avoir un être humain en tous points identique à un autre. Comme la population de la Terre est de seulement sept milliards d’habitants, il est fortement improbable que deux personnes soient absolument identiques. Conséquemment, on peut aisément en déduire que chacun a des besoins nutritionnels qui lui sont propres.

D’un point de vue historique, les organismes gouvernementaux n’ont fait aucun cas de cette nuance. De nombreux organismes de réglementation ont émis des recommandations qui déterminent les besoins nutritionnels en fonction de vastes groupes de la population. On n’a tenu compte que tout récemment des besoins nutritionnels en fonction des « stades de la vie » : par exemple, l’âge, le tabagisme, la grossesse ou l’allaitement.

Pour que l’innovation en nutrition soit utile, il faut avant tout connaître les besoins nutritionnels de plus petites populations mieux définies – et en bout de ligne, ceux propres à chacun – afin d’accroître l’efficacité de la nutrition dans la promotion d’une santé optimale.

Ciblage cellulaire et moléculaire des nutriments

On sait depuis longtemps  que les cellules sont dotées d’un réseau de communication étendu : les voies de signalisation cellulaire. Celles-ci permettent aux cellules d’informer les autres – qu’elles soient voisines ou très éloignées – de ce qui se produit dans une cellule.

Ces voies de signalisation cellulaire ont pour unique tâche d’aider une cellule, un tissu ou un organe à s’adapter à son environnement et à y répondre. Comment? À l’aide de « capteurs moléculaires » (généralement des protéines) vivant à la fois à la surface et à l’intérieur de toutes les cellules. À l’instar d’une clé et d’une serrure, lorsque la bonne molécule (la clé) atteint le capteur approprié (la serrure), une voie de signalisation cellulaire s’ouvre et la communication débute. C’est un peu comme des dominos qui tombent à la chaîne. Un fois à l’œuvre, la voie de signalisation cellulaire produira un effet physiologique sur une cellule, un tissu ou un organe, ou peut-être même sur l’ensemble de l’organisme – soit en déclenchant des processus biologiques, soit en y mettant fin.

Certains nutriments agissent au niveau moléculaire afin de cibler des voies de signalisation cellulaire et procurer ainsi un bienfait pour la santé. Par exemple, les composés présents dans le chocolat noir et les pépins de raisin peuvent favoriser la santé cardiovasculaire. La caféine peut imiter l’adrénaline et renforcer la fonction cognitive en plus d’améliorer la performance sportive. On a montré que certains nutriments tirés des plantes (les phytonutriments) activent les processus naturels de détoxication de l’organisme, tandis que d’autres agissent comme des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). À cause de ces nutriments qui s’appliquent au niveau de la molécule à activer des voies de signalisation cellulaire, les scientifiques en nutrition misent maintenant sur le ciblage moléculaire de composés naturels à l’intérieur de la cellule pour produire des effets physiologiques précis, sains et efficaces.

Nous commençons à peine à découvrir quels nutriments – et à quel dose –  ciblent des voies de signalisation cellulaire précises afin d’apporter des bienfaits pour la santé, mais ce savoir préliminaire ouvre déjà la porte à l’innovation.

Une révolution en nutrition : le suffixe « omique »

Génomique (étude de l’ADN), protéomique (étude des protéines et enzymes), microbiomique (étude des microorganismes internes et externes) et métabolomique (étude du métabolisme). On doit au suffixe « omique » attaché aux noms de sous-domaines de la biologie une révolution très tendance en science, surtout en biologie.

La tendance aux champs d’étude « omiques » découle d’une notion en biologie appelée « biologie des systèmes » ou comment chacun des systèmes de l’organisme fonctionne pour faire de l’être vivant ce qu’il est. Cette compréhension de la biologie relève plus de l’informatique et de l’ingénierie, allant de l’étude du contenu de l’ADN et de ce qu’il explique d’une propension à un état de santé donné (génomique), à la transformation par les cellules d’un message de l’ADN en dispositif protéinique cellulaire (protéomique) et à l’interaction avec l’environnement ainsi qu’aux effets sur la physiologie humaine des microorganismes mutuels vivant à l’intérieur et à l’extérieur de l’être humain (microbiomique).

La biologie des systèmes promettait d’approfondir leur influence réciproque complexe afin de favoriser une meilleure compréhension de la complexité biologique. Ce champ d’étude n’a pas entièrement tenu sa promesse d’une approche moins réductive à l’égard de la biologie. En fait, comme de nombreux systèmes sont à l’œuvre dans la cellule, l’étude d’un système particulier (génomique, protéomique, microbiomique, etc.) ne donne aucune vue d’ensemble et n’explique pas davantage l’influence réciproque de ces systèmes. À partir de l’affirmation voulant que l’être humain ne soit rien d’autre sur le plan biologique qu’un contenant de réactions biochimiques lui conférant sa nature propre, une « approche systémique » promet enfin d’apporter un savoir utile susceptible de favoriser l’innovation en matière de nutrition : la métabolomique.

La promesse de la métabolomique

Comme nous l’expliquons plus haut, la métabolomique est l’étude de la biochimie de l’organisme tout entier. La métabolomique est prometteuse en ce qu’elle tient compte de plusieurs systèmes, sinon de tous, à l’œuvre dans la biologie des systèmes. D’une façon hiérarchisée, la métabolomique est le seul champ d’étude qui peut prendre en compte simultanément toutes les variables potentielles, indépendamment de l’ADN hérité des parents, de la transformation efficace de cet ADN en dispositif protéinique utile pour les cellules, des effets du microbiome sur la physiologie humaine ou des facteurs encore méconnus, comme l’absorption efficace des nutriments, le style de vie et l’environnement. Tous ces facteurs ont un effet direct ou indirect sur les réactions biochimiques cellulaires et la métabolomique les prend en compte.

