Le sabal (Serenoa repens) est un petit palmier originaire de la côte Atlantique et de la côte du Golfe aux États-Unis.

Le fruit du sabal est utilisé de longue date dans la médecine traditionnelle comme traitement de l’atrophie testiculaire, de la vigueur sexuelle, de la numération des spermatozoïdes, et des troubles de la prostate. Au cours de la première moitié du 20è siècle, le sabal était utilisé principalement comme diurétique léger et en traitement des cystites chroniques. Aujourd’hui, il est utilisé communément dans le cadre de traitements de l’élargissement de la prostate et des troubles urinaires.

L’extrait de sabal contient des acides gras, des alcools gras, des phytostérols et d’autres composés. Les ingrédients actifs n’ont pas été clairement identifiés, mais ils comprennent probablement de multiples facteurs liposolubles.

Des études cliniques confirment que l’extrait liposoluble de sabal permet d’améliorer certains signes et symptômes de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP).

Les vitamines B9 (folate) et B12 (cobalamine) sont des vitamines hydrosolubles, essentielles à la santé. En raison du rôle de ces vitamines à tous les stades de la vie, depuis le fœtus jusqu’à l’âge adulte, bon nombre d’aliments en sont enrichis, et les suppléments vitaminiques en contiennent afin d’éviter les carences.

Depuis les dix dernières années, les formes méthylées des vitamines B9 et B12 sont devenues des suppléments populaires en remplacement des formes traditionnelles ayant fait l’objet de nombreuses études et en usage depuis des décennies. Les bienfaits de chaque vitamine leur sont propres et pour diverses raisons, chacune est aussi offerte sous différentes formes. Lisez la suite pour en savoir davantage.

La vitamine B9 (folate)

Le folate régule le métabolisme cellulaire et la division des cellules. En conjonction avec son rôle dans l’ADN et l’ARN, il soutient une croissance saine des tissus et la régénération des globules rouges et des cellules immunitaires. Comme le folate est essentiel au développement du fœtus, un apport suffisant est d’une importance capitale pour la femme enceinte ou celle qui souhaite l’être.

Il vaut toujours mieux obtenir des nutriments d’une alimentation saine, et aucun supplément ne peut se substituer aux bienfaits que procure généralement un régime alimentaire sain et nutritif. Règle générale, les aliments contenant du folate sont très nutritifs, même si le folate n’est pas toujours le plus biodisponible. Par conséquent, l’apport moyen de folate alimentaire est la plupart du temps très inférieur à l’apport recommandé.

Un faible taux de folate est particulièrement préoccupant chez la femme en âge de procréer. C’est ce qui explique que des aliments soient enrichis d’acide folique dans de nombreux pays et que les suppléments qui en renferment soient devenus si populaires.

L’acide folique est la forme la plus couramment utilisée dans les aliments enrichis et les suppléments parce qu’il est généralement plus biodisponble, plus stable et moins complexe que le folate alimentaire. L’apparence du méthylfolate tient largement aux avancées scientifiques en génétique humaine et à la découverte d’un gène particulier (la méthylène tétrahydrofolate réductase ou MTHFR), qui influe sur la capacité de métaboliser cette vitamine.

Les variants de la MTHFR

En plus de convertir l’homocystéine en méthionine, le gène de la MTHFR code une enzyme qui convertit l’acide folique en une forme que l’organisme humain peut utiliser. Un variant du gène de la MTHFR (la MTHFR C677T) entraîne une capacité réduite de métabolisation de l’acide folique.

Notre ADN comprend deux copies du gène de la MTHFR provenant de chacun de nos deux parents. Chacun peut ainsi avoir une ou deux copies du variant génétique MTHFR C677T. Une seule mutation du gène de la MTHFR est plutôt fréquente, mais généralement sans conséquence sur le plan médical, puisque le fonctionnement de l’autre gène est normal.

Ce qui est cependant plus préoccupant est la présence du variant C677T sur les deux copies du gène de la MTHFR (variant MTHFR C677T homozygote). Même dans le cas d’une MTHFR C667T homozygote, la recherche indique qu’un apport adéquat d’acide folique régulier peut être pris en toute sûreté et avec succès (Moll S.).

