Couleur

La couleur de l’urine va normalement de transparente à jaune pâle ou jaune très foncé, suivant votre niveau d’hydratation, d’activité et votre alimentation. La couleur jaune vif que l’on observe parfois avec la prise de suppléments (compléments) alimentaires est due principalement à l’excrétion d’excès de nutriments (en particulier la riboflavine), et peut continuer à varier en fonction de votre état d’hydratation et de vos besoins nutritionnels.

Fréquence

Les suppléments n’influent pas généralement sur la fréquence de la miction. Même si certains suppléments renferment de la vitamine C et de la caféine qui peuvent agir comme diurétiques légers, il est plus probable qu’un besoin plus fréquent d’uriner dépende d’une consommation accrue d’eau. Bon nombre de gens qui prennent des suppléments boivent de deux à trois verres d’eau de plus pendant la journée.

Odeur

La consommation de vitamines, de minéraux et de certains extraits végétaux peut modifier l’odeur de l’urine. Ce n’est nullement un mauvais signe ou une cause d’inquiétude en soi, car l’odeur de l’urine peut aussi changer si l’on mange certains aliments : betterave, asperge, ail, oignons, poisson, etc.

Les Nutritionals, les aliments et les produits de la gamme Sensé d’USANA devraient être conservés dans un endroit frais et sec. Bien que ce ne soit pas obligatoire, la réfrigération peut prolonger la durée de conservation des produits USANA.

Comme certains nutriments sont sensibles à la chaleur, n’exposez pas les produits USANA à une chaleur excessive pendant une longue durée. (L’exposition à la chaleur au cours du transport n’est en général pas suffisante pour altérer la qualité du produit.)

L’indice ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity, signifiant capacité d’absorption des radicaux oxygénés) est une analyse en laboratoire qui fournit une mesure globale de l’activité antioxydante des aliments. Cet examen met l’aliment en question en présence d’un agent oxydant et mesure la capacité de résistance à l’oxydation de cet aliment. Plus le score ORAC est élevé, plus la capacité antioxydante de l’aliment est importante. Plusieurs méthodes de mesure de la capacité antioxydante « globale » ont été développées. Aucune n’est irréfutable, mais l’indice ORAC est le plus largement accepté dans les milieux commerciaux.

Les tests ORAC sont souvent utilisés pour comparer l’activité antioxydante de divers aliments (fruits, légumes, jus, vins, ectc.). Ces comparaisons peuvent être utiles, mais elles ont certaines limites. Premièrement, les analyses ORAC ne sont pas très précises. Quand un aliment est testé plusieurs fois dans un même laboratoire, les variations de score suivant les échantillons testés sont souvent de l’ordre de 10 à 15 %. Deuxièmement, les laboratoires effectuent ces tests de manière différente, et obtiennent souvent des résultats très différents. Troisièmement, pour prendre un exemple, des jus d’orange différents, produits et dilués de manière différente et conservés dans des conditions différentes, peuvent avoir des activités antioxydantes très différentes, ce qui rend difficile l’attribution d’un score ORAC probant pour le jus d’orange en général.

Cependant, les comparaisons basées sur les tests ORAC peuvent être valables lorsque des produits semblables sont testés, que les analyses ORAC sont effectuées par un seul laboratoire habilité, avec les mêmes méthodes d’analyse, et surtout, que les scores ORAC déclarés portent sur des quantités égales de produit (par exemple, toutes les valeurs ORAC sont présentées pour une once ou pour 100 grammes). Dans ces conditions, des grandes différences dans le score ORAC (surtout si elles sont de l’ordre du triple au décuple) peuvent indiquer des différences décisives dans l’activité antioxydante véritable.

L’indice glycémique (IG) est une manière de mesure la vitesse à laquelle les glucides se décomposent en glucides simples et passent dans le sang. En général, plus les aliments sont raffinés et transformés industriellement, plus vite ils se décomposent et plus leur IG est élevé.