La métabolomique est aussi prometteuse en raison de la connaissance de la biochimie cellulaire humaine datant d’un certain nombre d’années. À toutes fins utiles, la cartographie de toutes les voies métaboliques de l’organisme est complète, autant celle des voies et facteurs les plus importants que celle des plus petits et des « métabolites ». Une biochimie cellulaire aussi bien définie englobant les réactifs biochimiques, les intermédiaires métaboliques et l’ensemble des enzymes, cofacteurs, vitamines, minéraux, etc. nécessaires pour orienter cette biochimie, permet de savoir si le métabolisme fonctionne d’une façon optimale ou s’il est perturbé. Avec les milliers de milliards de réactions chimiques qui se produisent à tout moment dans l’organisme, nous obtenons un compte rendu à la seconde près du fonctionnement du métabolisme.

Cela étant dit, ce qui rend la métabolomique si prometteuse, c’est aussi ce qui en freine le progrès. En raison de sa complexité inhérente, de nombreux chercheurs hésitent à s’y consacrer. Pour avoir une vue d’ensemble complète et exacte du « métabolome » (ce qui constitue le métabolisme), il faudrait mesurer des centaines de milliers de métabolites simultanément, le plus souvent possible et selon de multiples scénarios. Évidemment, la complexité devient très rapidement exponentielle.

Par contre, la technologie dans ce domaine progresse à grands pas. Il est maintenant possible de mesurer de façon expérimentale des dizaines de milliers de métabolites, un nombre qui augmente presque au quotidien. À cet égard, seule la recherche métabolomique fondamentale demeure complexe. Dès qu’un portrait exact du métabolome à partir de divers scénarios de style de vie serait dressé, il serait possible d’utiliser quelques métabolites clés pour connaître le fonctionnement exact des cellules. En appliquant ce savoir à la nutrition, on pourrait déterminer avec exactitude ce que l’organisme doit ingérer pour optimiser le plus possible le fonctionnement des cellules. Quoi manger? Des glucides? Des protéines? Des lipides? À quel moment? Ai-je une carence nutritionnelle? Quels nutriments me faut-il? Quand et en quelle quantité? La métabolomique est prometteuse en raison de sa granularité, de sa spécificité et de ses résultats en temps réel.

Dans l’exemple du scorbut, (une maladie liée à une carence en vitamine C), il y a perte de dents, contusions répétées et décès généralement causé par un incident cardiovasculaire (anévrisme ou crise cardiaque). La vitamine C est essentielle à la synthèse du collagène – la « colle moléculaire » qui retient ensemble les cellules et les vaisseaux sanguins. Dans cet exemple, si la métabolomique permettait d’identifier le moment où sont compromis la synthèse du collagène ou tout autre métabolite sans lien apparent jusqu’ici et peut-être même sans aucun lien, il serait possible d’intervenir et de recommander le prise de vitamine C pour remettre en état cette voie métabolique. Il serait possible d’identifier ce préjudice métabolique bien avant l’apparition de symptômes cliniques ou d’effets négatifs de séquelles subcliniques sur la cellule. De façon similaire, il serait possible d’optimiser la production d’énergie, la synthèse musculaire, le fonctionnement cérébral et d’autres marqueurs de la maladie ou de la santé. Bref, la métabolomique permettrait l’optimisation de tout processus métabolique.

Une meilleure compréhension des fondements de la métabolomique et l’identification des métabolites clés à utiliser comme marqueurs d’un état nutritionnel optimal et de la santé constituent l’avant-dernière innovation souhaitable en matière de nutrition.

Appareils médicaux, moniteurs d’activité physique, alcootests et scanneurs optiques

Bon nombre d’appareils sur le marché permettent au consommateur de mesurer certains paramètres importants de la santé. Parmi les appareils médicaux déjà disponibles, on trouve des instruments qui mesurent certains de ces paramètres : tension artérielle, vitesse des ondes pulsatiles (pouls), poids, composition de l’organisme, taux de lipides sanguins, cholestérol, protéine C-réactive, température corporelle et glucose sanguin, pour n’en nommer que ceux-là.

En raison de son immense popularité, le moniteur d’activité physique représente aujourd’hui une industrie mondiale multimilliardaire. De toute évidence, il existe une demande pour des dispositifs capables de fournir des mesures de la santé en temps réel.  Les moniteurs les plus populaires affichent le nombre de pas, la distance, l’efficacité des mouvements de natation, la cadence et la force du coup de pédale, le rythme cardiaque, le nombre de calories éliminées et la qualité du sommeil.

Au cours des dernières années, on a pu assister à une renaissance de technologies non invasives utilisant des longueurs d’onde lumineuses précises pour examiner sans effraction du tissu humain certains paramètres de la santé : saturation de l’oxygène sanguin, pouls,  densité du pigment maculaire, santé cutanée et hydratation. On peut même analyser l’état de certains nutriments et antioxydants, tandis que le glucose sanguin devient le Saint Graal des grands de l’industrie pharmaceutique. Autre dispositif familier : l’alcootest servant à déterminer le taux d’alcool sanguin. On a trouvé un nouvel usage pour cet appareil de mesure des métabolites dans l’haleine : évaluer la santé métabolique et plus encore, les états maladifs.

L’industrie n’a pas réussi à concevoir un dispositif unique regroupant tous les paramètres ci-dessus et d’autres afin de donner un portrait détaillé de l’état de la santé. Le regroupement de ces paramètres et technologies en un seul appareil de mesure en temps réel de l’état de la nutrition et de la santé serait une innovation prodigieuse en matière de nutrition.

Couplage entre appareillage médical et données d’ordre nutritionnel, médical et métabolomique

La toute dernière innovation nécessaire en nutrition serait le couplage entre les dispositifs médicaux précités et les plus récentes découvertes scientifiques en matière de  nutrition, de médecine et de métabolomique. Les possibilités seraient infinies : un simple appareil médical au bout du doigt prélevant une goutte de sang ou la traversant d’un rayon lumineux, ou encore le fait de souffler dans un tube, et nous voilà avec une vue d’ensemble en temps réel du métabolisme (métabolome). Avec les données recueillies, il serait possible de recommander un nutriment en quantité trop faible dans l’organisme, un aliment à privilégier, ou encore l’exercice. Un tel dispositif assurerait pratiquement en temps réel le fonctionnement le plus efficace possible du métabolisme et de l’état biochimique. La performance sportive et l’état de santé en seraient optimisés. Mieux encore, la durée de vie en santé serait prolongée le plus longtemps possible.