Des allégations, comme « l’acide folique est inefficace chez les gens avec une “mutation” de la MTHFR », « il empêche la méthylation », « il ne peut être absorbé » ou « il est dangereux », sont exagérées et quelque peu inexactes. Ce variant ne fait que diminuer l’efficacité de la conversion.

En matière de folate (sous forme d’acide folique, de méthylfolate ou autre), ce qui importe est le taux sanguin de folate. Autrement dit, quelles qu’en soient la forme et les différences de biodisponibilité, de posologie, etc., le but est d’avoir un taux sanguin adéquat de folate. Même en présence du variant MTHFR C677T, chacun peut normaliser son taux de folate sérique par la prise régulière d’un apport adéquat d’acide folique. En fait, l’acide folique est le type de folate le plus étudié dont on a montré qu’il prévient les anomalies du tube neural (Crider, Crider, Wilcken, Tsang, Seyoum).

Par ailleurs, l’acide folique en quantité excessive ou non métabolisé n’est pas non plus sans causer certains problèmes. Nous ne pouvons pas en prendre en quantité illimitée pour compenser une plus faible absorption. Heureusement, l’organisme est très résilient, et des études laissent entendre que des mécanismes lui permettraient de s’adapter à un apport accru d’acide folique afin de limiter son exposition à l’acide folique non métabolisé (Tam).

En présence ou non d’un variant de la MTHFR, un apport de 600 à 1 000 mcg d’acide folique est à la fois sûr et hausse généralement le folate à un taux sanguin adéquat.

La vitamine B12 (cobalamine)

La vitamine B12 est une molécule très complexe. L’être humain compte sur les bactéries intestinales pour fabriquer la plus grande partie de la vitamine B12 dans son organisme. Les produits de source animale sont l’autre source de vitamine B12, les animaux obtenant aussi cette vitamine des bactéries dans leur intestin.

Bien que tout le monde puisse en avoir un faible taux, les végétariens et végétaliens sont particulièrement vulnérables à la carence en vitamine B12 puisqu’ils ne consomment pas de produits de source animale, principale source de cette vitamine. Un faible taux de vitamine B12 entraînera vraisemblablement la nécessité de prendre des suppléments.

La vitamine B12 est la seule qui ne puisse pas être entièrement synthétisée. Elle est produite par un processus complexe appelé biosynthèse, en raison des micro-organismes utilisés pour fabriquer ou « synthétiser » cette vitamine. Elle est somme toute fabriquée de la même façon que la nature la crée dans l’intestin.

La biosynthèse la plus courante fait appel à la bactérie « pseudomonas dentrificans » et nécessite plus de vingt différentes réactions chimiques. C’est ainsi qu’est fabriquée et rendue disponible la quasi-totalité de la vitamine B12 du commerce. Ses différentes formes, comme la cyanocobalamine et la méthylcobalamine, sont biosynthétisées de la même façon, avec une seule réaction de substitution vers la fin du processus entre le groupe méthyle et le groupe cyanure.

La cyanocobalamine est la forme la plus couramment utilisée dans les suppléments de vitamine B12, en raison de sa stabilité accrue comparativement à une forme comme la méthylcobalamine.

Des études indiquent que la cyanocobalamine peut être immédiatement convertie dans l’organisme pour activer la vitamine B12. En comparant cyanobalamine et méthylcobalamine, on observe que quelle qu’en soit la forme, la dose et la fréquence d’utilisation des suppléments sont généralement plus importantes pour assurer un taux sanguin adéquat (Zugravu).

Le méthylfolate et la méthylcobalamine comme donneurs du groupe méthyle

Il n’est pas nécessaire de prendre de la méthylcobalamine ou du méthylfolate pour soutenir une méthylation normale. Ils sont déjà abondants dans une alimentation diversifiée. Un apport type de choline fournit environ 1 000 fois plus de groupes méthyles qu’un apport type de folate. Outre la choline, d’autres vitamines du groupe B et des acides aminés, comme la méthionine, fournissent des milliers de fois plus de groupes méthyles qu’un simple apport de folate méthylé ou le méthyle B12.

Crider KS, Devine O, Hao L, et al. Population red blood cell folate concentrations for prevention of neural tube defects: Bayesian model. BMJ. 2014;349:g4554.

Crider KS, Yang TP, Berry RJ, Bailey LB. Folate and DNA methylation: A review of molecular mechanisms and the evidence for folate’s role. Adv Nutr. 2012;3(1):21-38.