Les aliments à haut IG ont un effet rapide sur le taux de sucre sanguin et fournissent de l’énergie rapidement. Cependant, cette poussée d’énergie est en général de courte durée et la faim revient bientôt, ce qui peut conduire à trop manger et à prendre du poids. Les aliments à faible IG ont un effet plus lent et plus constant sur le taux de sucre sanguin. Ces aliments donnent une sensation de satiété plus grande et plus durable et fournissent de l’énergie de manière plus constante, ce qui fait que manger moins (et maintenir son poids) est plus facile.

La vitamine B12 est une vitamine B hydrosoluble qui est essentielle à la santé et au bien-être humain. Ses caractéristiques chimiques, les plus complexes de toutes les vitamines, sont uniques pour deux raisons. C’est la seule vitamine ayant un composé minéral et aussi l’une des seules substances essentielles dans l’organisme à contenir du cobalt.

La vitamine B12 est une coenzyme, ce qui veut dire que sa fonction est liée de près (et essentielle) à l’activité d’une ou plusieurs enzymes. Chez les humains, la vitamine B12 se lie à une enzyme responsable d’une partie du métabolisme cyclique de l’acide folique, une autre vitamine B nécessaire au métabolisme des acides aminés, à la synthèse des acides nucléiques, à la formation des globules rouges et à la synthèse et au maintien de la myéline. Un manque de vitamine B12 peut avoir pour conséquence une interruption de la régénération de l’acide folique et le développement de troubles liés à une carence en acide folique. Ainsi, les carences en vitamines B12 sont souvent perçues à tort comme des carences en acide folique à la fois dans les tests en laboratoire et dans les analyses de symptômes cliniques.

L’absorption de la vitamine B12 est un processus qui comprend plusieurs étapes, et une anomalie dans l’un des systèmes enzymatiques nécessaires à l’émission, au transport et à l’absorption de la vitamine B12 peut conduire à une carence. Les carences peuvent aussi être causées par un apport inadéquat en vitamine B12 par l’alimentation. Les symptômes cliniques d’une carence en vitamine B12 comprennent anémie pernicieuse, engourdissements et picotements dans les mains et le pieds, perte d’équilibre, mauvaise coordination, et perte d’acuité mentale. Les carences en vitamine B12 sont souvent difficiles à diagnostiquer.

La vitamine B12 travaille de concert avec l’acide folique et la vitamine B6 pour le maintien du taux d’homocystéine, qui est un facteur de risque indépendant pour les maladies cardiovasculaires.

Toute la vitamine B12 trouvée dans la nature est fabriquée par des microorganismes. Les sources alimentaires typiques comprennent donc la viande et les produits à base de viande, et dans une moindre mesure le lait et les produits laitiers. Les végétariens stricts (y compris les végétaliens) peuvent présenter une carence en vitamine B12 puisque leur alimentation n’en fournit pas, sauf si leur nourriture est contaminée par des microorganismes. La supplémentation vitaminique est le seul moyen sûr pour les végétaliens d’obtenir des quantités suffisante de vitamine B12.

Aucun effet nocif n’a été observé à tout niveau d’utilisation pour la vitamine B12.

Le sabal (Serenoa repens) est un petit palmier originaire de la côte Atlantique et de la côte du Golfe aux États-Unis.

Le fruit du sabal est utilisé de longue date dans la médecine traditionnelle comme traitement de l’atrophie testiculaire, de la vigueur sexuelle, de la numération des spermatozoïdes, et des troubles de la prostate. Au cours de la première moitié du 20è siècle, le sabal était utilisé principalement comme diurétique léger et en traitement des cystites chroniques. Aujourd’hui, il est utilisé communément dans le cadre de traitements de l’élargissement de la prostate et des troubles urinaires.

L’extrait de sabal contient des acides gras, des alcools gras, des phytostérols et d’autres composés. Les ingrédients actifs n’ont pas été clairement identifiés, mais ils comprennent probablement de multiples facteurs liposolubles.

Des études cliniques confirment que l’extrait liposoluble de sabal permet d’améliorer certains signes et symptômes de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP).

Les vitamines B9 (folate) et B12 (cobalamine) sont des vitamines hydrosolubles, essentielles à la santé. En raison du rôle de ces vitamines à tous les stades de la vie, depuis le fœtus jusqu’à l’âge adulte, bon nombre d’aliments en sont enrichis, et les suppléments vitaminiques en contiennent afin d’éviter les carences.