Le couplage entre les découvertes de pointe en nutrition – en particulier dans le domaine de la métabolomique – et un dispositif médical non invasif donnant instantanément une vue d’ensemble de la santé métabolique, et par conséquent de l’état de santé général, constitue l’innovation par excellence en nutrition, celle qui aura un effet important sur la santé humaine.

Conclusion

La période entre 1850 et 1950 environ a marqué un tournant en matière de nutrition. Cette centaine d’années a façonné notre perception actuelle de la nutrition – un apport minimal de nutriments pour traiter les maladies liées à une carence nutritionnelle. Le critère dogmatique de l’apport minimal doit aujourd’hui céder le pas à celui d’un apport nutritionnel optimal favorisant une santé optimale. Pour innover d’une façon valable en matière de nutrition, il faut remettre à l’honneur la recherche fondamentale dans ce domaine et s’y investir, en particulier par l’étude du fonctionnement des nutriments au niveau moléculaire. Une fois mises au point de nouvelles méthodes scientifiques applicables à la nutrition, il faudra que la communauté scientifique les accepte et adopte une approche moins réductrice à l’égard de la recherche en nutrition au profit d’une approche davantage axée sur les systèmes ou l’ingénierie. La recherche devrait se concentrer en grande partie sur la métabolomique, l’approche systémique la plus prometteuse dans le domaine de la nutrition. L’application à la métabolomique de méthodologies novatrices, non réductrices, non ciblées et sans hypothèse de départ, permettra d’innover concrètement en matière de nutrition. Dès que nous arriverons à mieux comprendre les effets directs et indirects des nutriments sur le métabolisme, nous pourrons jumeler ce savoir avec les dispositifs médicaux en usage aujourd’hui, en plus d’en mettre au point de nouveaux. Ainsi, la recherche fondamentale fournira une information utilisable qui permettra au consommateur de poser des gestes conscients susceptibles de prolonger sa durée de vie en santé.

C’est ce que promet l’innovation en matière de nutrition.

Avec Pure RestMC d’USANAMD, profitez d’une bonne nuit de sommeil pour entreprendre la journée du bon pied<

Pure RestMC d’USANAMD

Donnez un coup de pouce à votre organisme en lui procurant la dose de mélatonine qu’il lui faut pour favoriser votre cycle naturel de veille et sommeil.

La vie est remplie de défis. Pour être prêt à les relever – sur le plan physique, mental et émotionnel – vous devez miser sur une période de sommeil adéquate. Sans compter qu’en profitant régulièrement de sept à neuf heures de sommeil, vous favorisez votre état de santé et de mieux-être général. Si vous avez parfois besoin d’un peu d’aide pour tomber dans les bras de Morphée, Pure RestMC d’USANAMD peut vous à aider à trouver le sommeil afin d’amorcer la journée frais et dispos.*

Pure Rest est un supplément de mélatonine à action rapide qui favorise les cycles naturels de repos et d’activité de l’organisme en s’ajoutant à la production naturelle de mélatonine la nuit. Pris au coucher, Pure Rest assure le rythme circadien naturel de l’organisme en lui signalant qu’il est l’heure de dormir. Ce supplément est particulièrement pratique si vos habitudes de sommeil ont été perturbées par des heures de travail irrégulières, des voyages ou le décalage horaire.*

Pure Rest n’est pas un somnifère et ne crée pas d’accoutumance. Intégrez-le tout naturellement à votre rituel à l’heure du coucher afin de pouvoir atteindre, chaque nuit, le doux pays des rêves.*

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Réagissez au manque de sommeil

Lorsque la vie se complique, il peut arriver que vous ne dormiez pas suffisamment. Si, en plus, vous avez parfois de la difficulté à vous endormir, le moment est venu de prendre votre sommeil en main.

En plus de vous sentir épuisé, bougon et confus, le manque de sommeil, même une seule nuit, peut avoir des répercussions négatives sur votre bien-être mental et physique.

Sachez que si vous êtes en manque de sommeil, votre cas est loin d’être unique. Des millions de gens souffrent d’insomnie. Et cette situation est tellement courante qu’elle est devenue la nouvelle norme. Or, ce manque de sommeil est considéré par l’Institute of Medicine comme un problème de santé grandissant qui reste à résoudre. Et pour cause.

Un sommeil de qualité favorise la santé sous une foule d’aspects :

  • Réparation de l’organisme après une exposition au stress quotidien et aux radicaux libres*
  • Fonction immunitaire*
  • Réparation des tissus (notamment les articulations) et croissance saine des muscles*
  • Remise en forme*
  • Santé cardiovasculaire*
  • Maintien d’une glycémie saine (à la condition qu’elle soit normale au départ)*
  • Maintien de l’appétit, de l’apport nutritionnel et du poids*
  • Fonction cognitive normale et humeur stable*
  • Vision*
  • Apparence de la peau*

En plus de vous aider à vous sentir plus énergique et plus productif, une période de sommeil adéquate permet d’annuler certains effets de l’usure normale sur votre organisme et d’accroître vos chances de vivre en meilleure santé.*

Quel est l’objectif à atteindre? En fonction d’un examen scientifique rigoureux d’études établissant un lien entre la durée du sommeil et la santé, le rendement et la sécurité, la National Sleep Foundation conseille aux adultes de dormir régulièrement de sept à neuf heures par nuit. Le groupe d’experts a constaté que les répercussions négatives sur le bien-être de ceux qui dormaient en moyenne moins de six heures par nuit était plus importantes que celles sur les personnes qui dorment en moyenne entre sept et huit heures par nuit.*

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Le rythme circadien

Le cycle de sommeil dépend de l’horloge biologique interne appelée rythme circadien. Cette période de 24 heures régule un certain nombre de fonctions biologiques, notamment le fait de signaler à votre organisme qu’il est temps de dormir ou de se réveiller. Le rythme circadien est un processus naturel de l’organisme qui peut être influencé par des facteurs extérieurs.