Moll S, Varga EA. Homocysteine and MTHFR Mutations. Circulation. 2015;132(1):e6-9.

Seyoum E, Selhub J. Properties of food folates determined by stability and susceptibility to intestinal pteroylpolyglutamate hydrolase action. J Nutr. 1998;128(11):1956-1960.

Tam C, O’Connor D, Koren G. Circulating unmetabolized folic Acid: relationship to folate status and effect of supplementation. Obstet Gynecol Int. 2012;2012:485179.

Tsang BL, Devine OJ, Cordero AM, et al. Assessing the association between the methylenetetrahydrofolate reductase (MTHFR) 677C>T polymorphism and blood folate concentrations: a systematic review and meta-analysis of trials and observational studies. Am J Clin Nutr. 2015;101(6):1286-1294.

Wilcken B, Bamforth F, Li Z, et al. Geographical and ethnic variation of the 677C>T allele of 5,10 methylenetetrahydrofolate reductase (MTHFR): Findings from over 7000 newborns from 16 areas world wide. J Med Genet. 2003;40(8):619-625.

Zugravu CA, Macri A, Belc N, Bohiltea R. Efficacy of supplementation with methylcobalamin and cyancobalamin in maintaining the level of serum holotranscobalamin in a group of plant-based diet (vegan) adults. Exp Ther Med. 2021;22(3):993.

USANA ne peut garantir la qualité des produits que jusqu’à la date d’expiration indiquée sur les emballages. Au delà de cette date, la puissance des nutriments peut diminuer progressivement. Nous recommandons donc de consommer les produits avant la date d’expiration imprimée.

Nous recommandons de conserver les Nutritionals d’USANA à une température inférieure à 25 degrés Celsius (température ambiante). La réfrigération peut aussi prolonger la durée de conservation des Nutritionals d’USANA.

Les Numéros de Lot et Les Dates D’expiration

Les numéros de lot et les dates d’expiration sont imprimés sur le fond des flacons de suppléments (compléments) USANA. La date d’expiration à six chiffres indiquée sur les produits USANA est sous le format « JJMMAA » (jour, mois, année).

Quelle Est la Durée de Conservation des Produits USANA?

Les Nutritionals ont une durée de conservation de deux ans, à l’exception des produits suivants :

  • HealthPak: 18 mois
  • MyHealthPak : 4 mois

La durée de conservation des Aliments USANA est la suivante :

  • Barre protéinée au collagène: 8 mois
  • Barre-collation Beurre de Cacahuète: 15 mois
  • Boissons Rev3 : 18 mois

L’Émulsion protectrice de jour a une durée de conservation d’un an. Tous les autres produits Sensé ont une durée de conservation de deux ans.

USANA s’attache à choisir les ingrédients les plus purs et les plus sûrs pour nos produits. Dans le cadre de ces efforts, nous adhérons à des normes d’analyses pour les matières premières sans OGM dans nos marchés internationaux. Ces normes de conformité comprennent l’approvisionnement en substances non génétiquement modifiées comme la protéine de soya (soja) sans OGM, l’isolat de soya (soja) à identité préservée, la protéine de pois sans OGM et bien d’autres encore.

Par des tests continus sur les produits, USANA a conclu que nos produits ne contiennent aucun organisme génétiquement modifié (OGM). Nous avons également envoyé nos produits à des laboratoires tiers accrédités pour confirmer nos analyses et méthodes de détection pour l’ADN issu de la bioingéniérie.

USANA maintiendra sa vigilance dans les analyses pour identifier de nouveaux OGM. On ne peut prétendre à un niveau « zéro » d’ingrédients issus de la bioingéniérie dans les allégations « sans OGM », car il existe toujours la possibilité d’une introduction accidentelle d’ingrédients issus de la bioingéniérie.

La FDA n’a pas d’autorité directe sur les suppléments alimentaires et aucun supplément  alimentaire aux États-Unis n’est « homologué par la FDA ».

La FDA réglemente les suppléments alimentaires dans le cadre de la Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA, loi sur la santé et l’éducation en matière de suppléments alimentaires). Selon cette loi, les suppléments alimentaires appartiennent à une catégorie à part répertoriée sous le terme général « aliments ».