Depuis les dix dernières années, les formes méthylées des vitamines B9 et B12 sont devenues des suppléments populaires en remplacement des formes traditionnelles ayant fait l’objet de nombreuses études et en usage depuis des décennies. Les bienfaits de chaque vitamine leur sont propres et pour diverses raisons, chacune est aussi offerte sous différentes formes. Lisez la suite pour en savoir davantage.

La vitamine B9 (folate)

Le folate régule le métabolisme cellulaire et la division des cellules. En conjonction avec son rôle dans l’ADN et l’ARN, il soutient une croissance saine des tissus et la régénération des globules rouges et des cellules immunitaires. Comme le folate est essentiel au développement du fœtus, un apport suffisant est d’une importance capitale pour la femme enceinte ou celle qui souhaite l’être.

Il vaut toujours mieux obtenir des nutriments d’une alimentation saine, et aucun supplément ne peut se substituer aux bienfaits que procure généralement un régime alimentaire sain et nutritif. Règle générale, les aliments contenant du folate sont très nutritifs, même si le folate n’est pas toujours le plus biodisponible. Par conséquent, l’apport moyen de folate alimentaire est la plupart du temps très inférieur à l’apport recommandé.

Un faible taux de folate est particulièrement préoccupant chez la femme en âge de procréer. C’est ce qui explique que des aliments soient enrichis d’acide folique dans de nombreux pays et que les suppléments qui en renferment soient devenus si populaires.

L’acide folique est la forme la plus couramment utilisée dans les aliments enrichis et les suppléments parce qu’il est généralement plus biodisponble, plus stable et moins complexe que le folate alimentaire. L’apparence du méthylfolate tient largement aux avancées scientifiques en génétique humaine et à la découverte d’un gène particulier (la méthylène tétrahydrofolate réductase ou MTHFR), qui influe sur la capacité de métaboliser cette vitamine.

Les variants de la MTHFR

En plus de convertir l’homocystéine en méthionine, le gène de la MTHFR code une enzyme qui convertit l’acide folique en une forme que l’organisme humain peut utiliser. Un variant du gène de la MTHFR (la MTHFR C677T) entraîne une capacité réduite de métabolisation de l’acide folique.

Notre ADN comprend deux copies du gène de la MTHFR provenant de chacun de nos deux parents. Chacun peut ainsi avoir une ou deux copies du variant génétique MTHFR C677T. Une seule mutation du gène de la MTHFR est plutôt fréquente, mais généralement sans conséquence sur le plan médical, puisque le fonctionnement de l’autre gène est normal.

Ce qui est cependant plus préoccupant est la présence du variant C677T sur les deux copies du gène de la MTHFR (variant MTHFR C677T homozygote). Même dans le cas d’une MTHFR C667T homozygote, la recherche indique qu’un apport adéquat d’acide folique régulier peut être pris en toute sûreté et avec succès (Moll S.).

Des allégations, comme « l’acide folique est inefficace chez les gens avec une “mutation” de la MTHFR », « il empêche la méthylation », « il ne peut être absorbé » ou « il est dangereux », sont exagérées et quelque peu inexactes. Ce variant ne fait que diminuer l’efficacité de la conversion.

En matière de folate (sous forme d’acide folique, de méthylfolate ou autre), ce qui importe est le taux sanguin de folate. Autrement dit, quelles qu’en soient la forme et les différences de biodisponibilité, de posologie, etc., le but est d’avoir un taux sanguin adéquat de folate. Même en présence du variant MTHFR C677T, chacun peut normaliser son taux de folate sérique par la prise régulière d’un apport adéquat d’acide folique. En fait, l’acide folique est le type de folate le plus étudié dont on a montré qu’il prévient les anomalies du tube neural (Crider, Crider, Wilcken, Tsang, Seyoum).

Par ailleurs, l’acide folique en quantité excessive ou non métabolisé n’est pas non plus sans causer certains problèmes. Nous ne pouvons pas en prendre en quantité illimitée pour compenser une plus faible absorption. Heureusement, l’organisme est très résilient, et des études laissent entendre que des mécanismes lui permettraient de s’adapter à un apport accru d’acide folique afin de limiter son exposition à l’acide folique non métabolisé (Tam).