Les facteurs suivants peuvent nuire à votre rythme de sommeil (ou sa qualité) :

  • Stress
  • Quarts de travail de nuit
  • Décalage horaire
  • Éclairage artificiel (notamment les ampoules à DEL et l’éclairage bleu de votre téléphone intelligent ou autre appareil électronique)
  • Consommation d’alcool ou de drogues
  • Âge (les taux de mélatonine pouvant baisser naturellement, vous aurez tendance à souffrir davantage de troubles du sommeil)

Fixez-vous comme priorité de profiter régulièrement d’une bonne nuit de sommeil. Exercice quotidien, utilisation restreinte des appareils électroniques, exposition réduite à la lumière avant d’aller au lit, environnement de sommeil sombre et douillet – voilà autant de mesures à adopter pour profiter d’un sommeil de qualité. Et pour mieux soutenir votre rythme circadien naturel, donnez à votre organisme la dose de mélatonine qu’il lui faut pour se reposer adéquatement.

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Trouvez le sommeil pour assurer votre santé avec Pure Rest d’USANA

La clé du sommeil réside dans la mélatonine. Le site principal de production de cette hormone qui se forme naturellement est la glande pinéale située dans le cerveau, et sa tâche première est la régulation des cycles normaux de sommeil et de veille. Le jour, l’organisme n’en produit pas, mais le soir, le taux de mélatonine augmente naturellement et demeure élevé pendant la plus grande partie de la nuit, ce qui signale à l’organisme qu’il est temps de dormir.

Pour hausser votre taux de mélatonine à partir de sources végétales, ajoutez à votre alimentation tomates, olives, noix de Grenoble ou fraises. Ou encore, prenez du tryptophane – un acide aminé essentiel utilisé par l’organisme pour fabriquer de la mélatonine – que l’on retrouve dans les œufs, la volaille, les produits laitiers, les pois chiches et les amandes.

Pour obtenir un taux fiable de mélatonine qui aide à imiter l’activité de votre hormone de sommeil naturelle, optez pour Pure Rest d’USANA. À saveur d’orange, chaque comprimé contient 2 milligrammes (mg) de mélatonine pure sans sucre ni ingrédient de source animale. Et puisque le comprimé est sécable, vous pouvez facilement le fragmenter en deux pour prendre la dose qui vous convient.*

Pris environ une heure avant le coucher, le supplément Pure Rest contribuera à l’augmentation graduelle de votre taux de mélatonine de sorte qu’en devenant moins vigilant et plus somnolent, vous vous endormiez tout naturellement. C’est une façon saine d’assurer le sommeil sans éprouver d’effets secondaires graves. Mais vous devrez prendre Pure Rest au moins cinq heures avant l’heure de votre réveil afin de pouvoir vous sentir régénéré et concentré le lendemain.*

Si vous craignez que le manque de sommeil ne gâche vos vacances ou vous rende somnolent pendant un voyage d’affaires, adoptez Pure Rest comme compagnon de voyage. Il peut aider à réduire les effets du décalage horaire, surtout si vous voyagez vers l’Est ou traversez plus de deux fuseaux horaires. En fait, lors du passage de plusieurs fuseaux horaires, une dose d’environ 5 mg s’est avérée la plus efficace.*

À tous les oiseaux de nuit : Il pourrait être particulièrement important de prendre des suppléments de mélatonine avec Pure Rest si vous êtes exposé à un éclairage artificiel. L’exposition à la lumière peut dérégler votre rythme circadien et supprimer la libération naturelle de la mélatonine. En croyant qu’il est encore l’heure d’être productif, votre organisme ne vous aidera pas à vous endormir. Pure Rest peut aider à synchroniser le cycle naturel de lumière et d’obscurité de votre organisme afin d’assurer une structure de sommeil plus naturelle.*

Pure Rest protège aussi la santé au niveau cellulaire tout en contribuant à votre sommeil. La mélatonine peut agir comme neutralisant des radicaux libres en plus d’aider à soutenir les enzymes antioxydantes naturelles de l’organisme. Ainsi, en assurant une défense contre le stress oxydatif qui endommage les cellules, Pure Rest offre encore plus de bienfaits pour les processus réparateurs dont le corps fait l’objet pendant le sommeil.*

Principaux ingrédients

  • Mélatonine

Voir la liste complète des ingrédients

Mode d’emploi

Adultes : Prendre de ½ à 2 comprimés solubles, au besoin, une heure avant le coucher pour soulager les problèmes d’insomnie occasionnelle.

L’insomnie peut être un symptôme d’une maladie sous-jacente grave. Gardez hors de la portée des enfants. Consultez votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, prenez un médicament délivré sur ordonnance ou si vous avez un problème de santé. Évitez de conduire ou d’utiliser de la machinerie après avoir pris de la mélatonine.

Idéal pour

  • Les adultes qui ont besoin d’aide pour assurer leur cycle normal de veille et de sommeil
  • Les voyageurs
  • Tous ceux qui ont besoin de rééquilibrer leur horaire du sommeil

Pure Rest – questions fréquemment posées

Ne le prenez pas trop tôt dans la soirée parce que vous risquez de vous endormir! L’efficacité de Pure Rest sera optimale si vous le prenez environ une heure avant de vous coucher. Le comprimé à saveur d’orange se dissout dans la bouche sans eau.

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*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

Voyez le monde avec des yeux en santé grâce à VisionexMD d’USANA et Visionex DS*

Visionex d’USANA
Visionex DS

Prenez soin de votre santé oculaire avec un supplément bénéfique pour la vision et qui assure à vos yeux les nutriments nécessaires – vitamine C, zinc, lutéine et zéaxanthine.*

Vos yeux sont des fenêtres qui s’ouvrent sur les merveilles du monde. Il serait déplorable que l’exposition au soleil ou aux écrans viennent brouiller votre perspective. Assurez-vous de protéger votre santé oculaire et de préserver votre vision avec une nutrition appropriée. Voyez de plus près les nutriments importants que renferment Visionex d’USANA et Visionex DS.*

Les ophtalmologues recommandent une alimentation riche en fruits et légumes pour garder les yeux en excellent état. Plusieurs conseillent aussi d’intégrer à votre régime quotidien un supplément perfectionné pour la santé des yeux renfermant des nutriments précis. Visionex fournit justement à vos yeux des nutriments bénéfiques pour l’acuité visuelle.