Cette agence exige que les fabricants de suppléments alimentaires respectent les bonnes pratiques de fabrication pour les suppléments alimentaires (CFR, Code of federal regulations, ou code des règlements fédéraux, titre 21, partie 111). Les BPF d’USANA sont conformes et même supérieures à ces normes.

La FDA est chargée de prendre des mesures contre tout supplément alimentaire jugé non sécuritaire (en général après son introduction sur le marché). Le Center for Food Safety and Applied Nutrition (CFSAN, centre responsable de la sécurité alimentaire et de la nutrition appliquée) de la FDA s’attache à la surveillance des  suppléments alimentaires après leur lancement sur le marché. Elle a pour mandat de contrôler les produits qui peuvent être considérés comme non sécuritaires ou qui s’accompagnent d’allégations fausses ou trompeuses.

Les ingrédients bruts qui entrent dans la composition des produits USANA proviennent de sources variées. Certains viennent de plantes (notre vitamine E, par exemple, provient du soya [soja]) alors que d’autres sont d’origine synthétique. Certains proviennent de sources naturelles mais ont été modifiés par un procédé de synthèse. D’autres encore résultent d’un processus de fermentation.

« Naturel ou synthétique », voici l’un des critères utilisés par USANA pour sélectionner les ingrédients bruts qui entrent dans la composition de ses produits. D’autres facteurs comme la puissance, la pureté, la sûreté, la stabilité et la fiabilité de l’approvisionnement sont à prendre en compte.

Toutes choses égales par ailleurs, nous choisissons des ingrédients d’origine naturelle plutôt que synthétique. Mais les choses sont rarement égales. Nous utilisons des composés vitaminiques et minéraux sous forme chimique (qu’ils soient naturels ou synthétiques) qui sont absorbés et utilisés de manière efficace par l’organisme, qui sont purs, exempts de contaminants et sûrs.

Il existe une idée aussi fausse que répandue selon laquelle les vitamines et minéraux « naturels » sont extraits de plantes sous une forme pure, ce qui les rendrait supérieurs à des vitamines et minéraux « synthétiques » produits en laboratoire. Il s’agit souvent d’une distinction trompeuse.

Tout d’abord, il est impossible d’extraire des vitamines pures des plantes sans des traitements importants et considérables qui peuvent inclure des solvants chimiques d’extraction agressifs. Ensuite, l’activité biologique d’un composé ne doit rien à sa source, mais dépend surtout de sa composition chimique. En d’autres termes, le fait qu’un composé chimique provienne d’une plante verte ou d’un processus de synthèse ne fait en général aucune différence : il s’agit du même composé.

Certains composés vitaminiques et antioxydants peuvent être synthétisés efficacement en laboratoire pour fabriquer des produits qui sont identiques au niveau chimique à ceux que l’on trouve dans la nature, et qui sont d’une grande pureté et sûreté (et souvent bien moins coûteux que leurs homologues « naturels »). De plus, certaines vitamines synthétiques sont mieux absorbées que les composés de sources alimentaires.

Un bon exemple de ce phénomène est l’acide folique, qui est absorbé plus facilement que le folate de sources alimentaires. Les folates dans les aliments sont en général de grosses molécules fixées aux protéines qui doivent être hydrolysées ou déconjuguées avant l’absorption et le transport dans la cellule.

On nous demande parfois pourquoi plus des ingrédients bruts d’USANA ne sont pas « certifiés » biologiques. Selon nous, le principal avantage de l’utilisation d’ingrédients ou de matières premières « certifiés » biologiques concerne le marketing. Les ingrédients certifiés biologiques peuvent être très difficiles (voire impossibles) à obtenir et sont généralement beaucoup plus coûteux.

De plus, le fait qu’une matière première ou ingrédient soit certifié biologique ne garantit pas qu’il soit de la meilleure qualité. D’après notre expérience, l’uniformité et la qualité de nombreux produits organiques sont assez discutables et ne sont pas à la hauteur de nos normes rigoureuses de contrôle de la qualité. Mais en général, la raison principale pour laquelle nous n’utilisons pas plus d’ingrédients biologiques dans notre gamme de produits est qu’il n’y a pas d’avantage clair pour le consommateur. Beaucoup de gens qui utilisent des produits issus de l’agriculture biologique le font parce qu’ils pensent que ceux-ci sont plus sûrs ou plus nutritifs, ce qui n’est peut-être pas entièrement vrai de tous les produits ou ingrédients biologiques. De plus, lorsqu’il s’agit de suppléments (compléments) nutritionnels tels que ceux d’USANA, « plus nutritif » n’est pas une raison valable car chaque ingrédient brut est mesuré et son contenu normalisé. (Pour donner un exemple hypothétique, imaginez qu’une orange biologique contienne 85 mg de vitamine C, alors qu’une orange issue de l’agriculture traditionnelle n’en contienne que 50 mg. Dans un supplément [complément] alimentaire, 85 mg extraits de sources biologiques ne fournissent pas plus de vitamine C que 85 mg extraits de sources traditionnelle : il s’agit de 85 mg de vitamine C dans les deux cas.)