En présence ou non d’un variant de la MTHFR, un apport de 600 à 1 000 mcg d’acide folique est à la fois sûr et hausse généralement le folate à un taux sanguin adéquat.

La vitamine B12 (cobalamine)

La vitamine B12 est une molécule très complexe. L’être humain compte sur les bactéries intestinales pour fabriquer la plus grande partie de la vitamine B12 dans son organisme. Les produits de source animale sont l’autre source de vitamine B12, les animaux obtenant aussi cette vitamine des bactéries dans leur intestin.

Bien que tout le monde puisse en avoir un faible taux, les végétariens et végétaliens sont particulièrement vulnérables à la carence en vitamine B12 puisqu’ils ne consomment pas de produits de source animale, principale source de cette vitamine. Un faible taux de vitamine B12 entraînera vraisemblablement la nécessité de prendre des suppléments.

La vitamine B12 est la seule qui ne puisse pas être entièrement synthétisée. Elle est produite par un processus complexe appelé biosynthèse, en raison des micro-organismes utilisés pour fabriquer ou « synthétiser » cette vitamine. Elle est somme toute fabriquée de la même façon que la nature la crée dans l’intestin.

La biosynthèse la plus courante fait appel à la bactérie « pseudomonas dentrificans » et nécessite plus de vingt différentes réactions chimiques. C’est ainsi qu’est fabriquée et rendue disponible la quasi-totalité de la vitamine B12 du commerce. Ses différentes formes, comme la cyanocobalamine et la méthylcobalamine, sont biosynthétisées de la même façon, avec une seule réaction de substitution vers la fin du processus entre le groupe méthyle et le groupe cyanure.

La cyanocobalamine est la forme la plus couramment utilisée dans les suppléments de vitamine B12, en raison de sa stabilité accrue comparativement à une forme comme la méthylcobalamine.

Des études indiquent que la cyanocobalamine peut être immédiatement convertie dans l’organisme pour activer la vitamine B12. En comparant cyanobalamine et méthylcobalamine, on observe que quelle qu’en soit la forme, la dose et la fréquence d’utilisation des suppléments sont généralement plus importantes pour assurer un taux sanguin adéquat (Zugravu).

Le méthylfolate et la méthylcobalamine comme donneurs du groupe méthyle

Il n’est pas nécessaire de prendre de la méthylcobalamine ou du méthylfolate pour soutenir une méthylation normale. Ils sont déjà abondants dans une alimentation diversifiée. Un apport type de choline fournit environ 1 000 fois plus de groupes méthyles qu’un apport type de folate. Outre la choline, d’autres vitamines du groupe B et des acides aminés, comme la méthionine, fournissent des milliers de fois plus de groupes méthyles qu’un simple apport de folate méthylé ou le méthyle B12.

Crider KS, Devine O, Hao L, et al. Population red blood cell folate concentrations for prevention of neural tube defects: Bayesian model. BMJ. 2014;349:g4554.

Crider KS, Yang TP, Berry RJ, Bailey LB. Folate and DNA methylation: A review of molecular mechanisms and the evidence for folate’s role. Adv Nutr. 2012;3(1):21-38.

Moll S, Varga EA. Homocysteine and MTHFR Mutations. Circulation. 2015;132(1):e6-9.

Seyoum E, Selhub J. Properties of food folates determined by stability and susceptibility to intestinal pteroylpolyglutamate hydrolase action. J Nutr. 1998;128(11):1956-1960.

Tam C, O’Connor D, Koren G. Circulating unmetabolized folic Acid: relationship to folate status and effect of supplementation. Obstet Gynecol Int. 2012;2012:485179.

Tsang BL, Devine OJ, Cordero AM, et al. Assessing the association between the methylenetetrahydrofolate reductase (MTHFR) 677C>T polymorphism and blood folate concentrations: a systematic review and meta-analysis of trials and observational studies. Am J Clin Nutr. 2015;101(6):1286-1294.