À forte teneur en vitamine C et en zinc, Visionex vous procure aussi les phytonutriments lutéine, zéaxanthine et myrtille. Ensemble, ces ingrédients favorisent de nombreux aspects de votre santé :*

  • Ils maintiennent la santé oculaire à long terme en luttant contre les dommages causés par les radicaux libres.*
  • Ils agissent comme filtres de la lumière bleue pour favoriser la santé oculaire et une bonne vision.*
  • Ils offrent un soutien neural au cerveau et l’aide aussi par leur activité antioxydante.*
  • Ils préservent la santé de la peau en lui assurant une défense antioxydante et en soutenant le collagène et les lipides cutanés en surface.*

Pour le bien de vos yeux si précieux, il faut leur offrir le soutien nutritionnel qu’il leur faut. Les CellSentials contribueront à établir le fondement nutritionnel d’un bon état de santé général englobant la santé de vos yeux. Accordez la priorité à votre santé oculaire en intégrant à votre régime quotidien de suppléments deux comprimés de Visionex. Ou pour obtenir un même apport de lutéine et zéaxanthine dans un seul comprimé, essayez Visionex DS.*

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Cours 101 sur l’anatomie des yeux

woman with eye area highlighted

Pour mieux comprendre de quelle façon Visionex peut aider à préserver votre santé oculaire, vous devez d’abord connaître le mode de fonctionnement de votre vision. Même si le cerveau et le système nerveux y jouent un rôle, l’œil en est le facteur premier.*

L’œil humain détecte la radiation (lumière) dans une partie précise du spectre lumineux : la lumière visible. Vos yeux peuvent alors former l’image des objets directement devant vous, même à des kilomètres. Dotés d’une forte concentration de récepteurs sensoriels (en fait 70 % de tous ceux se trouvant dans votre organisme), ils réagissent même à une seule particule de lumière.

Comme vos yeux ne font que recueillir et focaliser la lumière, l’interprétation des messages qu’ils perçoivent revient au cerveau, vous permettant ainsi de voir le monde qui vous entoure. Pour bien comprendre la vision, il faut savoir que les yeux, le cerveau et les nerfs optiques fonctionnent en conjugaison pour interpréter visuellement le monde.

Le traitement de l’information visuelle s’amorce dans la rétine et la macula de l’œil. En fait, vous voyez la lumière qui frappe la rétine – une couche de cellules sensibles à la lumière qui tapisse le fond de l’œil. Au centre de la rétine, se trouve la macula sur laquelle le cristallin focalise la lumière.

Cette lumière ainsi focalisée enclenche des voies de signalisation. À partir des yeux et en passant par les nerfs optiques, ces voies transmettent l’information lumineuse au cortex visuel primaire du cerveau, un centre de traitement situé complètement à l’arrière de votre tête. Tout ce processus crée les images qui contribuent à votre perception du monde environnant.

Comme bon nombre de composants de l’œil trouvent leur origine comme tissus cérébraux pendant le développement embryonnaire, on considère l’œil comme faisant partie intégrante du système nerveux central (SNC). Outre le cerveau, bon nombre de nerfs sont aussi nécessaires pour percevoir la lumière que vos yeux assimilent comme des objets physiques. Le fait que les yeux font partie du SNC est certes important, car toutes les structures du système nerveux central sont protégées par ce qu’on appelle la barrière hémato-encéphalique.

Cette barrière consiste en une membrane semi-perméable très sélective qui sépare le sang circulant des fluides et structures du SNC. La barrière hémato-encéphalique est formée de connexions particulièrement étroites entre les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins à l’intérieur et autour du système nerveux central.

Afin de protéger ces structures très délicates, cette barrière permet seulement à des molécules, nutriments et substances chimiques bien précis de traverser. Comme tous les  nutriments ne se rendent pas dans le SNC, afin d’en en procurer aux yeux, il faut alors cibler des composés connus pour traverser la barrière hémato-encéphalique.

Pour vous faire voir le monde autour de vous, vos yeux doivent compter sur de nombreux nutriments. Voici ceux que vous procure Visionex :

  • Vitamine C : Les fruits et légumes sont une excellente source de cet antioxydant puissant doublé d’un nutriment essentiel. La vitamine C favorise la santé des vaisseaux capillaires, des gencives, des dents et du cartilage. On la trouve dans presque toutes les cellules de l’organisme et en concentration sensiblement plus élevée dans la rétine que dans le sang. Comme l’organisme humain ne produit pas de vitamine C, il faut en obtenir un apport dans notre alimentation.*
  • Zinc : Oligo-élément essentiel, le zinc est nécessaire à de nombreux aspects de la santé. Fortement concentré dans les yeux, il joue un rôle capital dans le transport de la vitamine A vers la rétine. Un lien a été établi entre la carence en zinc et une vision nocturne médiocre. Ce minéral semble fournir une protection antioxydante et favoriser une bonne acuité visuelle.*
  • Lutéine et zéaxanthine : Transportés de façon sélective à travers la barrière hémato-encéphalique, ces deux caroténoïdes sont ensuite déposés dans la macula de l’œil. Agissant comme antioxydants, ils aident à neutraliser les radicaux libres et à réduire le stress oxydatif. Ils contribuent aussi à filtrer la lumière bleue très énergétique afin de favoriser l’acuité visuelle.
  • Extrait de myrtille : La myrtille est riche en antioxydants appelés anthocyanosides. On a aussi montré que ce fruit aide à préserver la santé des vaisseaux capillaires, y compris ceux des yeux. Comme les capillaires apportent des nutriments aux tissus oculaires, il est important de les garder en santé. Une nutrition abondante est essentielle aux yeux, car la vision consomme beaucoup d’énergie.*

Visionex mise sur les effets bénéfiques de ces nutriments qui neutralisent les radicaux libres et soutiennent la vision, et il les met à votre service. En adoptant une nutrition qui vous soutient pleinement, vous pourrez mieux favoriser et la santé de vos yeux et votre vision.*

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Avec Visionex, vous devenez l’image même de la santé oculaire*

L’œil (et en particulier la macula) est vulnérable aux lésions photo-induites ou oxydatives de causes multiples :

  • La lumière naturelle
  • La lumière artificielle de certains types d’ampoules ou des écrans d’ordinateur et de téléphone cellulaire
  • L’exposition à des polluants environnementaux
  • Les oxydants produits par le taux métabolique élevé de l’œil

Avec l’âge, ces lésions s’accumulent et un déclin généralisé de l’acuité visuelle peut se produire.