Un autre point à considérer est la sûreté. Encore une fois, puisque la majorité des ingrédients entrant dans la composition de suppléments (compléments) alimentaires sont extraits, transformés et purifiés, ceci n’est pas un problème pour les produits nutritionnels d’USANA. Les extraits et les ingrédients pour lesquels il peut y avoir une inquiétude légitime en ce qui concerne la contamination (comme l’huile de poisson, par exemple), sont testés de manière rigoureuse de la même manière et dans la même mesure que si l’on testait des produits alternatifs biologiques. USANA effectue de nombreux tests (y compris CLHP, ICP, IRTF et GC) sur les ingrédients bruts et les produits finis afin d’en assurer la pureté et la sécurité. Des analyses et procédures de vérification sont également mises en place pour assurer que les matériaux bruts ne contiennent accidentellement aucun autre élément (comme les pesticides, les métaux lourds, les contaminants organiques ou issus de la fabrication et bien d’autres encore).

Il y a peut-être des avantages à consommer des produits et des aliments biologiques, surtout si le résultat est un apport accru en fruits et légumes, mais pour de nombreux produits d’USANA, il n’y a pas lieu de rechercher des ingrédients issus de l’agriculture biologique.

La sécurité des produits est examinée au cas par cas. La toxicité des vitamines et minéraux a fait l’objet de recherches approfondies et USANA a considéré tous les renseignements disponibles pour formuler ses produits nutritionnels.

La plupart des vitamines ont une toxicité faible, et pour beaucoup, aucune toxicité n’a jamais été observée. Certaines vitamines liposolubles peuvent être toxiques à fortes doses, mais même en prenant en compte l’apport alimentaire typique, les quantités de vitamines et minéraux contenues dans les suppléments (compléments) USANA, utilisés selon les directives, sont loin d’atteindre des niveaux dangereux.

Des apports chroniques de vitamines et minéraux à des niveaux dépassant la dose minimale avec effet nocif observé (DMENO) peuvent causer des problèmes de santé, mais les produits USANA ont été formulés pour que les quantités de vitamines et minéraux qu’ils contiennent restent en deçà de ces niveaux. Les produits USANA sont conçus pour améliorer la santé et non pour lui être néfaste.

Une bonne source d’information sur la sécurité des vitamines et minéraux en général est l’ouvrage “Vitamin and Mineral Safety, 3rd Edition” de John N. Hathcock, PhD. Council of Responsible Nutrition. 2014.

Les produits alimentaires d’USANA sont formulés avec des ingrédients ayant une longue histoire d’utilisation sécuritaire chez les humains. De plus, tous les produits alimentaires USANA sont soumis à des tests pour la contamination par des métaux lourds (comme le plomb, l’arsenic, le mercure et le cadmium) et respectent ou dépassent les normes de sécurité les plus strictes concernant ces métaux (comme la Proposition 65 de l’état de Californie).

Les produits Sensé ont été soumis à des tests exhaustifs sous le contrôle de dermatologues et d’ophtalmologues. Tous les ingrédients doivent se conformer à des normes de sécurité strictes établies par des règlementations gouvernementales.

Les produits USANA auxquels la technologie nutritionnelle hybride est appliquée comprennent :

  • Proflavanol C100
  • Proflavanol C200
  • Hepa Plus

µg = mcg = microgramme = un millième de milligramme = un millionième de gramme

« µ » est la lettre grecque « mu », qui est utilisée comme symbole scientifique pour l’abréviation du mot micro. Un microgramme est un millième de milligramme ou un millionième de gramme. Les lettres « mcg » sont parfois utilisées en abréviation de microgramme.