Wilcken B, Bamforth F, Li Z, et al. Geographical and ethnic variation of the 677C>T allele of 5,10 methylenetetrahydrofolate reductase (MTHFR): Findings from over 7000 newborns from 16 areas world wide. J Med Genet. 2003;40(8):619-625.

Zugravu CA, Macri A, Belc N, Bohiltea R. Efficacy of supplementation with methylcobalamin and cyancobalamin in maintaining the level of serum holotranscobalamin in a group of plant-based diet (vegan) adults. Exp Ther Med. 2021;22(3):993.

USANA ne peut garantir la qualité des produits que jusqu’à la date d’expiration indiquée sur les emballages. Au delà de cette date, la puissance des nutriments peut diminuer progressivement. Nous recommandons donc de consommer les produits avant la date d’expiration imprimée.

Nous recommandons de conserver les Nutritionals d’USANA à une température inférieure à 25 degrés Celsius (température ambiante). La réfrigération peut aussi prolonger la durée de conservation des Nutritionals d’USANA.

Les Numéros de Lot et Les Dates D’expiration

Les numéros de lot et les dates d’expiration sont imprimés sur le fond des flacons de suppléments (compléments) USANA. La date d’expiration à six chiffres indiquée sur les produits USANA est sous le format « JJMMAA » (jour, mois, année).

Quelle Est la Durée de Conservation des Produits USANA?

Les Nutritionals ont une durée de conservation de deux ans, à l’exception des produits suivants :

  • HealthPak: 18 mois
  • MyHealthPak : 4 mois

La durée de conservation des Aliments USANA est la suivante :

  • Barre protéinée au collagène: 8 mois
  • Barre-collation Beurre de Cacahuète: 15 mois
  • Boissons Rev3 : 18 mois

L’Émulsion protectrice de jour a une durée de conservation d’un an. Tous les autres produits Sensé ont une durée de conservation de deux ans.

USANA s’attache à choisir les ingrédients les plus purs et les plus sûrs pour nos produits. Dans le cadre de ces efforts, nous adhérons à des normes d’analyses pour les matières premières sans OGM dans nos marchés internationaux. Ces normes de conformité comprennent l’approvisionnement en substances non génétiquement modifiées comme la protéine de soya (soja) sans OGM, l’isolat de soya (soja) à identité préservée, la protéine de pois sans OGM et bien d’autres encore.

Par des tests continus sur les produits, USANA a conclu que nos produits ne contiennent aucun organisme génétiquement modifié (OGM). Nous avons également envoyé nos produits à des laboratoires tiers accrédités pour confirmer nos analyses et méthodes de détection pour l’ADN issu de la bioingéniérie.

USANA maintiendra sa vigilance dans les analyses pour identifier de nouveaux OGM. On ne peut prétendre à un niveau « zéro » d’ingrédients issus de la bioingéniérie dans les allégations « sans OGM », car il existe toujours la possibilité d’une introduction accidentelle d’ingrédients issus de la bioingéniérie.

La FDA n’a pas d’autorité directe sur les suppléments alimentaires et aucun supplément  alimentaire aux États-Unis n’est « homologué par la FDA ».

La FDA réglemente les suppléments alimentaires dans le cadre de la Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA, loi sur la santé et l’éducation en matière de suppléments alimentaires). Selon cette loi, les suppléments alimentaires appartiennent à une catégorie à part répertoriée sous le terme général « aliments ».

Cette agence exige que les fabricants de suppléments alimentaires respectent les bonnes pratiques de fabrication pour les suppléments alimentaires (CFR, Code of federal regulations, ou code des règlements fédéraux, titre 21, partie 111). Les BPF d’USANA sont conformes et même supérieures à ces normes.

La FDA est chargée de prendre des mesures contre tout supplément alimentaire jugé non sécuritaire (en général après son introduction sur le marché). Le Center for Food Safety and Applied Nutrition (CFSAN, centre responsable de la sécurité alimentaire et de la nutrition appliquée) de la FDA s’attache à la surveillance des  suppléments alimentaires après leur lancement sur le marché. Elle a pour mandat de contrôler les produits qui peuvent être considérés comme non sécuritaires ou qui s’accompagnent d’allégations fausses ou trompeuses.