Les rayons solaires dommageables qui entrent dans les yeux sont particulièrement préoccupants. Non seulement la lumière solaire (plus précisément les rayons ultraviolets) brûle et abîme la peau, mais elle peut aussi détériorer les structures de l’œil.

Tout un dilemme pour vos yeux : ils laissent pénétrer la lumière pour vous permettre de voir, mais ils doivent en réduire la quantité pour se préserver de tout dommage. Pour mieux se prémunir contre les effets dommageables de la lumière, les yeux font appel à un mécanisme intéressant – la concentration de nutriments protecteurs précis.

Entre autres nutriments, signalons la vitamine C, le zinc, la lutéine, la zéaxanthine et aussi la myrtille, un flavonoïde. Conjugués avec la vitamine C, les composés végétaux que sont les flavonoïdes favorisent la santé des vaisseaux sanguins afin d’assurer la libération des nutriments. La vitamine C et le zinc agissent ensemble pour fournir une protection antioxydante. De plus, le zinc aide aussi à acheminer dans les yeux la vitamine A, un nutriment essentiel à la vision.*

Le centre de la macula contient le pigment maculaire, dense et de couleur jaune. Celui-ci aide à protéger les récepteurs photosensibles de la macula contre les effets potentiellement dommageables des longueurs d’onde plus courtes et de forte intensité de la lumière (lumière bleue). Les nutriments qui composent le pigment maculaire sont des caroténoïdes, notamment la lutéine et la zéaxanthine.

Les caroténoïdes constituent une très grande famille de plus de 750 pigments végétaux qui se forment naturellement.  Ce sont les composés contenus dans les fruits et légumes qui les colorent en rouge, orange et jaune. Comme la nature regorge de divers caroténoïdes, l’œil a acquis la capacité de concentrer précisément et de façon sélective à l’intérieur de lui la lutéine et la zéaxanthine, des neurones spécifiques intervenant dans la vision et certaines régions du cerveau. Avec ces deux nutriments et d’autres, l’œil est bien équipé pour faire face aux stress du quotidien.

Comme l’organisme ne produit pas de lutéine, zéaxanthine, vitamine C, zinc et myrtille, c’est votre alimentation ou un supplément nutritionnel qui doit vous les fournir. Les recherches indiquent une corrélation entre le taux de ces nutriments qui protègent les yeux et la quantité que vous consommez. Ce taux s’élève en quelques jours et continue d’augmenter tant et aussi longtemps que vous consommez ces nutriments. Dès que vous cessez, la baisse de ce taux est malheureusement aussi rapide que son accroissement. Par conséquent, il importe de suivre régulièrement un bon régime alimentaire et de prendre un supplément nutritionnel qui favorise la santé oculaire.*

Avec l’âge, la densité du pigment maculaire tend à diminuer. Depuis plus de 20 ans, des études ont tenté de comprendre le lien entre cette perte liée à l’âge et la nutrition. Aujourd’hui, les scientifiques comprennent mieux comment la nutrition favorise la vision et aide à préserver la santé oculaire à long terme.*

La première étude AREDS (acronyme anglais d’Étude sur les maladies oculaires liées à l’âge) a été subventionnée par le National Eye Institute des États-Unis. Des études antérieures ayant déjà établi un lien entre santé oculaire et nutrition, la recherche AREDS se voulait une étude plus approfondie de ce lien potentiel.

Pour les participants à l’étude, il y avait une relation étroite entre la santé oculaire et un apport quotidien recommandé de nutriments comme la vitamine C, le zinc, la lutéine et la zéaxanthine. Appuyés par d’autres études, les résultats de la recherche AREDS ont confirmé le lien entre la nutrition et la santé oculaire.*

La formule de Visionex no tient en rien au hasard – elle est le fruit de résultats scientifiques avérés, dont ceux de l’étude AREDS. Vitamine C, zinc, lutéine et zéaxanthine peuvent aider à alléger le fardeau des troubles oculaires. Ensemble, ils renforcent la santé du pigment maculaire afin de protéger les yeux contre la lumière solaire dommageable. Comme antioxydants, ils préservent la vue en défendant les tissus oculaires fragiles contre les dommages oxydatifs causés par la lumière.*

En plus de prendre Visionex, le fait de suivre un bon régime alimentaire et d’adopter l’habitude de protéger vos yeux peut vous aider à en préserver la santé, même avec l’âge. Il faut notamment éviter l’exposition directe aux rayons solaires en portant des lunettes de soleil et s’éloigner périodiquement des écrans d’ordinateur et de téléphone intelligent.

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Conservez votre acuité visuelle grâce à la puissance de Visionex*

woman reading and working

Comme vos yeux vous guident dans le monde qui vous entoure, leur santé peut avoir un impact marquant sur votre qualité de vie. Avec des yeux en santé, vous obtenez une bonne acuité visuelle dans diverses situations, notamment la conduite automobile et la pratique d’un sport.

Comme les écrans d’ordinateur et de téléphone cellulaire nous accaparent de plus en plus, il est nécessaire de protéger nos yeux contre le stress et la fatigue. Vous voulez certes bien voir au travail, mais il faut aussi que vos yeux soient en bon état quand vous prenez le volant ou pratiquez un sport.

La recherche scientifique a montré que les interventions nutritionnelles (comme la prise de suppléments alimentaires) peuvent favoriser un bon rendement visuel.

Une étude de 2005 visant à évaluer cette théorie a été menée auprès de 40 jeunes adultes en santé (âge moyen : 23,9 ans). Ils ont pris chaque jour des suppléments de lutéine (10 mg) et de zéaxanthine (2 mg) pendant six mois. Les yeux des participants ont ensuite été soumis à des tests sur les effets de l’éblouissement dans des situations de la vie courante : journée à l’extérieur au soleil, longues heures passées devant l’ordinateur et exposition aux phares de voitures le soir.

À la suite de cette supplémentation de six mois, on a observé chez les participants des effets positifs sur la densité optique du pigment maculaire (DOPM), en comparaison avec les valeurs moyennes déterminées au début de l’étude. On a établi un lien entre la DOPM et l’acuité visuelle.  Après évaluation du rendement des participants dans l’exécution des tâches visuelles, les chercheurs ont conclu que la prise de suppléments de lutéine et zéaxanthine pendant une période de quatre à six mois favorisait le rendement visuel en cas d’éblouissement intense.

Le supplément Visionex avec lutéine et zéaxanthine peut contribuer à préserver une bonne fonction visuelle, car ces deux caroténoïdes importants procurent un certain nombre de bienfaits :*

  • Ils aident à mieux tolérer la lumière vive et favorisent le rétablissement après une exposition*
  • Ils soutiennent l’acuité visuelle en cas d’éclairage faible ou de temps brumeux*
  • Ils peuvent aider à préserver une bonne vision en faisant paraître les angles mieux définis.*

Avec les nutriments contenus dans Visionex, vous donnez un coup de pouce à la santé de vos yeux. En plus de renforcer le pouvoir de filtrage de la lumière bleue de la macula, la lutéine et la zéaxanthine que renferme ce supplément d’USANA pour la santé oculaire fournissent des  antioxydants qui luttent contre les dommages oxydatifs.*

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Visionex : en prime, des bienfaits pour votre cerveau *

Ce ne sont pas seulement vos yeux qui profitent des bienfaits de Visionex. La lutéine et la zéaxanthine peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique et par la suite, ces deux caroténoïdes vont se déposer dans la macula pour ensuite soutenir une bonne fonction cérébrale.*

D’où proviennent ces effets cognitifs? Le cerveau met à son service la lutéine et la zéaxanthine pour l’aider à optimiser la rapidité et l’efficacité des messages qu’il envoie.*

Première hypothèse : il les utilise pour favoriser la vitesse de transmission des signaux à un neurone, sans doute grâce aux propriétés antioxydantes de la lutéine et de la zéaxanthine qui acheminent des électrons et d’autres signaux le long du neurone.*

Deuxième hypothèse : la lutéine et la zéaxanthine soutiennent des voies de signalisation précises qui déclenchent le gène ayant pour tâche de rapprocher étroitement entre eux les neurones aux points de contact appelés les jonctions serrées. Celles-ci sont comme une colle qui resserre davantage le contact entre les cellules. Plus il y a de colle, plus la connexion est étroite et solide.*

En quoi cette connexion est-elle si importante? Les neurones doivent envoyer des messages le long de leurs cellules et entre celles-ci. Plus la connexion est étroite, plus l’envoi et la réception des signaux est efficace. En accroissant l’efficacité de la signalisation, on obtient une communication cellulaire optimale.*

Une quantité accrue de cette colle cellulaire peut aider le cerveau à former de nouvelles connexions et voies de signalisation, deux facteurs très importants pour l’apprentissage et la mémoire.*

Comme Visionex favorise la capacité du cerveau à envoyer et recevoir des messages, c’est un excellent complément à CopaPrime+, un produit qui mise sur la technologie InCelligenceMC d’USANA pour optimiser la fonction cognitive.*

La recherche indique qu’un taux élevé de caroténoïdes circulants, plus précisément la lutéine et la zéaxanthine, favorise de nombreuses fonctions cérébrales, notamment celles qui suivent :*

  • Apprentissage
  • Mémoire
  • Fluidité verbale
  • Temps de réaction
  • Équilibre
  • Efficacité neurale (vitesse de traitement)

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Une peau visiblement rajeunie avec l’aide de Visionex

La lutéine et la zéaxanthine ont également des effets bénéfiques sur l’apparence saine de la peau. Elles accroissent le nombre de lipides en surface et améliorent l’activité antioxydante naturelle. Leur concentration dans la peau aide à assurer une protection contre la lumière solaire, ce qui en réduit les effets visibles sur la peau.

En favorisant la production de lipides, la lutéine et la zéaxanthine contribuent à une bonne croissance cellulaire. Les cellules cutanées comptent parmi celles qui croissent le plus rapidement dans l’organisme. Elles doivent donc compter sur le soutien de nutriments comme la lutéine et la zéaxanthine pour défendre l’organisme en l’enrobant d’une belle couche protectrice externe.*

La vitamine C contenue dans Visionex agit comme un antioxydant et favorise aussi la synthèse du collagène, une importante protéine structurelle de la peau.*

Les antioxydants que renferme Visionex aident à empêcher la peau de paraître sèche et prématurément ridée par suite de son exposition aux éléments environnementaux. En conjugaison avec un écran solaire à spectre large qui protège la peau contre les effets du soleil, Visionex peut aider à lui donner un éclat de santé à partir de l’intérieur.*

Principaux ingrédients

  • Vitamine C
  • Zinc
  • Lutéine
  • Zéaxanthine
  • Extrait de myrtille

Voir la liste complète des ingrédients

Visionex DS

Mode d’emploi

Prendre deux (2) comprimés de Visionex par jour, de préférence en mangeant ou prendre un (1) comprimé de Visionex DS par jour, de préférence en mangeant.

Idéal pour

  • Les adultes en santé
  • Les athlètes

American Optometric Association

National Eye Institute

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*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

Les suppléments nutritionnels d’USANA ne constituent pas une source significative de calories. À titre d’exemple, il y a moins d’une calorie par dose quotidienne complète des CellSentials (huit comprimés) et par dose quotidienne de la plupart des suppléments.

Des exceptions à la règle :

  • BiOmega : 10 calories par comprimé, 20 calories par dose quotidienne
  • BiOmega Jr : 20 calories par sachet
  • Active Calcium Chewable : 4 calories par comprimé, 16 calories par dose quotidienne
  • HealthPak : moins de 2 calories par dose quotidienne
  • Usanimals : moins de 4 calories par comprimé

Il faut environ 3 500 calories non utilisées pour emmagasiner environ un demi-kilo de gras.

Active Calcium est conçu pour fournir des quantités complémentaires appropriées de nutriments essentiels à la santé osseuse. Il contient une formule équilibrée de calcium, magnésium, silicone et vitamine D.

Les olives font partie des régimes alimentaires sains depuis des siècles. On estime que la consommation d’olives et d’huile d’olive par les populations méditerranéennes est un des principaux facteurs expliquant leur longévité en santé. Et vous pouvez profiter de certains des grands bienfaits pour la santé que procurent les olives sous forme d’un extrait de tout premier ordre mis au point par USANA.*

L’extrait OlivolMD  est riche en polyphénols antioxydants (un type de substance chimique biologique de source végétale) entièrement dérivés de l’olive.* Pour la formulation de ces ingrédients perfectionnés, les scientifiques d’USANA ont élaboré un processus pour récupérer les phénols de l’olive dans les produits dérivés de la production d’huile d’olive.*

D’autres sources alimentaires courantes ne contiennent pas les antioxydants polyphénoliques présents dans les olives (Olea europaea L.). Leur structure les distingue des vitamines, caroténoïdes, bioflavonoïdes, proanthocyanidines et autres antioxydants que l’on trouve dans les fruits et légumes. Ces antioxydants seraient l’un des composants du régime alimentaire méditerranéen associé à la santé et la longévité.*

L’hydroxytyrosol est un important composé antioxydant de l’olive et on estime qu’il joue un rôle de premier plan dans de nombreux bienfaits pour la santé attribués à l’huile d’olive* :

  • La recherche a établi un lien entre ce composé et des bienfaits cardiovasculaires, notamment pour favoriser un bon taux de cholestérol (normal au départ) et une bonne circulation sanguine.*
  • Un nombre limité de données laissent entendre que ce composé favoriserait la santé oculaire.*
  • Certaines études indiquent que sa capacité à neutraliser des radicaux libres fortement réactifs peut contribuer à protéger l’ADN, les mitochondries (les centrales énergétiques des cellules) et d’autres structures cellulaires contre le stress oxydatif.*
  • Des travaux de recherche récents sur la capacité des nutriments alimentaires d’influer sur la signalisation ont permis d’observer la stimulation de certaines voies moléculaires par des composés de l’olive, y compris ceux associés à la production d’antioxydants naturellement puissants comme le glutathion. En ciblant des voies de signalisation avec l’hydroxytyrosol, on a aussi obtenu des résultats prometteurs en ce qui touche la protection de la santé cérébrale, cardiovasculaire, cutanée et plus encore.*

Les produits USANAMD misant sur Olivol

Mettez toute la puissance de l’olive au service de votre santé. Pour vous renseigner sur les produits USANA qui misent sur Olivol, suivez les liens ci-dessous.

Les CellSentialsMC d’USANA avec le complexe InCelligence

CellSentials Booster, offert seulement dans HealthPak d’USANA ou MyHealthPak

Body Rox

Hepa PlusMD

Boisson énergisante Rev3 EnergyMD

Certains produits de soins de la peau CelaviveMC d’USANAMD  avec le mélange végétal OlivolMD

Vázquez-Velasco M, et al. 2011. Effects of hydroxytyrosol-enriched sunflower oil consumption on CVD risk factors. Br J Nutr. 105(10):1448-52.

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St-Laurent-Thibault C, Arseneault M, Longpre F, Ramassamy C. 2011. Tyrosol and hydroxytyrosol, two main components of olive oil, protect N2a cells against amyloid-β-induced toxicity. Involvement of the NF-κB signaling. Curr Alz Res 8(5): 543-551(9).

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*Ces déclarations n’ont pas été évaluées par la Fédération américaine des aliments et drogues. Ce produit n’est destiné ni à diagnostiquer, ni à traiter, guérir ni empêcher les maladies.

Selon les apports alimentaires moyens, les femmes obtiennent environ 750 mg de calcium par jour et les hommes 975 mg par jour par l’alimentation. Avec l’ajout d’une dose quotidienne complète des CellSentials, la plupart des adultes ayant une alimentation normale obtiennent une dose de calcium sûre et suffisante comprise entre  1 050 et 1 250 mg. L’Optimizer Active Calcium convient le mieux aux personnes qui évitent les produits laitiers ou qui ont un apport faible en calcium, ou pour celles qui présentent un risque beaucoup plus élevé d’ostéoporose. Il peut être ajouté à l’alimentation à raison de 200 mg de calcium par comprimé pour aider à atteindre la dose quotidienne recommandée (suppléments et sources alimentaires) pour cet individu.

Apport journalier recommandé (AJR) pour le calcium

 

 Âge
(ans)
 Homme
(mg/jour)
 Femme
(mg/jour)
 Femme enceinte
(mg/jour)
 Femme allaitante
(mg/jour)
 4-8 ans  1 000 mg  1 000 mg  ne s’applique pas  ne s’applique pas
 9-13 ans  1 300 mg  1 300 mg  ne s’applique pas  ne s’applique pas
 14-18 ans  1 300 mg  1 300 mg  1 300 mg  1 300 mg
 19-50 ans  1 000 mg  1 000 mg  1 000 mg  1 000 mg
 51-70 ans  1 000 mg  1 200 mg  ne s’applique pas  ne s’applique pas
 71 ans et plus  1 200 mg  1 200 mg  ne s’applique pas  ne s’applique pas

La poudre de miel est un édulcorant naturel purifié utilisé dans les comprimés à croquer pour son goût et son pouvoir édulcorant.

La gélatine, une protéine purifiée, est utilisée dans de nombreuses formulations pharmaceutiques, y compris les capsules de gel molles et dures. Elle peut également servir de stabilisateur, d’agent liant et de gélifiant.